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Le Symbolisme des Nombres dans l’Univers


I - INTRODUCTION
Les savants grecs nommaient alors l’Univers l’Ordre des Choses, ce que nous pouvons comprendre comme étant d'une origine religieuse inventée par Dieu et non par les hommes.
Toute l'aventure commença par l'astronomie. Comment observait-on dans l'Antiquité ?
L'aiguille du cadran solaire ou gnomon projette des ombres sur le sol. La lumière venue d'en haut projette sur la terre un dessin dont l'allure imite et représente les formes de l'Univers, par l'intermédiaire de la pointe du bâton. 
Remonter des ombres à la lumière et des images projetées à leur modèle, voilà les leçons communes à l'astronomie grecque et à la théorie platonicienne de la connaissance. 
Je commencerais cette planche en citant Platon, qui dans l'Epinomis écrit :

Toute figure géométrique, tout système de nombres, toutes proportions harmonieuses et enfin, tout choeur de révolutions sidérales, révèlent nécessairement à celui qui les étudie méthodiquement, une certaine harmonie".

Ainsi, dés son époque, Platon avait l'intuition d'une relation entre les Nombres et l'Univers.

 II- NOUS ETIONS AU CENTRE DU MONDE

Le Centre, en tant que Point, est un symbole de l’Unité. En cela, il est le principe de l’étendue qui n’existe que par son rayonnement. Géométriquement, c’est par le biais de points que sont créés droites et plans dans l’Espace. Ces points, sans dimension intrinsèque, invisibles donc, forment pourtant l’espace et tout ce qu’il contient.

Etant matériel, le Centre est donc l’Un manifesté, ou pour parler le langage théologique, Dieu se faisant Centre du Monde par son Verbe.

Pour nos ancêtres, il y avait un Centre remarquable dans l’univers : il s’agissait de l’Etoile Polaire. En effet du point de vue d’une personne sur Terre qui regarderait le firmament, les étoiles et l’univers entier semblent tourner comme une roue autour de cette étoile fixe.

Ce symbolisme est extrêmement puissant car il représente un point inaccessible, moteur de l’univers, c’est-à-dire encore une fois Dieu, mais cette fois-ci avec une dimension supplémentaire qui est la hauteur, ou verticalité.

III – QU'EST CE QUE L'UNIVERS
           
- le big bang

Une formidable explosion… de vide !
Dans le Rig-Véda, il est écrit : En ce temps-là Rien n'existait. Le Rien n'existait pas non plus. Ni l'espace ni le firmament au-delà. Il n'y avait pas de mort en ce temps-là, ni de non mort. Il n'y avait pas le jour et pas la nuit. L'Un respirait sans souffle, mû de soi-même. [...] Quel était-il quand vinrent les grandes eaux qui portaient l'Œuf d'Or d'où sortit l'Un, commencement de la vie des dieux ? [...] Les dieux sont venus après cette éclosion.
Certaines questions s’imposent aux esprits rationnels :
Pourquoi, par l'intermédiaire de l'Homme, l'univers réfléchit-il sur sa propre origine ?
Pourquoi le Big bang a-t-il "accouché" de l'Homme ?
L’univers serait-il sentimental ?
Est-ce l'Esprit qui a créé la matière ou est ce par la compréhension de la matière que l'on arrive à la création de l'Esprit ?

-  La théorie du Chaos

D'où venons nous, d'où vient la Terre ?
D'où vient cette harmonie sensible jusque dans ses moindres détails ?
Tout ne fut pas comme cela au début, il y eu une préhistoire à ce monde harmonieux et celle-ci était désordre et chaos. Avant la matière organisée, il était un vide immense que les mythes appellent Chaos. Toutes les civilisations anciennes indiquent que les dieux n'existaient pas encore et n'étaient que des potentialités flottant dans le néant.
Alors, pourquoi ne serait ce pas en partie, réalité ?
Les travaux de Newton sur la gravitation, mirent un point final à la longue histoire de la description des phénomènes célestes. Mais expliquer la cause de mouvements en apparence désordonnés, indique qu'il doit y avoir des phénomènes dont l'apparent chaos démontre l'existence d'une loi cachée. Ce que ce travail tentera de démontrer en reprenant l'idée de Platon qui pensait qu'une relation existait entre l'Univers et les Nombres.

IV – SYMBOLISME DES NOMBRES DANS L'UNIVERS

Cette relation entre les Nombres reliés à l'Univers, une première approche en est faite dans la Bible, au chapitre de la Genèse.
I1 y est dit que le Monde fut créé en 6 jours et que le 7ème jour fut déclaré jour de repos pour le Créateur.
Pourquoi 7 et non pas 8 ? Ou 5 ? Ou 15 ?
Je ferais une nouvelle citation, du savant Juif Philon, vivant vers l'an 30 avant n.e.
De tous les Nombres, 6 est celui qui régit la formation. C'est le premier nombre parfait en partant de l'unité, puisque égal à la fois à la somme et au produit de ses parties. Sa moitié est 3, son tiers est 2. L'impair est male, le pair, femelle. On obtient le 6 en les faisant se reproduire. Puisque le Monde est parfait dans son harmonie universelle sa formation fut gouvernée par un nombre parfait, c'est à dire 6
(1 + 2 +3 = 6            1 x 2 x 3 = 6)

Le 7ème jour fut déclaré jour de repos. Repos étant pris ici au sens d'arrêt. Ce qui revient à dire que 7 est un butoir. Nous sommes arrêtés à 6 et nous ne pouvons pour l'instant aller plus loin.
Si nous analysons historiquement les différents systèmes de numérisation, nous constatons que le plus ancien système fut celui de Sumer, que connurent les Hébreux, et qui les inspirèrent dans la rédaction de l'Ancien Testament.
Le système sumérien est sexagésimal.  Il survit encore de nos jours avec l'heure en 60 minutes et le cercle en 360 degrés. Ce système est basé sur le 6 et le 12. Cela s'explique par le fait qu'il est plus facile de fractionner 12 en 2, 3, 4, 6, que le 10, ne pouvant, lui, être fractionné que par 2 et 5.
12 est un nombre dit abondant, c'est à dire que la somme de ses diviseurs est supérieur au nombre lui même.
1 + 2 + 3 + 4 + 6 = 16 > 12
Alors que 10 n'a comme diviseurs que 1, 2, 5 dont la somme 8 est inférieure au nombre lui-même.
C'est pour cela que 12 est un nombre majeur en numérologie.
J'ai dit que 7 était un butoir.
C'est en effet le premier nombre entier qui ne peut pas diviser 60, multiple du 10 et du 12.
60 est divisible par 1, 2, 3, 4, 5 et 6. Mais pas par 7.
D'ou le caractère particulier rattaché au 7 et qui, au fil du temps et des croyances, est relié au divin.
7 est devenu la synthèse du monde divin et du monde humain.7 est la somme du 3 représentant la Trinité, et du 4 représentant le monde matériel.

Lorsque nous levons la tête, le soir, et que nous voyons un ciel plein d'étoiles, nous nous sentons minuscules en face de cet Univers dont nous ne connaissons pas les limites.
Cet ensemble de mondes, à l'apparence désordonnée, réagit en fait à des Lois bien précises, immuables, dont quelques Hommes ont cherchés à percer les mystères.

L'observation de ces phénomènes a amené ces Poètes, Savants, Philosophes, à réfléchir, se poser des questions et de ce fait, essayer d'y répondre.
Avant tout et avant de poursuivre plus en avant, il faut que nous rendions hommage et que nous dégagions les observations de deux Savants qui ont marqués à leur époque, déjà ancienne par rapport à aujourd'hui, la Science de l'Univers.
Ces deux hommes sont Kepler, et Newton.
Je rappelle ici les découvertes de Kepler
Le mouvement des Planètes s'effectue sur des orbites elliptiques, dont le Soleil occupe un des foyers.
Le segment de droite tracé de la Planète au Soleil, balaie dans des temps égaux, des surfaces égales de l'Ellipse
On connaît l'histoire de Newton, qui à l'age de 24 ans vit une pomme tomber. De là, il en déduisit que si la lune ne tombait pas sur la Terre, c'est qu'elle devait être animée d'une vitesse orbitale et donc soumise à une force centrifuge, compensée par sa force contraire c'est à dire centripète.
Newton venait de découvrir la gravitation, dont l'unité scientifique la Dyne, vaut 0,981 G. Retenons ce nombre car ici commence le mystère et examinons ces différentes propositions en les rapprochant du sym­bolisme des Nombres.

Nous en dégageons en première approche : 4 nombres.
Pour Kepler
Le Soleil et un des foyers de l'ellipse : soit UN
2 foyers dans une ellipse :...............soit DEUX
Des temps balayant des surfaces.
Or une surface résulte d'un carré : 1 x 1 =
Le carré de 4 cotés égaux à l'unité, résulte de cette formule soit : QUATRE

Pour Newton
9,81 = 9 + 8 + 1 = 18 = 1 + 8 = 9
9 est le carré de 3. C'est le premier Carré construit sur l'impair. Il donne du mouvement à la stabilité. Il est issu de 3.
De cette valeur nous retrouvons également 81, exaltation du 9. Je rappelle que Lao Tsu mourut à 81 ans, que le Tao To King a 81 chapitres et que l'on retrouve le symbolisme de 81 dans de nombreuses civilisations.

Nous avons donc ici 1,1'unité, antérieur aux Nombres, puisque tous les nombres en sont issus. C'est le Principe d'où découle toute manifestation. En tant que Soleil, c'est le centre mystique d'où rayonne l'Esprit.

2 est principe Pair. Avec lui commence la Géométrie de la ligne, c'est à dire de ce qui tombe sous le sens.
2 est symbole de dualisme, la Voie Cosmique par excellence. Il est vie et mort, bien et mal. Il est à l'origine du mouvement. Il est le nombre de la Matière.

3 est principe impair. Il possède un début, un milieu, une fin. (1+1+1).
Il représente l'espace, défini par la première figure géo­métrique à trois cotés, c'est à dire le Triangle.
Il est la résultante du 1 et du 2, c'est à dire l'union du Ciel 1 et de la Terre représentée par le dualisme du 2.

4 enfin est le nombre de la mesure. Avec le 1, le 2, le 3, il est assez suffisant pour constituer toutes les harmonies.
Dans la Bible, il est le nombre de l'Universalité. Les quatre lettres du nom divin Y.H.V.H, les quatre fleuves sortant du Jardin d'Eden, les quatre points cardinaux.
J'ajouterais qu'il y 4 Evangiles, 4 grandes Religions révélées, sans oublier les 4 Cavaliers de l'Apocalypse.

Ces nombres pairs et impairs expliquent le Parfait et l'Imparfait. Le grand principe en est constitué par la Tetraktis, dont la formule 1 + 2 + 3 + 4 = 10
10 est le Tout. C'est le Cosmos issu de l'unité 1, du pair 2, de l'im­pair 3 et du nombre de la mesure 4.
4 peut être appelé nombre de la mesure, car il est soit issu d'une somme de nombres impairs,
1 + 3 = 4
3 + 5 = 8 = 2 x 4
Soit issu du double d'un nombre pair
2 + 2 = 4
6 + 6 = 12 = 2 x 6 = 3 x 4
D'ou le caractère symbolique que l'on donne au 4, mesure finie.

Nous avons donc des Lois immuables basées sur ces nombres, valables dans tout l'univers. Le notre et celui des autres Galaxies, car on ne saurait penser que ce qui est applicable et valable mathématiquement ici, ne le soit pas ailleurs. Ou alors, il faudrait dire comme Einstein, lorsque la Théorie de la Relativité put être mise en évidence et ainsi se révéler comme vraie lors d'une éclipse de soleil par la photographie de la couronne solaire
Si cela ne s'était pas vérifié, c'est que le Bon Dieu se serait trompé quelque part.
Je dirais donc que les lois de l'univers s'appliquent dans TOUT l'Univers. Sont elles oeuvres du Grand Architecte ? La question reste posée.
Pour cela, nous allons afin de découvrir cette unité et cette qualité dans la Création, étudier les mesures spatiales et sacrées dans l'Antiquité, leur rapport avec les mesures de temps, de gravitation ainsi qu'avec le Nombre d'Or.

L'univers baigne dans les nombres et dans les dimensions. Mais aussi l'Homme, ses mouvements, ses rythmes. Parce que l'Homme est microcosme dans le macrocosme. De ce fait, chaque nombre possède une signification propre pour l'initié.
L'Antiquité nous a transmis au cours des siècles, diverses unités de mesure, retrouvées sous des noms divers. Même notre mètre, égal à 1/40 000 ème de la circonférence terrestre, subit des modifications de définitions, au fur et à mesure des progrès de la science.
Toutes ces mesures ont les mêmes bases de recherche et de résultat. Dans l'Antiquité, on connaissait déjà la division de la circonférence en 360 degrés.[1]

Il y avait 25 lieues terrestres au degré et 3 miles romains par lieue.
De même, il y a 20 lieues marines au degré, et 3 miles marins par lieue marine.
Ces mesures dites itinéraires, ont été déterminées à la surface de la terre, il y a plus de 3000 ans avant n.e
Il est dommage que l'acquis scientifique des Anciens ait été perdu notamment au cours d'incendies, dont celui de la Bibliothèque d'Alexandrie ou par la faute des hommes.
Ces mesures ne sont que la transcription d'une mesure plus petite dite La grande coudée Egyptienne contenue 72 millions de fois dans la circonférence terrestre, ou 200.000 fois dans la longueur d'un degré soit 0,5555 m. Retenez ce nombre 72.

Mesures sacrées

Il existe un grand nombre de coudées, toises, pieds, etc.... presque toujours liés entre eux par un rapport avec le nombre PI cosmique.
Par exemple, la coudée éduenne qui mesure 0,6545 m.[2]                  
Elle vaut le quart du carré du nombre d'or Pi.
Cette coudée est l'unité de mesure employée dans les alignements de Carnac en Bretagne. Elle est parvenue jusqu'a nous sous la forme de sa moitié, soit 0,32725 qui est la longueur instituée par Charlemagne pour les mesures applicables à l'architecture et qui nous est connu sous son nom de pied.
Le Nombre 0,32725 est aussi une constante de l'univers.
Un homme adulte mesure en moyenne 3,2725 fois sa taille de naissance.

C'est également le tiers de la gravitation terrestre. 0,98175 / 3 = 0,32725
Nous apercevons ici le symbolisme des nombres dans les poids, forces et attractions terrestres et universelles.
Tout est étroitement lié par les nombres.

Je fais ici une parenthèse à propos du nombre Pi, dans sa valeur cosmique telle qu'elle a été conservée par le Compagnonnage suivant son antique expression druidique.
Pi = 17 x 11 x 7 x 4 x 3 x 2 = 31416
Pour Ptolémée Pi = 3,1416
Pour Archimède Pi = 3,1418
Chacun de ces nombres possède son symbolisme.

17 = 9 + 8
9/8 = 1,125
9/8 est un rapport qui revient continuellement dans les spéculations arithmologiques des grecs anciens, que ce soit sur le plan musical, grammatical ou cosmologique.

17 = 9 + 8.  
9 est le nombre des gestations, du couronnement de l'ef­fort et symbolise l'achèvement d'une création. C'est le dernier de la série des 9 premiers nombres, il annonce à la fois une fin et un recommencement sur un autre plan.
8 est le nombre de l'équilibre cosmologique. Pour St Augustin, au delà du 7ème jour vient le 8ème  qui est jour de transfiguration. C'est le jour des Justes.    
11 est la conjonction du 5 et du 6, qui est le microcosme et le macrocosme. C'est le nombre par lequel se constitue dans sa totalité, la voie du Ciel et de la Terre. C'est également le nombre du Tao.
Je n'ajouterais rien au symbolisme du 7, du 3, du 2 que l'on connaît déjà.

Il faut constater que le symbolisme des nombres de mesure, va très étroitement s'imbriquer à la mesure des cycles du temps universel.
Parmi les nombreuses mesures sacrées employées dans l'Antiquité, et plus près de nous dans les Cathédrales, on trouve la coudée sacrée ou coudée royale égyptienne, parce qu'elle correspond au module de construction employé dans la Pyramide de Cheops.
C'est exactement 0,5236 m, c'est à dire la sixième partie de PI = 3,1416
C'est également la longueur du bâton des Maréchaux de France.
Rappelons que le diamètre extérieur de la Mer d'Airain du Temple de Salomon, mesure 5,236 m, qui est également le double du carré du Nombre d'Or.

A Chartres le module de construction utilisé est 0,738 m.
La longueur du parallèle de Chartres (48ème degré de latitude nord) est de 26570 km.
26570 / 360° = 73,80 km
La coudée de Chartres est égale au 1 / 100 000 du degré du parallèle terrestre à Chartres.

A plusieurs reprises, j'ai parlé du Nombre d'Or. Il n'est peut être pas inutile de rappeler sa définition mathématique.
C'est le nombre qui augmenté ou diminué de 1, est égal à son inverse. Et dont la fonction du second degré a les racines qui sont:
0,618 et 1,618 [3]
Le Nombre d'Or est un nombre de vie, de proportion, d'harmonie.    
C'est lui qui régit nos Cathédrales Gothiques.

Influence des nombres dans les mesures de temps

L'Univers, espace sans limites, a été mesuré au moyen d'unités émanent de sa nature, et même de notre nature puisque nous mêmes, nous sommes une parcelle entre le tout et le rien, entre l'infiniment grand et l'infiniment petit.
De même le temps, considéré comme une durée finie, est mesurable par les seules espèces que le monde possède, c'est à dire le cycle des étoiles, du soleil, de la lune.
Rappelons quelques notions sommaires de cosmographie.
La Terre tourne autour de la ligne des pôles en 23 h 56 mn.
Elle tourne autour du Soleil en 365,242 jours.
Le plan de rotation de la terre autour du soleil, appelé écliptique forme un angle de 23°27'avec l'équateur[4]
Le pôle P du Globe, c'est à dire notre pôle actuel, décrit un cercle autour du pôle E de l'écliptique dans le sens rétrograde Sa durée est de 25.920 ans, appelé cycle zodiacal.
Soit un degré tous les 72 ans. Tiens ! Nous retrouvons ce nombre 72 déjà vu avec la coudée égyptienne et que nous allons retrouver de suite.
D'autre part, le pôle P n'est pas véritablement fixe. Il décrit sur lui même une petite ellipse appelée nutation et dont la durée est de 18 ans.

Il est surprenant de constater que le coeur d'un homme en bonne santé bat 72 fois à la minute. Son rythme respiratoire est de 18 fois à la minute. Soit un rapport de 4 à 1.
Le coeur bat 4 fois quand on respire 1 fois. On retrouve ici le 4, nombre de la mesure.
Si d'autre part, on calcule le nombre de respirations normales en 24 heures, on a:
18 x 60 x 24 = 25.920
C'est le nombre en années terrestres, de l'année du cycle zodiacal.
On trouve déjà ici une liaison entre l'Homme et l'Univers.
Les physiologistes ont mesuré et admis qu'un globule rouge mets 23 secondes pour parcourir le corps humain. Sachant qu'en 60 secondes, le coeur bats 72 fois, par une simple règle de trois, on en déduits qu'il faut 28 battements de coeur pour que le globule rouge parcours le corps de l'homme.
28 est le chiffre vital de l'Etre Humain. C'est également la durée du mois lunaire. C'est aussi le cycle de la femme.

Le rapport du système rythmique de l'homme est l'équivalent du rapport cosmique.
J'ajouterais que : 1 + 2 + 3              + 4 +                        5 + 6 + 7 = 28[5]
Avec 4 au milieu et 7 en butoir. On retrouve le nombre de la mesure et celui du sacré.
Et 4 x 7 = 28, le nombre de l'homme.

Je me suis amusé à rechercher une relation entre l'homme et le cosmos[6].
On arrive ainsi à
36+ 324 = 360
Or il y a 360° dans un cercle.
360 peut être considéré comme le nombre de la terre, puisque celle-ci est divisée en 360°

La Gravitation. Son influence

Bien que découverte et mesurée à une date relativement récente, la gravitation était déjà connue des Anciens.
Comme je l'ai indiqué, ce nombre 9,8176 est le triple de la croissance universelle.
Dans des conditions terrestres normales, tout objet se trouve soumis à 2 actions. Son poids, force dirigée vers le centre de la Terre, et une force centrifuge due à la rotation de la Terre. En France, l'angle résultant de ces deux forces, est de 6'environ.
En Géométrie, on peut constater le résultat de la gravitation dans l'ogive de la Cathédrale de Chartres.
Elle est décrite par Louis Charpentier dans son livre les mystères de la Cathédrale de Chartres.
L'écartement de l'ogive est plus petit aux pieds qu'en hauteur, d'une longueur égale à 0,98175 fois l'écartement en hauteur. Si bien qu'en regardant vers la voûte, les colonnes semblent parallèles.

Conclusion

De tout ce qui vient d'être dit, il faut maintenant tirer une conclusion. Pour cela je parlerais de fourmis.
Prenons une fourmilière en Australie, grand pays isolé par les mers. Dans l'univers de cet insecte, sa fourmilière est un monde organisé, avec sa reine, ses ouvrières, ses soldats. Il y a peu de chances qu'elle rencontre une fourmi venant d'une autre fourmilière située à 300 ou 400 m de là. Mais cela peut arriver et est dans le domaine du possible. Son univers sera donc limité à la fourmilière voisine.
Jamais elle ne pourra imaginer qu'il existe des fourmis en Chine ou en Amérique, car elle ne sait pas que ces mondes existent. Et que par ses seuls moyens, il lui serait impossible de les atteindre.
Et pourtant!
Nous, Hommes de cette Planète, sommes comme cette fourmi.
La fourmilière voisine est pour nous européens, la Chine, l'Australie. Mais nous savons qu'il existe ailleurs d'autres soleils, d'autres planètes, et plus loin encore, d'autres galaxies.
C'est pourquoi je pense qu'il existe ailleurs d'autres fourmis humai­nes que nous ne pouvons imaginer, mais bien réelles.
Les Lois mathématiques qui régissent l'Univers, sont et ne peuvent être que les mêmes partout. Pour deux raisons à mon avis.
La première purement physique, sont les Lois de Kepler.
Ces lois qui s'appliquent à des planètes, doivent s'appliquer aussi aux galaxies, car comme nous venons de le voir, tout est harmonie dans l'Univers.
La deuxième raison, purement philosophique, est que si l'Univers est oeuvre du Grand Architecte, on comprendrais mal pourquoi ce qui fonc­tionne bien ici, ne fonctionnerait pas aussi bien ailleurs. C'est un simple problème de logique.
Si bien que ce symbolisme des nombres qui régit l'Univers, doit se retrouver dans toute la création du G.A.D.L.U.
C'est dire que le symbolisme des Nombres est entier, cosmogonique. Notre nature humaine se développe au sein d'un système planétaire centré sur notre Soleil, au même rythme que ce système et que ses composants.
Tout est lié par les Nombres et porte peut être le sceau d'un G...A...
Même si ces nombres ne disent rien à l'esprit, ils portent en eux un symbole, une signification. Et posent une question : Comment tout cela est il arrivé ?


J'ai dit V\M\

A
\ Z\

[1]  40 000 / 360 = 111,1111               111,1111 / 25 lieues = 4444, 44 m
      4444, 44 / 3 = 1481, 48 m soit le mile romain
[2]  1,618² = 2,618
       2,618 x 2 = 5,236 en rapport avec le nombre Pi
       2,618 / 4  = 0,6545 = coudée éduenne.
       0,6545 / 2   =  0,32725 soit 1/3 de la gravitation terrestre
       0,98175 / 3 =  0,32725
[3]  x + 1 = x/1  d'où x² + x – 1= 0    dont les racines sont 0,618 et 1,618
[4]  voir dessin
[5] 1+2+3           +4+           5+6+7
        = 6              +4               = 18
           6              +4               + 18 = 28
[6]  6 x 1 = 6                18 x 5 = 90
       6 x 2 = 12                18 x 6 = 108
       6 x 3 = 18                18 x 7 = 126
               ----                            ------
                 36                             324      36 + 324 = 360 

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