ll s'agit d'une habitude. La seconde fois ou cela se produit. Voilà la seconde fois où je me trouve aveuglé, privé de la vue, cagoulé, et me laissant porter par une main inconnue, mais ferme néanmoins.

Une entrée, puis une découverte, celle du cabinet noir. Rempli de symboles. Tous assez compréhensibles, car parfaitement écrits, décrits ou représentés, sauf un. Un seul qui emporte ma réflexion pendant la plus grande partie du temps: V.I.T.R.l.O.L. Ce n'est que vers la fin du temps - beaucoup plus long qu'annoncé - que je remplis le questionnaire proposé à notre rétlexion. Rapidement...Je me suis laissé piéger par l'environnement, j'ai touché, manipulé, ausculté chaque partie des objets, des messages, des matières proposées...
Un sentiment de solitude, de fin du temps, de fin des temps montre clairement la fin d'une étape. Pourtant elle se fige en moi, au-delà de la reflexion intime et interne, physiquement.
Premier impact.

Puis la main, revient. Alors s'en suit un long parcours ou les impacts physiques sont importants. C'est ce qui emportera, au-delà des messages, au-dela des discours, au-delà de ma propre réflexion, qu'il s'agisse du chemin tortueux, de la porte, du feu, du vent, du sable, de la terre, des brûlures, des engagements, de la lumière, des menaces, des règles... Ce sont,  et c'est ce qui emportera la vraie réalité sur les symboles, les actions concrètes et physiques, c'est ce qui restera: la réalité de cette initiation.
Au risque de ne pas être moulé, à la fin, lors de ces épreuves.

Il reste que depuis ces moments, revisiter ces épreuves est une partie de la consommation de mon temps. La main était là.. Elle est à nouveau la , virtuelle. Les concepts vont prendre le pas sur la réalité; Grâce au temps.
Grâce à l'oubli. ll ne restera que la pensée.

Quand la main sera de nouveau là ?

J 'ai dit, V M _
 
GU