GLFMM Loge : NC 16/01/2013

 
Les fondements de la sagesse d’egypte

Si vous relisez notre rituel du 1er degré, vous y trouverez un dialogue entre le V\ M\ et les surveillants à ce sujet. Les fondements du Temple de la sagesse d’Egypte sont les nombres mystérieux 3, 5 et 7 et leur somme 15. Ils sont le secret de notre entrée en chambre du milieu et la manifestation du S\A\D\T\L\M\M\ ; ordonnant l’essentiel de l’Etre par la sagesse, la force et la beauté.

Je vais rassurer tout de suite les inquiets qui me font le plaisir de m’écouter aujourd’hui en leur disant qu’il est bien évident que le terme fondement dont il est objet ici n’a pas de relation avec un détail anatomique bien que d’aucuns vous diront que le doigt de Dieu peut se poser partout. Il s’agit bien sur des fondements et non du fondement : des fondations, de la base sur laquelle le Temple est érigé, la ou les raisons essentielles qui ont fait que ce temple fut construit et continue de se construire.

Sans découvrir des secrets au-delà du grade d’Apprenti qui nous intéresse aujourd’hui, voyons donc ce que cela pourrait bien vouloir dire. Nous parlerons rapidement de ce que ces nombres peuvent symboliser que ce soit pour les nous Maçons ou plus généralement dans la numérologie et la symbolique universelle avant d’aborder ce que l’ancienne Egypte en avait fait.

Pour nous Apprentis Franc-Maçons, le nombre 3 est l’une des première constantes que nous avons rencontrées : le Delta Rayonnant, symbole du S\A\D\T\L\M\ ; les trois principes de l’alchimie que nous avons trouvé dans le Cabinet de Réflexion (1), les trois voyages lors de notre initiation, les trois grandes Lumières de la Franc Maçonnerie (2) ; les trois Piliers de la Loge (3) ou notre âge d’Apprenti de 3 ans et vous savez tous qu’en j’en passe...

Pour la numérologie, 3 est ce que l’on appelle la valeur secrète de 2, le résultat de l’addition dite « théosophique » qui est la somme du nombre et de ceux qui le précèdent 1+2=3. En application de ce petit calcul, vous trouverez par exemple que sur le plateau de Gizeh, les 3 pyramides principales (4), les 6 secondaires et le sphinx nous ramèneront à l’unité par une addition théosophique : 3+6+1 = 10 suivie d’une réduction 1+0=1.

D’aucun en concluront que l’Unité combinée au Binaire engendrent le Ternaire, que l’action induit la réaction, que la cause produit l’effet ; que des phases antagonistes et/ou complémentaires se recombinent pour générer un troisième état d’équilibre. D’autres y verrons la tripartition de l’être humain en corps, esprit et âme et ses trois formes d’intelligence : dextérité physique, intelligence intellectuelle et intelligence émotionnelle qui font que l’humain est un tout, qui font que le Trois explique le Un. D’autres enfin y verront la marque des trois pouvoirs que se doit de posséder tout Seigneur de ce monde : Temporel, Spirituel et Prophétique car toute communauté humaine a besoin de règles, pour se développer, progresser, ou « s’élever ». Et quoi de mieux que de posséder ces trois pouvoirs pour guider « le peuple » vers sa destinée ? Nous y reviendrons.

Au tarot, le troisième arcane c’est l’affirmation de la compréhension. C’est le 3ème sephirot de l’émanation appelée Binah. Pour les partisans farouches de la mixité on notera qu’elle est représentée par une femme revêtue de soleil avec la lune sous ses pieds. Son coté positif est l’intelligence mais les mauvaises langues diront que son côté négatif est la masse sans cerveau qui écrase sans pitié.

Parlons du 5 que nous rencontrerons à de nombreuses reprises durant notre parcours maçonnique. Pour les numérologues, 5 est le nombre du pentagramme. Il y a celui dit convexe – plutôt un pentagone d’ailleurs - celui de l'Humain en puissance, potentiel, profane et le pentagramme droit – étoilé avec la pointe dirigée vers le haut, symbole de l'Homme réalisé, initié.

Ce 5 est une dualité tantôt bénéfique et tantôt maléfique selon l’œil qui le regarde. Il est le 5 du pentagramme de l’Homme de Vitruve (5), symbole de l’humanisme. L’Humain y est considéré comme le centre de l’univers avec des capacités intellectuelles potentiellement illimitées qui doivent pouvoir lui donner accès à la parole divine quelles que soient ses origines ou sa langue. Mais retournons le pentagramme pour y mettre deux pointes par-dessus et nous obtenons le symbole de la sorcellerie où les deux cornes de Satan (le binaire) dominent le Ternaire.

Au tarot, le cinquième arcane, c’est le Pape : celui qui détient la doctrine : il donne une protection bienveillante, une tonalité spirituelle et saine aux événements.

Le 7, est lui le nombre de l’Esprit dans toutes les cultures du monde : c’est le nombre sacré par excellence, partout l’image de l’union entre la Divinité et la nature humaine. Le résultat de l’addition théosophique de 7 est 28 : 1+2+3+4+5+6+7=28 – on appelle cela sa valeur secrète qui, par réduction, se ramène à 2+8=10 et pour 10 : 1+0 =1, l’Unité. Bingo...comme pour les pyramides de Gizeh, avec trois sous d’imagination, on peut leur faire dire beaucoup de choses à tous ces nombres...

Le quinze quant à lui est un nombre passablement perturbant puisque pour les numérologues, il s’agit du nombre de Satan. Pour le retrouver on doit en faire la réduction : 15 : 1+5=6 ; 6, le chiffre du doute et des deux voies, celle qui conduit à Dieu et celle qui conduit au Diable, ou plutôt aux diables puisque l’église en avait déjà définit 33 lors du premier Concile de Braga (6) sur les 800 et plus que dénombre la démonologie d’aujourd’hui.

Alors enfourchons notre chameau (ou pour les enfants du papy-boom dont je suis, grimpons dans notre méhari) et partons en Egypte... Chez les anciens Egyptiens, l’ensemble ternaire est composé de Thoth, d’Isis et d’Osiris.

Toth est l’un des 6 premiers rois-dieux qui ont précédé les humains, nés de la semence d’Atoum et de Noun, l’océan primordial qui a fait la Vie et qui fera la Mort ; l’océan sans créateur et qui s’étend autour du monde - une notion que l’on retrouvera plus tard dans la Kabale. Toth est surnommé « le seigneur du temps » car il préside aux phases de la lune. Inventeur de l'écriture et du langage, il est l’incarnation de l'intelligence et de la parole. Thoth est le détenteur de la connaissance, qu’il est chargé de diffuser.

On peut affirmer sans trop de risques que la culture de l’antique Egypte fût à la base de la philosophie Européenne. Les grands penseurs Grecs y voyagèrent et revirent chez eux empli de la vision égyptienne de l’humanité, de ses origines et de son devenir. Importé dans le monde antique européen, Thot y sera assimilé à Mercure chez les Romains et Hermès chez les Grecs et il traversera les siècles pour nous sous le nom d'Hermes Trismégiste (7).

Dans le livre de ce dernier appelé « Les Tablettes d’Emeraude », on y lira « Le 3 détient la clef de toute magie cachée. C’est lui le créateur des Chambres de la mort (que les Egyptiens appellent les chambres de l’Amenti) ; il déploie son pouvoir pour enfermer les âmes des humains dans l’obscurité. C’est le régisseur de tout ce qui est négatif pour les enfants des humains ».

Le Ternaire y retrouvera l’Unité et le Binaire par cette parcelle de divin, cette pierre cachée en nous que nous rectifions jour après jour car on y lira aussi : « l'humain terrestre est un dieu mortel ; le dieu céleste est un humain immortel et c'est pourquoi tout se manifeste au moyen de ces deux entités : le Monde et l'humain, mais toutes choses émanent de l'Unique.

Et dans « Les Tablettes de Thoth », il dira à propos du 5 : 5 est le maître, le Seigneur de toute magie, la clef du Verbe qui résonne parmi les hommes ». En parlant de lui-même : « Je suis Thoth, l’Atlante, maître des mystères, gardien de la Mémoire ancestrale, Roi, Sage et Mage. Je suis celui qui survit d’une génération à l’autre et qui s’apprête à entrer dans la Chambre de l’Amenti pour guider ceux qui me suivront dans les souvenirs de la grande Atlantide ». Au 5ème paragraphe de ce même livre, on y apprendra l’existence d’un personnage nommé Horlet. Il était le Roi des nations, le Sage parmi les sages, le Gardien de la voie et la Lumière de la terre durant l’époque de l’Atlantide. Détenteur de la Sagesse universelle, il enseigna aux humains la voie de la Lumière et de la réalisation. Il maîtrisa l’obscurité et conduisit l’âme des humains vers des sommets qui étaient Un avec la lumière. Il savait condenser l’éther cette substance essence de la lumière, d’une couleur noire sans être noire, obscure comme l’espace-temps. Grâce au pouvoir de son Logos, il moulait l’éther et le formait selon son vouloir pour constituer une substance palpable qui prenait la forme qu’il concevait avec son esprit... Voila pour Toth...

Isis dans notre rituel est celle qui fait dire au Vénérable qu’elle « sait rassembler la parole sacrée, la maintenir en son ordre et la communiquer aux initiés ». Hermès Trismégiste ne disait-il pas « Le Cosmos tout entier n’est qu’un papyrus issu des mains des Dieux que vous devez chercher à lire et à comprendre » ?

Isis est la déesse mère du Nil, symbole de la féminité. C’est la Grande Déesse par excellence qui représente la matrice, divinité protectrice des enfants et protectrice du défunt. Elle est l'épouse et la sœur exemplaire qui, grâce à ses pouvoirs magiques réussit à ressusciter Osiris, son frère et époux.

En effet, Osiris est assassiné par Seth son frère cadet, jaloux de lui. Il meurt noyé dans le Nil et malgré le démembrement de son corps, il retrouve la vie par la puissance magique de sa sœur Isis qui lui reconstitue un phallus dont elle n’avait pu retrouver la trace et grâce auquel il lui donnera un fils nommé Horus. Comme quoi les fondements de la sagesse d’Egypte ont parfois des épisodes coquins...

Je ferai une courte digression ici : pour venger la mort de son père Osiris, Horus affrontera son oncle Seth, et gagna le combat. Cependant, lors du combat qui les opposa, Horus perdit son œil gauche découpé par Seth en 6 parties. Il fut reconstitué par Thot – encore lui - malgré une partie manquante. L’œil d’Horus, devenu symbole par lui-même est appelé Oudjat. Il servait à la mesure des capacités et les volumes chacune de ses parties valaient respectivement 1/2, 1/4, 1/8ème, 1/16ème, 1/32ème et 1/64ème. Il ne vous aura pas échappé que le total fait 63/64èmes et non pas 64/64èmes... La partie manquante sera décrite comme le symbole de l’intervention divine de Thoth. La sagesse d’Egypte avait pris en comptes les approximations que notre cerveau humain est parfois obligé de composer...

Revenons à Osiris dont le martyre lui vaut de gagner le monde de l'au-delà dont il devient le souverain et le juge suprême des défunts. Osiris est aussi une divinité qui veille au bon fonctionnement de l'univers. Inventeur de l'agriculture, son règne est bienfaisant et civilisateur, à l'œuvre dans le défilé des étoiles ou dans le cycle saisonnier de la végétation.

Pour les Egyptiens, le septénaire lui, était à la base de leur théologie occulte. Hermès Trismégiste eut la vision de 7 cieux étagés sur sa tête comme 7 globes transparents et concentriques dont il occupait le centre et la voix de Nout, mère d’Isis qui lui disait « écoute et comprend car tu vois ici les 7 sphères de toute vie ». Dans son Corpus Hermeticum, on y lira à en réponse à une de ses questions « L’essence de Dieu est le bien, le beau, la béatitude, et la sagesse (8) » qui nous rappellera l’évocation du second Surveillant lors de l’allumage des colonnes « « j’ai pour essence le bien, le beau, le bon, le véridique ». Dans ses Tablettes d’Emeraude pour le 7 : « 7 est le Seigneur de l’immensité de l’espace et la clef des Temps ». Dans les chambres obscures de l’Amenti, il y a 7 grands pouvoirs qui régissent les cycles extérieurs.

Mais arrêtons-là notre voyage onirique et revenons sagement et peut-être à regret vers d’autres fondements bien matériels ceux-là, du Temple de la sagesse d’Egypte. Il s’agit de la Maât, la grande création des penseurs de l'Ancien Empire ; l'ordre juste du monde, l'équilibre, qui fut la base de l'identité culturelle égyptienne et dont Osiris est le grand ordonnateur.

Initialement, la Maât est confondue avec la volonté du pharaon et suppose le service des hommes : la Maât, c'est ce que dit le pharaon du moins dans l’ancien empire (9). Le dieu Osiris est présenté comme un empereur défunt puis divinisé. Son apparition semble intimement lié à l’impérium égyptien et résulte probablement d'une de ses décision car son culte se diffuse soudainement sur l'ensemble du territoire égyptien, lors des débuts de la 5ème dynastie (10). Le dogme Osirien est élaboré par le clergé d'Héliopolis qui se charge de le diffuser dans tout le pays sous le contrôle du pouvoir du pharaon. On voit déjà là l’emprise que le pouvoir temporel veut avoir sur le spirituel afin de contrôler l’empire – l’ébauche des trois pouvoirs.

Plus tard, cette notion va évoluer : elle sera l’expression d’une vie conforme à la justice, équilibrée, vertueuse et au respect de l’ordre établi. Maât symbolise la norme universelle : l'équilibre établi par le Créateur, mais aussi la justice qui permet d'agir selon le droit, l'ordre qui fait conformer les actes de chacun aux lois, à la vérité, à la droiture et à la confiance. Seule celle-ci pourra conduire à l'immortalité, selon le Jugement de Maât.

En effet, pour les Egyptiens de l’antiquité, il y a un effort permanent de l’humain à faire dans son existence terrestre pour pouvoir prétendre accéder au royaume des dieux, seule l'ignorance de l'enfance pouvant présenter des circonstances atténuantes. Ils admettaient un salut de l’âme mais le soumettaient au poids du jugement d’Osiris, dans un tribunal céleste où chacun devait comparaitre pour tenter de faire reconnaître ses droits à la vie éternelle. Dans la cérémonie de la pesée du cœur, le défunt, confronté à l’accusateur divin est jugé à l'aune de la plume d’autruche de Maât, la déesse de la vérité et de la justice, et lui rend compte de ses actions et de sa manière de vivre sur terre. Le jugement des morts est un tribunal divin qui autorise le passage à la partie immortelle de l’Humain qui est maintenant devenu responsable de ses propres actions par l'intermédiaire de ce que lui dicte son cœur.

Pythagore nous a ramené l'antique sapience du Temple sacré d'Égypte et sa célèbre loi : « Juste de pensée, juste de parole, juste d'action, et trop de Maât, n'est plus Maât ». On y retrouve déjà le juste milieu des Bouddhistes de l’ancienne Inde.

Mais le pouvoir Egyptien est revenu rapidement à la notion initiale de la Maât, celle ou la parole de l’empereur avait force de loi. Elle reprendra rapidement sa deuxième dimension, bien terrestre celle-là, ou elle sera l'expression sociale et juridique de l'ordre établi. Dans les faits, c'est le rôle du pharaon que de parler en lieu et place d’Osiris pour rendre la justice au nom de la déesse.

Cette notion à ébranlé les penseurs grecs car Maât, de ce point de vue, c'est le conservatisme absolu, la négation de toute évolution sociale ; c'est l’humain obéissant qui reste à sa place. L'individu n’a pas à se manifester en tant que tel, il n'a pas à réclamer d'autonomie : il n’est qu'un maillon d'un tissu social global où il lui est demandé de se fondre. Toute tentative de modification de l'état des choses est non seulement dangereuse pour la société mais pour le cosmos lui-même. Maât, en tant que concept, correspond donc parfaitement à la réalité sociale de l’antique Egypte, composée de sujets (et non de citoyens) dominés par un pouvoir omniprésent.

Je vous rassure tout de suite : les premiers égyptiens ne furent pas les seuls à mettre en place une conception de la philosophie qui servait l’Etat. A l’autre bout de la planète, les taôistes firent pareil : il n’est pas question de faire évoluer la société établie : l’inutilité sociale et la vacuité d’un cœur libéré de tout souci mondain, étant les aspirations les plus courantes de la voie taoïste préservant par là l’ordre établi.

Cette forme de la Maât fut la base de tous les systèmes totalitaires que l’histoire à connu et connait encore aujourd’hui. Dans nos systèmes politiques actuels, nous en connaissons une forme douce appelée en Europe la pensée unique ou, chez les anglo-saxons, le politiquement correct. C’est une forme de domination idéologique qui promeut certains choix de société qui voient dans la permanence d'un esprit étatique, collectiviste, centralisateur et nationaliste la seule voie respectable pour servir l'intérêt général et devant primer les libertés et responsabilités individuelles.

Il n’y a pas à dire, les fondements de la sagesse d’Egypte sont toujours bien vivaces aujourd’hui que ce soit pour la construction de notre temple spirituel ou celui bien plus matériel du pouvoir qui nous gouverne.

J’ai dit, Vénérable Maître.

J\-M\ Ch\

Note :
(1) Le sel, le soufre et le mercure.
(2) Volume de la Loi Sacrée, Compas et Equerre.
(3) Force, Sagesse et Beauté symbolisés par le V\ M\ et les deux Surveillants.
(4) Khéops, Kefren et Mykérinos.
(5) Dessin de Léonard de Vinci en 1492.
(6) Le concile de Braga eut lieu dans la ville portugaise de Braga du 1er mai 561 à 563. Les diables qui y furent reconnus sont : Abigor ; Abrasax ; Adramelech ; Agaliarep ; Aguarès ; Aloger ; Amducias ; Aamon ; Andras ; Asmodée ; Astaroth ; Ayperos ; Azazel ; Bael ; Balan ; Béhémoth ; Bélial ; Belphégor ; Belzébuth ; Berith ; Caym ; Empuze ; Eurynome ; Fleurety ; Furfur ; Lucifer ; Lucifuge ; Malphas ; Mammon ; Moloch ; Nébiros ; Raum et Satanachia.
(7) Ils furent trois en fait : le premier Hermès est Thot, et son fils est Agathodé, dont le fils est le deuxième Hermès, et dont le fils est Tat. C'est le deuxième Hermès qui sera appelé Trismégiste à partir du IIème siècle de notre ère. Pour les Arabes, le premier Hermès est petit-fils d'Adam, qui vécu en Égypte avant le déluge. Le deuxième Hermès vécu après le déluge de Babylone, connaissait la philosophie, la médecine et l'arithmétique, et fut le maître de Pythagore. Le troisième Hermès a vécu en Égypte, il pratiquait la philosophie naturelle et la médecine et a inventé l'alchimie.
(8) Pymandre à Hermes II.5.
(9) De la 3ème à la 6ème dynastie, entre -2980 à -2350 avant JC.
(10) Entre -2750 et -2500 avant JC.

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