GLFM Bulletin : Bulim Misraïm 10/2009


La voie "juste" du Franc-maçon

À travers l'étude des Symboles et de la Symbolique de la Civilisation de l'ancienne Égypte

Au nom du GADLU, VM, mes F et S en vos Degrés et Grades, je voudrais vous présenter comment les symboles et la symbolique de la civilisation de l'ancienne Égypte nous montre la "voie juste" sur laquelle chaque franc- maçon devrait se maintenir pour tendre vers le perfectionnement de son temple intérieur, tendre vers la véritable fraternité, le véritable humanisme, la véritable rectitude morale, la véritable sagesse. Il s'agit de cette voie juste qui permet d'approcher la Beauté, cette fine lueur comparable à la perfection mais qui reste pourtant inatteignable, car le travail sur soi n'est jamais vraiment terminé et se poursuit à l'Orient éternel.


QU'EST CE QUE LA VOIE JUSTE ?
C'est la voie que nous enseignent les outils et les symboles de l'initiation. C'est la voie que nous enseignent aussi les symboles issus du livre des morts ou livre de vie de la civilisation de l'ancienne Égypte. C'est cette voie qui, inexorablement, devrait nous pousser à nous comporter à chaque instant de notre vie, uniquement dans le bien, le bon, le juste, le droit, en lutant contre tous les démons, toutes les tentations, toutes les envies qui jalonnent notre vie terrestre.

QUELLES SONT LES RACINES DE LA CIVILISATION DE L'ÉGYPTE ANCIENNE ? Dans la civilisation de l'ancienne Égypte, tout concoure à l'élévation de l'esprit. Les anciens Égyptiens n'ont jamais voulu ériger de palais royaux, ni de places militaires, mais des temples, des bâtiments religieux, dont la beauté et la dignité forcent encore le respect, depuis plus de 4.000 ans. L'art Égyptien présente toujours, pour ceux qui s'y intéressent, des personnages dignes, certes sereins mais comme préoccupés par une transcendante, un but, un objectif lointain qui oblige au maintien et à l'observation d'un code de conduite bien précis.

Toutes les pratiques et religions de la civilisation de l'ancienne Égyptienne étaient dominées par le mystère de l'autre vie, par l'unité du cosmos et par la transformation de la conscience vers son perfectionnement. La mort au lieu d'être vécue comme une fatalité, était maîtrisée pour donner place à une nouvelle naissance. La religion Égyptienne ne revêt pas un caractère dogmatique définitif tout en ayant pour seule préoccupation perceptible, les mythes et les symboles. Mais quoi qu'il arrive, elle convergeait surtout et avant tout vers l'aspiration à un renouvellement de l'être orienté vers le divin.
Il faut savoir que la vie politique et sociale de l'ancienne civilisation égyptienne était bâtie sur les principes suivants : pérennité, stabilité, désintérêt pour la conquête et l'expansion dans l'espace, pas d'impérialisme, pas de quête du pouvoir personnel, respect mutuel entre époux, charité et respect du prochain, perfection morale, répugner l'usage de la force, le salut de l'âme accordée au bout d'une vie juste.
Le pharaon devait être l'arbitre de justice : il devait en cas de guerre se montrer généreux avec les vaincus et exclure toute notion de compétition, pour rechercher à chaque instant l'harmonie universelle, la MAAT qui nous guide vers la bienveillance envers autrui, l'accomplissement de la justice dans chaque fonction, la protection du faible, la prescription de toutes mauvaises paroles, le rejet de tout écart de langage et de toute forme de colère, même quand cela est lié à une injustice.

Mais cette vision, même si elle était très répandue, n'était pas accessible à tout le peuple, car elle était réservée seulement aux initiés.

QUELS SONT ALORS LES ENSEIGNEMENTS DU LIVRE DES MORTS SUR "LA VOIE JUSTE" Rappelons avant toute chose ici, que le livre des morts peut se lire et se comprendre selon qu'on le lise de manière exotérique comme un profane ou de manière ésotérique comme un initié avec les enseignements tirés des symboles.

Ainsi, tout part d'OSIRIS qui est le pharaon qui sortit l'Égypte de la privation et qui a bâti le socle et le concept de la civilisation de l'Égypte ancienne. OSIRIS, est l'être de lumière, le bon, le juste, le droit, le sage, le dieu des morts et du passage à la vie éternelle, le Seigneur de la vérité et de l'Intelligence. Il est le modèle, pour tout individu qui espère vaincre la mort.

Le processus initiatique fait référence au mythe d'Osiris. Il fut assassiné par son frère Seth (allusion à Satan), qui était jaloux de lui. Il jeta son corps dans le Nil. Le corps fut retrouvé par Isis, sœur et épouse d'Osiris, mais Seth s'en empara à nouveau et le découpa en
14 morceaux qu'il dispersa dans toute l'Égypte. De nouveau Isis repartit à la recherche des 14 morceaux avec sa sœur NEPHTYS, épouse de Seth. Elles n'en retrouvèrent que 13, le 14è, le Phallus ayant été mangé par un poisson du nom d'Oxymorphis.

Isis, grande magicienne, qui constitua la 1è momie d'alors, réussit à redonner à Osiris une vitalité réduite afin de recueillir son sperme pour faire naître son fils Horus, l'être nouveau. Il lutta contre son oncle Seth, qui représente ici l'ensemble de tous les démons qui nous bloquent dans notre démarche. Horus a vaincu Seth et a pu de ce fait aller au royaume des morts ramener Osiris à la vie. On voit ici réitérer l'image que nous pratiquons tant en maçonnerie, à savoir Osiris éparpillé et Isis allant réunir tous les éléments épars pour en sortir Horus, l'initié, l'être nouveau.

Ainsi dans le rituel d'initiation, l'initié meurt d'une mort rituelle, revisite son royaume intérieur, lutte contre les démons qui l'empêchent d'être pur, pour enfin renaître et devenir l'initié, l'être nouveau.

Osiris est mort et ressuscité : ce qui signifie la réintégration à l'unité originelle par la convergence des énergies jusqu'alors éparses dans la nouvelle âme réunie. L'appellation d'Osiris s'applique aux individus parvenus à cet état de renaissance. Osiris bien que mort, règne sur le monde inférieur immobile et néanmoins présent, pour remplir son rôle fondamental qui consiste à juger les morts devant la balance de justice et de vérité ! C'est ainsi qu'on évoque le tribunal d'Osiris qui jugera et prendra acte du devenir posthume de chaque individu en fonction de son comportement durant sa vie terrestre, grâce à la déclaration innocence énoncée par les 42 confessions négatives, dont voici quelques énoncés de fautes : je n'ai pas fait punir un serviteur par son maître, je n'ai fait pleurer personne, je n'ai causé de peine à personne, je n'ai pas mis mon nom en avant pour les honneurs, je n'ai pas rendu ma voix hautaine, je ne me suis pas rendu sourd à des paroles justes et vraies, je n'ai jamais failli dans ma fonction d'aider les plus faibles, on n'a pas eu à me faire de reproches, j'ai toujours respecté et salué celui qui était plus grand ou plus petit que moi, j'ai fait et répété le bien, j'ai toujours été juste, le mal n'a jamais habité mes pensées, je n'ai jamais agi avec arrière pensée, etc ....
Ces engagements et les devoirs qui en découlent obligent à faire le bien durant notre vie terrestre.

Le livre des morts est un livre d'initiation qui nous apprend comment continuer sur la "voie juste", en recherchant constamment en nous, l'Osiris, l'être bon et de lumière, et en luttant constamment contre les démons et les tentations intérieures.
C'est seulement quand on aura mené ce combat et vaincu les épreuves qu'on pourra
prétendre être un Horus, l'être initié, qui pourra passer avec succès les épreuves du tribunal d'Osiris.

Dans notre chemin initiatique, si nous voulons rester sur la "voie juste", les Neter égyptiens doivent être pour nous des principes de vie à pratiquer, à s'approprier et à respecter. 5. Ainsi, dans l'ancienne Égypte, chaque dieu représentait un principe, un Neter.
MAAT par exemple est la déesse de la vérité, de la justice, de l'équilibre, de la droiture, de l'harmonie, de l'ordre du monde, de loi universelle, etc...

La MAAT veut dire la voie juste, celle qui est garant du tribunal d'OSIRIS, garant de la paix intérieure et de l'innocence de chaque individu. Elle est symbolisée par une balance : d'un côté le cœur, représentant nos actes durant notre vie et de l'autre la plume de MAAT, pour mesurer l'innocence du cœur comparée à la légèreté de sa plume, c'est-à-dire pour savoir si le cœur a été fidèle aux vérités de justice pour pouvoir prétendre à la vie éternelle.
Le Pharaon constitue l'exemple face à ses sujets et son peuple, parce qu'il incarne Maât, car il accomplit son œuvre en harmonie avec le cosmos pour assurer la stabilité de l'état.
On évoque souvent Maât pour souligner la véracité d'un témoignage, l'exactitude d'une mesure, l'honnêteté d'une transaction ou l'équité d'une décision de justice.

THOT est l'initiateur, dieu à tête d'Ibis qui mettra fin à la lutte entre Seth et Horus. Il préside aux relations avec l'autre monde. Thot est l'incarnation des maîtres de la sagesse, il évoque l'influence spirituelle que transmet l'organisation initiatique. Il est le NETER symbolisant de la Sagesse et des Sciences.

LE DIEU SOLAIRE "RA" est une divinité majeure. Il dispense chaque jour la vie à la terre par son énergie rayonnante au rythme de son existence, dans son trajet visible d'est en ouest avant de replonger le soir par l'ouest, dans le monde obscur et souterrain correspondant aux 12 heures nocturnes de son trajet invisible.
ISIS est la déesse qui libère les faibles et les vaincus, comme elle a su libérer Osiris.

SETH est Satan, les démons qui sommeillent en nous et que nous devons apprendre à combattre et vaincre pour pouvoir nous présenter devant Osiris le jour de notre passage vers la vie éternelle.

HORUS est l'être nouveau, né de l'immaculé conception, d'OSIRIS, mort et ressuscité et d'ISIS, sans acte consommé. Il a su vaincre les forces du mal qui sommeille en lui, et c'est en Horus que nous devons nous présenter le jour dernier. On voit d'ailleurs dans ce symbole, les fondements futurs de la religion catholique avec le parallèle entre Horus et Jésus.

ANUBIS est le dieu et le maître des mystères de l'initiation et c'est aussi le dieu à tête de chacal qui introduit les morts dans l'au-delà pour les présenter devant le tribunal d'Osiris.
A travers cette évocation de quelques dieux, on voit bien que les dieux ne se battaient pas entre eux et ne se contredisaient pas dans leurs principes. Chaque dieu respecte de manière complémentaire les mêmes principes que les autres, sachant que l'objectif final est le passage devant le tribunal d'Osiris. Ils oeuvraient dans la même direction, dans la "voie juste". Chaque dieu est complémentaire aux autres, car à eux tous, ils représentent tous les Néter, tous les principes pour "vivre juste, dans la voie juste". Ainsi, pour être dans la "voie juste", il faut commencer par être l'exemple, appliquer à soi même les principe de vérité, de justice, de générosité, d'humanisme et de tolérance et non pas demander aux autres de l'être.

De ce fait, s'il nous arrive quelques fois de subir des comportements inacceptables de certains F et S, des mots violents, des situations blessantes qui n'ont pas lieu d'être, nous devons savoir qu'autant l'autre commet des erreurs, autant nous pouvons aussi en commettre. De ce fait, nous devons accepter quel que soit notre grade, de toujours apprendre à mieux écouter, mieux accepter et mieux regarder l'autre, surtout si ses remarques participent de l'effort tant attendu pour la construction de la maçonnerie universelle. D'ailleurs c'est pour cela que l'on n'entend jamais les dieux se battre entre eux, que l'on ne parle jamais des défauts des dieux, mais toujours de leurs qualités.
Pour que l'on ne parle pas de nos défauts, nous devons être constamment dans la "voie juste", du bien, du bon, du droit, de la tolérance, irréprochable et proche des autres. C'est pour tout cela que dans l'Égypte ancienne la sélection des candidats à l'initiation étaient très dure et ils devraient être reconnus apte à l'exercice des fonctions sacerdotales ou civiles pour le grand bien de la société et de l'humanité avant tout.

Nous devons donc, dans nos loges, régler de
manière irréprochable notre processus de sélection des candidats à l'initiation, notre cadre et nos règles d'enquête, mieux régler la préparation de nos tenues, pas d'ascension trop rapide pour les F/S, sans aucun comportement entre grands initiés qui soient incompréhensibles pour les nouveaux initiés, et qui leur donnerait envie de poursuivre leur chemin initiatique de façon non assidue, voire même de nous quitter. Les pharaons, grands initiés se refusaient à toute gloire, toute idée d'hégémonie ou de supériorité sur l'autre. De ce fait toute bataille de chef doit être banni, car inacceptable pour certains, qui ne comprennent pas de trouver pareille situation chez de grands initiés qui sont censés par ailleurs les aider à atteindre l'Horus, l'être nouveau, initié dans la "voie juste".
On peut conclure ici que le livre des morts nous montre sans ambiguïté les deux aspects qui habitent tout individu, à savoir le bon et le mauvais, le bien et le mal.
Les différentes épreuves que nous révèle les livres de morts, n'a qu'un seul objectif : nous convaincre de tendre vers le 1, l'être initié, l'être nouveau, l'Horus, celui qui doit rester sur la "voie juste" empruntant les symboles de tous les Neters susceptibles de l'aider à passer le tribunal d'Osiris pour poursuivre sa route vers la vie éternelle.

ENFIN UN MOT SUR LA CROIX ANSÉE – ANKH QUE L'ON TROUVE DANS LA MAIN DES DIEUX ET PHARAONS
Il est essentiel de s'intéresser à ces F et S qui s'interrogent sur la voie juste, et qui déçus, ne viennent plus, ne répondent plus aux appels de l'ellémosinaire, ou tout simplement décident de
quitter leur tablier car, libres et de mœurs, ils sont venus d'eux-mêmes et peuvent aussi repartir librement. Il me paraît fondamental de leur tendre une main secourable, une oreille pour entendre leurs douleurs ou leurs inquiétudes, peut être même pour mieux les entendre et nous améliorer, grâce à notre regard dans notre miroir. N'est ce pas à cet effet là qu'un miroir incrusté dans la croix ansée – ankh - nous a été remis lors de notre initiation ? L'ANKH symbolise la vie, la fraternité, l'amour, la vie éternelle, le souffle de la vie éternelle, la prospérité et la stabilité. L'ankh désigne la vie éternelle et universelle cachée dans chaque chose. C'est le symbole de la naissance vers une vie éternelle, si nous savons nous rappeler et user des principes pour rencontrer Osiris dans la pureté.

Ce miroir incrusté dans l'ankh serait-il réservé exclusivement aux nouveaux initiés ? Pourquoi sur les papyrus de l'ancienne Égypte tous les dieux et pharaons, en tiennent toujours un à la main ?
Ne dit-on pas à ce sujet que quel que soit notre grade nous ne sommes que de perpétuels apprentis, toujours capables de silence, d'apprendre de l'autre, d'entendre l'autre pour mieux nous améliorer par son regard et l'image qu'il nous renvoie ?
Donc avec un regard dans ce miroir que nous tenons à la main pour la vie dite éternelle, certains soucis rencontrés par nos F et S pourraient dès lors se révéler à nous comme une lumière inespérée. Nos actions et nos décisions devraient aller forcement dans le sens d'un renforcement, d'une consolidation et de la pérennisation de nos propres fondations.

En conclusion, être dans la voie "juste" du franc-maçon consiste à d'abord s’appliquer à soi même, comme le faisaient les dieux et les pharaons, les différents principes ou Neter de la maçonnerie au lieu de le demander aux autres. Nous devons donc tous devenir des modèles d'exemplarité et prendre en tout temps conscience que nous avons les outils et les symboles pour nous améliorer.

Si tu souhaites que tes F et S soient
fraternels, commence par l’être toi-même. Si tu souhaites que tes F et S te respectent, commence toi-même par les respecter.
Si tu souhaites que tes F et S écrivent des planches, commence par en écrire toi- même.
Si tu souhaites que tes F et S t'écoutent, commence par les écouter toi-même.
Si tu veux que tes F et S te comprennent, commence par trouver les mots justes et l'endroit idéal pour leur parler.
Si tu souhaites une tenue parfaite, commence par arriver à l'heure, t'entraîner, lire lentement le rituel afin que chacun de tes F et S s'en imprègne pleinement
Si tu aimes ta loge et la prospérité de ton Obédience, commence par payer ta capitation, tes agapes sans qu'on te le demande et en cas de difficultés n'attends pas que les conflits s'installent pour aller en parler avec ton Elémosinaire.
Si un F ou une S s'en va, cherche à comprendre ses raisons et sors ton miroir de ta poche pour voir s'il n'y a pas lieu d'effectuer quelques ajustements chez toi même, mais surtout ne l'ignore pas car tu ne passeras jamais le tribunal d'Osiris, pour poursuivre ton chemin à l'Orient éternel. Ces principes doivent selon mes observations s’appliquer à toute la maçonnerie comme un contre-pouvoir obligeant à la réflexion et des décisions devraient être prises le plus vite possible en cas de manquement, avant que l'écart momentané de la jambe droite que favorise le 4è pas de la marche du compagnon, ne devienne un écart définitif, regrettable pour notre communauté tout entière. Nous devons veiller à ce que ce 4è pas ne débouche pas sur un 5è qui constitue le retour à la rectitude, à la MAAT, à la voie juste, la vérité, la justice, l'équilibre, la droiture, l'harmonie, l'ordre du monde, la loi universelle, etc...

Mais tout cela doit être une affaire de foi. Avoir la foi ne consiste pas à venir en loge
une fois par mois tout simplement pour honorer l'engagement pris lors de la cérémonie d'initiation. Avoir la foi c'est consacrer quelques instants de son temps précieux à réfléchir à des solutions pour perpétuer les structures et le système auquel on a adhéré : qu'est ce qui ne va pas, qu'est ce que je peux apporter, qu'est ce que je peux faire pour améliorer l'existant, qu'est ce que je peux faire pour aider à la pérennisation de la grandeur de l'œuvre ?

Quand toutes ces questions nous viennent à l'esprit, alors nous nous rendrons compte que nous sommes sur la "voie juste", que lors de notre confession négative devant Osiris, nous ne serons pas triste et que notre cœur s'émerveillera de toutes nos actions accomplies sur terre. Il serait bien que le sac aux propositions revienne chaque fois plein de suggestions, de propositions, de remarques constructives, afin que nous grandissions tous ensemble par le constat et les remarques de chacun d'entre nous.

Aussi, pour terminer, mes chers S et F, libres et de bonnes mœurs, abordez, suggérez pour ne pas subir, afin que l'Étoile flamboyante et les dieux de l'Égypte ancienne nous aident à rester dignement sur la "voie juste", . . . surtout pour aller vers le monde souterrain avec plénitude, espoir, bonheur et enthousiasme.

Benj\ Joh\ - de Meter 31

Publié dans le Bulim - Bulleyin N° 11 - 30 Octobre 2009  -  Abonnez-vous

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