GLFMM Loge : Béréshit Misraïm - Orient de l’Etang Salé 14/03/2013

Quantas et Qualias : l’Univers est-il conscient ?

Ma planche se veut philosophique mais outre que la philosophie ne se prête pas à la méthode scientifique puisqu’elle ne peut être le champ d’une expérimentation renouvelable pour démontrer une théorie, je ne résiste pas au plaisir de rapporter le point de vue un tantinet iconoclaste de l’un des plus grands esprits scientifiques de notre temps. Stephen Hawking, puisqu’il s’agit de lui, affirme sans sourciller que « la philosophie est morte, car celle-ci a cessé depuis longtemps de suivre les développements scientifiques »…

Il est vrai que si l’on se réfère aux philosophes antiques et plus tard à ceux du Siècle des Lumières par exemple, bon nombre d’entre eux étaient des chercheurs qui tentaient de maitriser raisonnablement la science de leur époque. Pythagore, à qui l’on doit le théorème qui porte son nom, puis après lui Démocrite qui répandit la notion développée par son maître Leucippe que la matière est composée d’atomes, et après lui Aristote qui s’intéressa à la physique, à la biologie et la cosmologie, lui-même disciple de Platon qui était, lui, un mathématicien, tous donc, étaient des hommes de science. Plus tard, le Siècle des Lumières fut marqué par une vision qui affirmait la primauté de l’esprit scientifique sur l'action d’un Dieu sur le monde. La révolution newtonienne dans sa conception de la mécanique céleste en est probablement l’illustration la plus marquante.

Pour ces grands anciens, toute chose créée le fut par le nombre, le poids et la mesure et les mathématiques étaient bien la base de la philosophie. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, si l’on se réfère par exemple aux « Nouveaux Philosophes » de Mr. Bernard-Henri Lévy, on est en droit
d’accorder quelque crédit à la remarque de Hawking...

Bon...revenons à une question philosophique : bien avant que les édiles de la ville italienne de Monza interdisent de garder des poissons dans un bocal argumentant que ses parois sphériques leur déformaient la réalité extérieure, Platon dans son « Mythe de la Caverne » avait déjà posé
cette même question fondamentale : la réalité telle que nous la percevons est-elle unique et vraie ?

Cette question peut être abordée aujourd’hui par le biais d’une science qui s’appelle la mécanique quantique ; relativement jeune puisqu’elle a environ un siècle, et qui nous a révélé la notion de quarks et celle de quanta dont elle tire son nom. Elle est, comme nous le verrons plus
loin, passablement perturbante pour notre intellect.

Les quanta sont les constituants élémentaires de l’énergie. La mécanique quantique a montré que dans les échanges d’énergie entre particules, ceux-ci se font par des multiples d’un petit paquet élémentaire, une quantité de base appelée un quantum ; les quarks eux, sont les constituants élémentaires de la matière. Et nous savons depuis Einstein, que la matière et l’énergie sont deux faces d’une même chose. Démocrite et Leucippe eurent été sûrement intéressés d’apprendre que cet atome qu’ils pensaient indivisible contient un ou plusieurs protons et /ou neutrons (1), eux-mêmes constitués de trois quarks (2). Il n’y a pas plus petit...du moins aujourd’hui puisque certains scientifiques ont commencé à émettre l’hypothèse que les quarks étaient eux-mêmes constitués de particules encore plus petites (3).

Les progrès que cette science a fait faire à la physique et à notre connaissance du monde durant ce dernier siècle, ont amené aujourd’hui des scientifiques de très haut niveau à aborder les questions existentielles jusque là abordée par la philosophie mais on remarquera à ce stade que
le questionnement a évolué avec le temps. Les anciens se posaient la question de savoir pourquoi il y avait un cosmos plutôt que le chaos ou, en d’autres termes, comment un univers apparemment ordonné tel que nous le connaissons aujourd’hui avait surgi d’un chaos originel. Ils
n’en contestaient pas l’existence d’une cause première. Aujourd’hui la question chez les scientifiques sera plus souvent « pourquoi il y-t-il quelque chose plutôt que rien » ? Et à la réponse faite par les théologiens qui est que Dieu à créé l’univers à partir de rien n’ayant besoin de rien puisqu’il est tout puissant, ils questionnent alors « pourquoi Dieu existe-il » ?

Mais pour en revenir à la remarque de Monsieur Hawking, on aura bien du mal à trouver une référence aux découvertes de la mécanique quantique dans les papiers de BHL...

Bon...revenons sur la terre, à notre poisson dans l’eau de son bocal à Monza et de sa perception du monde qui l’entoure. La science telle qu’elle est généralement pratiquée aujourd’hui postule que la réalité existe en tant que telle et surtout qu’elle existe même en l’absence d’un observateur. Prenons une analogie : si un arbre tombe, cela fait-il du bruit même si personne n’est là pour l’entendre ? Beaucoup répondront « oui bien sur » et le fait qu’il y ait ou non un observateur ne changera rien au phénomène. Que j’admire un coucher de soleil ne changera pas le coucher de soleil... Mais si je demande : la déflagration initiale appelée le « Big Bang » qui a créé notre univers il y a 13.7 milliards d’années, l’a-t-il vraiment fait même si personne n’était là pour le voir ? Certains dans ce cas auront une réponse plus nuancée...

Prenons un autre exemple : si, lors d’une partie de pétanque, vous photographiez avec un flash une boule en train de rouler vers le cochonnet, personne dans l’assistance ne vous dira que c’est vous qui avez dévié la boule si d’aventure, elle rate le cochonnet en question, pour autant bien
sur que vous ayez évité d’aveugler le joueur au moment de l’envoi. Les minuscules particules élémentaires de lumière que sont les photons de l’éclair produit par votre flash sont infiniment trop petites pour avoir une influence visible sur la trajectoire de la boule.

Or, et c’est justement là un point fondamental où le bât blesse, la mécanique quantique a mis en évidence dans un très grand nombre d’expériences réalisées avec une précision stupéfiante que la réalité dépend de l’observateur et de l’observation. Car au niveau subatomique qui est son terrain de prédilection, il en va tout autrement que sur notre terrain de boules. Si vous « expérimentez » la trajectoire de la boule de pétanque avec une autre boule de pétanque plutôt qu’un flash, il y a de fortes probabilités que les résultats de l’expérience soient différents. De même, si vous « éclairez » un électron avec des photons, leur taille et leur énergie respective sont suffisamment proches pour que les uns influencent l’autre.

En d’autres termes, les propriétés quantiques de la matière existent sous une forme que l’on pourrait qualifier de « latente », c'est-à-dire non visibles dans le temps et l’espace jusqu’à ce qu’un acte de mesure soit fait. On peut faire la description de ces briques élémentaires dont nous
sommes faits par ce que l’on appelle une « fonction d’onde », qui est un objet mathématique qui contient toute l’information possible sur une particule en la représentant sous la forme d’une superposition de tous ses états possibles ; lesquels se réduisent alors à un seul état au moment
de la mesure. Et voila un sérieux mystère : on ne peut pas assigner à une particule une valeur pour sa position dans espace ou sa vitesse avant l’acte de mesure ; celles-ci ne deviendront définies qu’après. Il y a donc interaction entre l’observateur et le phénomène observé. Platon serait content d’apprendre cela...

Mais il y a un autre point tout aussi fondamental : les valeurs mesurées ne sont pas uniques ! La mécanique quantique calculera une probabilité que ces valeurs soient telles ou telles et ce avec une très grande précision. Elle calculera des valeurs « possibles » avec une probabilité associée
mais sans rejeter les autres multiples possibilités que cette réalité puisse avoir d’autres valeurs avec d’autres probabilités d’existence. Tout les états sont possibles et ces probabilités étant non nulles, elles finiront par se réaliser. On pensera à Aristote qui disait déjà un peu la même chose il y a près de 2400 ans...

Voici donc que l’observateur participe non seulement à la création de la réalité qu’il observe mais l’acte de mesure confère une réalité à la particule seulement par une probabilité de son existence et ce, sous la forme éprouvée par lui.

Il y a près de 25 siècles, Héraclite affirmait que les choses n'ont pas de consistance, et que tout se meut sans cesse : nulle chose ne demeure ce qu'elle est, et tout passe en son contraire...l’Etre est éternellement en devenir. 2600 ans plus tard, la mécanique quantique nous démontrera
que lorsque l’on descend dans l’infiniment petit à atteindre une dimension ultime appelée la dimension de Planck (4) (dont je peux vous affirmer qu’elle est vraiment très petite), les particules élémentaires comme les quarks se dissolvent, le temps et l’espace cessent d’exister et le monde est en constant changement d’état selon des probabilités continuellement variables. L’esprit recule vraiment devant la notion que la matière peut être générée du vide quantique puisque l’une et l’autre ont une probabilité non nulle d’exister à tout moment... La réalité solide et temporelle que nous connaissons disparait et réapparait sans cesse.

Pour ces physiciens-là, notre univers n’a pas eu besoin d’un Dieu pour être créé, il est né des fluctuations quantiques du vide.

Quand je vous disais que cette science est passablement perturbante pour notre intellect..., mais elle ravira les Bouddhistes, les Taoïstes et même leurs cousins un brin plus dictatoriaux que sont les Confucianistes pour lesquels le créé et l’incréé existent conjointement. Cela fait beaucoup de monde quand même qui y avaient pensé avant les scientifiques d’aujourd’hui.

Parlons maintenant de la notion de conscience. Je préciserai que la conscience dont je vous entretient n’est pas celle de cette perception innée du bien et du mal que nous avons tous – bon...mis à part les tueurs en série et les politiciens paraît-il - ni même de cette conscience de classe dont parlait Marx (là je parle de Karl et pas de la fratrie de Groucho bien sûr). Non, il s’agit de cette perception de notre propre existence et aussi de l’existence du monde extérieur ; ce que nous affirmons généralement comme indiscutable même si elle n’est pas nécessairement très claire surtout après une soirée d’agapes bien arrosée. Si tu cherche la voie, visite l’intérieur de la terre oui...mais à jeun ! Mais même si nous ne le sommes pas, s’il y a bien une chose dont nous sommes certains, c’est que nous existons. Nous sommes conscients de nous-mêmes.

Cette conscience de nous-mêmes semble être aussi vivace chez tous les humains individuellement et certaines expériences avec des animaux semblent indiquer que les spécimens expérimentaux se reconnaissaient eux-mêmes et sont donc également « auto-conscients » ou « self-conscients ». Notre rituel ne nous dit-il pas lors de l’établissement du testament philosophique alors que nous ne sommes même pas encore initié que « la Tradition Hermétique ancienne enseigne que la vie réside très réellement au sein des trois règnes de la Nature : minéral, végétal et animal, de l’infiniment petit à l’infiniment grand ? » Alors, cette conscience que nous avons de nous-mêmes est-elle partagée à l’identique par les autres
humains qui nous entourent ? Et si c’est le cas, ce partage s’étend-il aussi aux règnes minéral, végétal et animal ? Voila un beau sujet de réflexion...

Mais comment notre conscience est-elle générée et pourquoi et comment avons-nous conscience de ce que nous sommes ?

Les physiologistes nous diront que la pensée résulte du fonctionnement du cerveau – du moins tant que notre corps est en vie. Il suffit de voir comment celle-ci se dégrade chez les gens malheureusement atteints de lésion cérébrales accidentelles ou dégénératives comme un accident vasculaire ou la maladie d’Alzheimer. Mais en quoi consiste la pensée et en quoi résulte-t-elle du fonctionnement du cerveau ?

Au niveau élémentaire, notre cerveau est constitué de cellules nerveuses appelées neurones qui répondent à des stimulations en les convertissant en impulsions électrochimiques avant de les transmettre à d’autres neurones par l’intermédiaire d’environ 10000 synapses qui sont les points de contacts entre eux. Le nombre total de neurones du cerveau humain est estimé à environ 100 milliards et cela fait donc mille milliards de milliards de synapses. On peut suivre le développement de l'intelligence dans l’évolution de l’humain depuis sa naissance, avec la complexification de la structure du cerveau. Celui-ci devient non seulement de plus en plus riche en neurones mais il crée aussi de multiples connexions synaptiques qui vont former des réseaux hiérarchisés et organisés entre eux. Pour la science d’aujourd’hui, le cerveau est non seulement une machine électrochimique mais aussi un système actif et ouvert à son environnement social et symbolique.

Pour les physiologistes donc, les bases neuronales conditionnent la pensée car elles leur sont nécessaires. Il n’y a pas de pensée sans cerveau : l'activité du cerveau qui est la pensée est une activité régulée par ses neurones. Lorsque le cerveau est mort, la pensée est morte avec elle.

Les partisans de la vie après la mort y trouveront surement à redire surtout qu’il n’y a pas à ce jour d’explication satisfaisante à la question de savoir comment cette activité électrochimique du cerveau se transforme en conscience. La perception d’une belle musique ou l’odeur d’une fleur,
le sentiment d’être amoureux, la joie, l’intuition, l’imagination, si tout cela se traduit par une électrochimie dans le cerveau, mesurable par un simple enregistrement IRM (5), d’où vient alors notre self conscience et celle que nous avons de l’univers qui nous entoure ?

Nous avons parlé des quanta qui ont porté un coup sévère à la notion de réalité physique que nous avions jusqu’à aujourd’hui, parlons maintenant des qualia (6). Un qualia est défini comme la plus petite unité d’expérience subjective et/ou objective ressentie des éléments extérieurs. Ils
semblent constituer l'essence même de notre existence. Ceux-ci seront recueillis par nos sens et notre cerveau va les transformer pour générer ce que nous concevons comme la réalité qui nous entoure. La perception que nous avons de l’odeur d’un bon vin est un qualia tout comme la
douceur d’une soie ou l’harmonie d’une musique. Notre monde intérieur contient des images, des sensations, des pensées et des sentiments. Tous sont des qualias. Les qualias sont les briques élémentaires de la création qui génèrent la réalité que nous vivons.

Notre cerveau va traiter des qualia en continu dans un processus qui fait appel non seulement aux expériences passées et présentes mais aussi futures, par le raisonnement et/ou l’intuition. Chacune de ces expériences élémentaires est aussi un qualia. Et par ailleurs, notre cortex cérébral est aussi capable de générer des sensations en l’absence de contact physique, comme lorsque le souvenir d’un moment fort de notre vie nous fera venir les larmes aux yeux, créant lui-même des qualia.

Alors si la mécanique quantique nous dit que la réalité dépend de la mesure que l’on en fait et que les qualia feront percevoir une même réalité de façon différente par deux personnes, existe-t-il une réalité intangible qui est indépendante de l’existence d’un observateur « conscient » ?

Pour la physique quantique, la seule vraie réalité est composée d’une infinité de possibilités qui se réalisent seulement lorsque l’on les observe. Notre univers n’est qu’un parmi une infinité d’autres, parce que d’autres, avec des lois physiques différentes que celles que nous connaissons, ont une probabilité non nulle d’exister.

Oui mais la science ne décrit pas la réalité que l’on voudrait une et intangible mais décrit seulement des phénomènes qui sont en accord avec une théorie. Elle décrit le phénomène mais pas l’environnement. Cet environnement qui est la réalité et qui est régi par une loi unique et multiple que nous humains expérimentons, ressentons, ou en d’autres termes dont nous sommes conscients, constitue pour nous la réalité puisque, à contrario, ce que nous ne pouvons percevoir nous est inconcevable.

Il y a bien sûr la matière des quarks et l’énergie des quanta mais les qualia - l’esprit - vient en premier lieu. Le vieux rationaliste que je suis ne peux pas être matérialiste car si je devais l’être, cela signifierait rejeter un fait essentiel de la réalité : pour moi, elle n’existe que parce que j’en suis conscient. Le monde qui m’entoure, y compris le temps et l’espace, est fait de qualia et ce monde n’existe pas pour moi indépendamment de l’observateur que je suis. Toute la réalité qui m’entoure n’est que le reflet d’une expérience de perception et de génération par ma conscience,
expérience qui sera fort probablement différente chez quelqu’un d’autre.

Alors revenons à la question : comment avons-nous conscience de ce que nous sommes ?

Je choisirai de me laisser guider par le concept heuristique du rasoir d’Ockham (7), et donc que l’explication la plus simplement suffisante (et j’oserai dire la plus élégante) du fait que l’Humain est conscient et peut concevoir le monde qui l’entoure est que le monde consiste en une
conscience au niveau le plus fondamental. Wolfgang Pauli, l’un grands noms de la physique quantique disait déjà au milieu de siècle dernier que « l’Univers se comportait plus comme un esprit que comme une machine ». Avant lui, Max Planck, considéré aujourd’hui comme le père
de cette même physique quantique affirmait « [qu’] il regardait la conscience comme fondamentale car la matière en découlait ». Pour lui, toute réalité postulait obligatoirement la conscience. La possibilité que l’Univers soit vivant devient aujourd’hui réelle...

Les Hermétistes nous ont dit « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ». L’Humain est en soi le reflet microcosmique - l’Humain individuel – du macrocosme - l’Humain Universel. Mais lorsque nous franchirons cette 11ème porte chère à la Kabale, nous traverserons enfin la frontière interdite qui sépare la connaissance humaine de la Connaissance Principielle. Et nous devons la traverser... Transgresser la règle est chose connue du Maçon depuis le pas hors ligne du Compagnon à la transgression des meurtriers d’Hiram dont Johaben aura assassiné l’un d’entre eux en transgressant les ordres de Salomon. Transgresser pour le Maçon est chose juste et nécessaire lorsque la transgression est justifiée par le désir d’avancer le coeur pur dans la connaissance. Oui mes soeurs et mes Frères, non seulement nous devons le faire car nous pouvons le faire – Yes we can - ! ...car nous avons en commun une chose avec l’Univers et cette chose est la conscience, cette conscience qui fait que nous percevons l’Univers.

Nous devons et pouvons le faire parce qu’aujourd’hui, la science nous propose en hypothèse vraisemblable que nous sommes nous Humains une infime particule consciente d’un ensemble conscient et pensant plus vaste appelé le Suprême Architecte...

Longtemps avant nous, dans son Corpus Hermeticum, Pymandre enseignera à Hermes Trismégiste : « Ce grand corps, qui englobe tous les corps, est rempli intérieurement, et enveloppé extérieurement, par une âme pénétrée de conscience-esprit, pénétrée de Dieu, une
âme vivifiant tout l'univers », ce qui lui fera dire à son fils Asclépios « l’Univers est donc un corps...un corps en mouvement dans un espace incorporel... Mais l'incorporel est de nature divine, ou Dieu même.... et si l'incorporel est de nature divine, il est de même nature que l'essence fondamentale de la création ; et s'il est Dieu, il ne fait qu'un avec l'essence fondamentale. C'est d'ailleurs ainsi que le saisit la pensée ».

J’ai dit, T\ F\ P\ M\

J\-M\ C\

Notes :
(1) Mis à part l’atome de l’hydrogène qui ne contient pas de neutron.
(2) Composé de deux quarks « up » et un quark « down ».
(3) Certaines théories scientifiques parlent de rishons ou stratons qui seraient des composants des quarks eux-mêmes.
(4) 1.6162ˣ10-35m.
(5) Induction par Résonnance Magnétique.
(6) Mot qui vient du latin et qui signifie « quelle sorte » ou « quel type ».
(7) Le rasoir d'Ockham est un principe de raisonnement philosophique heuristique fondamental en science, également appelé principe de simplicité par lequel les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables. Il a été démontré mathématiquement par la théorie des probabilités.

7066-4 L'EDIFICE  -  contact@ledifice.net \