GLFM Bulletin : Bulim Misraïm 10/2009


Discours du
Sérénissime Grand Maître E\ J\

A LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L'UNIVERS

Très illustres, très respectables, respectables, très vénérables, vénérables Maîtres et vous tous mes frères et mes sœurs en vos degrés et qualités. S’il vous arrive de lire les éditos du BULIM, vous savez que je suis assez friand des adages populaires. Aujourd’hui j’évoquerai celui-ci : « toute vérité n’est pas bonne à dire ». Le symbolisme maçonnique et les serments que nous prononçons lors de notre initiation font de nous, s’ils sont respectés bien sur, des hommes et des femmes libres et de bonnes mœurs. Il n’y a donc aucune raison que cet adage s’applique, en théorie, dans et hors de nos assemblées. Malheureusement, nous savons tous qu’il nous reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour que nous soyons, à l’unisson, en conformité avec les préceptes auxquels nous nous référons à chaque tenue. L’essentiel est d’en être conscient et de tout mettre en œuvre pour s’en approcher au plus près.
Autrement plus parlant serait de paraphraser en affirmant que : « toute vérité n’est pas bonne à entendre ».
Lorsque l’on consulte un ouvrage sur l’histoire de la franc-maçonnerie, nous restons très souvent sur notre faim, en effet, les rites égyptiens sont souvent les grands oubliés. Pire, lorsque l’on écoute une conférence, nous retombons sur le même phénomène, la même amnésie. Encore faut- il s’abstenir d’interpeller le conférencier sur le sujet au risque de le voir lever les yeux et les bras au ciel en déclamant « les égyptiens ? Ce ne sont que des scissions !, chaque membre est une obédience en puissance ! Comment voulez-vous établir un historique sérieux dans de telles circonstances ? ».
Bien entendu, ces propos sont caricaturaux et chacun sait que notre histoire, très riche et très ancienne, ne peut se résumer ainsi. Mais il faut se rendre à l’évidence, les rites égyptiens malgré cette ancienneté restent, aujourd’hui, confidentiels. Ils ne l’ont pas toujours été en France notamment dans les années 60 où plusieurs milliers de membres pratiquant les rites égyptiens étaient répertoriés. Alors ? Comment en est-on arrivé là ? Comment se fait-il que des rites aussi beaux et aussi anciens ne soient pratiqués que par si peu de monde ? Y aurait-il une malédiction, une sorte de force supérieure qui s’interpose pour diviser notre petit monde au point de le pousser parfois à s’entredéchirer ?
Malheureusement, les réponses sont beaucoup plus prosaïques. Elles tiennent à la fois de l’élaboration d’un système parfois suranné mais surtout des tendances égotiques de certains membres.
Si l’on regarde de près l’évolution de notre voisin de Memphis-Misraïm, nous constatons qu’aujourd’hui encore ce ne sont que luttes de pouvoir, scissions, bagarres de tranchée menées par des individus peu scrupuleux qui pensent sans doute atteindre la sagesse en démolissant ceux qui ont le malheur de s’opposer à leur soif de pouvoir. Rassurons-nous, ce ne sont que quelques personnes mais quel mal font-ils à la franc- maçonnerie ! Quelle image déplorable véhiculent-ils à travers le monde ! Ne nous voilons pas la face, nous avons eu, nous aussi, nos problèmes et nos petites scissions. Comment aurait-il pu en être autrement ? Mais rétrospectivement, ce n’était que des tempêtes dans un verre d’eau. Alors, comment avons-nous fait pour ne pas subir le même sort que nos voisins de Memphis-Misraïm ?

Il n’y a pas eu de remède miracle. La première préoccupation des
maîtres fondateurs a été d’écarter toute notion d’ad vitam et d’instaurer une obligation d’élection des frères ou sœurs amenés à tenir des rôles clés dans l’obédience. Ainsi, avons-nous sans doute réussi à atténuer, à défaut de les faire disparaître, les velléités de pouvoir un peu trop prononcées.

La seconde a été d’adopter des constitutions et règlements généraux
identiques à ceux des autres obédiences françaises pour ne laisser aucun doute sur la finalité de notre démarche.

La troisième, et la plus importante, a été de construire autour de deux
valeurs fondamentales : la fraternité et le respect de la tradition.
Nous n’avons jamais triché avec personne. Nous n’avons jamais prétendu être les propriétaires de LA « vraie » patente. Mais qui possède LA vraie patente ? Cette spécificité qui entache également la réputation des rites égyptiens puisque chacun prétend être le détenteur du précieux sésame qui lui donnerait le droit inaliénable et incontestable d’être le chef parmi les chefs, le caïd parmi les caïds, le guide spirituel de l’univers pendant la durée de sa vie entière... Faut-il être naïf pour ne percevoir à travers ce document éminemment symbolique qu’une clef de pouvoir ? La patente n’est qu’un droit d’exercer un rite et nous nous sommes mis en conformité sur ce point depuis longtemps, d’ailleurs pour mettre fin à toute allégation la voici (montrer la patente). Pour ma part, je considère que sa possession confère plus de devoirs que de droits.
Aujourd’hui, forts de nos 15 ans d’existence, nous pouvons être satisfaits du travail accompli. Nous pouvons nous regarder dans le miroir sans que la moindre ombre ternisse notre image. Les Anciens peuvent être fiers de nous car nous avons réussi à préserver l’essentiel c'est-à-dire la tradition, l’esprit et le cœur du rite de Misraïm.
Malgré ce constat, nous sommes encore l’objet d’attaques. Récemment, et à intervalles réguliers, d’anciens membres de notre obédience, sans doute frustrés de n’avoir pu mettre la main dessus, se livrent à la plus perfide des activités inventées par l’homme : le mensonge et la calomnie. Jusqu’à présent, nous n’avons fait que subir ces assauts sans répondre mais ce temps là est fini. Nous allons changer de stratégie et sachez mes frères et mes sœurs que nous n’allons pas en rester là.
Mais nous n’avons pas attendu ces agressions pour prendre des dispositions protectrices. Devenir irréprochables.

Les règles de la nature sont ce qu’elles sont. Ainsi, les petits possèdent des avantages que les grands n’ont pas. Je note aussi que, dans certaines circonstances, les plus nombreux imposent leur loi. Un loup seul est certes dangereux mais une meute...
Ces constats s’appliquent également aux groupes humains de toutes sortes. Dans le contexte que je viens de décrire, il est notable qu’une petite obédience, je parle en quantité et non pas en qualité, est plus fragile qu’une grande. Elle peut plus facilement attirer les convoitises de personnes mal intentionnées et ses membres, qui s’identifient à une grande famille avec tout ce que cela comporte, perdent leur vigilance et ne songent pas à se protéger contre les agressions ou autres OPA.

Face à ce constat, une solution : chercher à grossir à tout prix : Ce n’est pas, je l’affirme bien haut, celle que nous avons retenu. J’ai toujours préconisé une sélection drastique des candidatures et me suis souvent prononcé contre le prosélytisme de certaines grandes obédiences. Se protéger, c’est aussi savoir sur qui l’on peut compter. Je juge personnellement que la taille critique d’une loge est atteinte lorsqu’on commence à ne plus se rappeler du prénom des sœurs ou des frères qui la compose. Comme dans tout ce que le franc-maçon entreprend, il faut trouver un équilibre subtil entre un recrutement intensif et son contraire car, à contrario, une loge qui n’intègre pas d’apprentis est, soit une loge qui est entrain de péricliter, soit une loge qui est tombée dans un élitisme stérile et contraire aux principes fondamentaux. La venue de profanes talentueux est une source de régénération indispensable aux loges. Elle empêche que les membres ne se laissent envahir par un confort douillet et met en marche tous les mécanismes qui vont faire de cet homme ou de cette femme un initié puis un compagnon puis un maître.
Cela étant dit, nous devons tous intégrer l’idée que les turpitudes du monde profane débouchent aujourd’hui sur une recherche de spiritualité. Le matérialisme est si présent dans notre vie de tous les jours que nous avons un besoin vital de nous en échapper. Ainsi, toutes les obédiences voient un nombre inattendu de candidatures affluer.
La Grande Loge Française de Misraïm s’est dotée cette année de trois outils de communication externes et internes : Vous avez pu constater le travail herculéen entreprit par notre frère Benj\ J\ pour la parution d’un bulletin intérieur de qualité. Des messages de félicitations et des encouragements lui proviennent de partout et l’encouragent à poursuivre et à améliorer encore plus notre BULIM. Nous devons tous l’aider à faire évoluer cette parution. Les vénérables en premier lieu en sélectionnant les textes qui paraissent à même d’être publiés. Mais aussi tous les membres de l’obédience qui doivent se l’approprier et peuvent le faire évoluer dans un sens qui débouchera sur une revue reflétant réellement la vie de nos loges.

Le site internet a été, comme je m’y étais engagé, relooké et réactivé. Lui aussi doit évoluer et notre webmaster M\ A\ sera très à l’écoute de toutes les améliorations que vous pourrez lui soumettre. D’ores et déjà, de nombreuses candidatures nous parviennent par ce biais et je proposerai dans les semaines qui viennent qu’une petite équipe soit constituée pour traiter ces demandes, adresser un premier accusé de réception et orienter les demandes vers les loges les plus à même de les recueillir.
Vous avez peut-être lu l’interview réalisée par le magazine « initiations » qui a eu un écho favorable. Un certain nombre d’initiatives seront prises cette année pour l’organisation de tenues blanches ouvertes dans le but de nous faire connaître des profanes mais aussi de nos proches qui s’interrogent souvent sur la nature de nos activités nocturnes.

Nous avons également tourné nos regards au-delà de nos frontières en nous dotant d’une chancellerie renforcée, qui, sous la houlette de notre Très Respectable Frère G\ M\, a pour mission de développer le rite à travers le monde. Cette équipe a travaillé dans ce sens et nos implantations vont, sans aucun doute, s’étendre sur plusieurs pays dans le courant de cette année. Forts de ce constat, nous allons encore renforcer cette équipe.
Cette panoplie serait incomplète si je n’évoquais les petits Mails de notre Sœur Grande élémosinaire. Ces petits mots pour signaler un anniversaire, un heureux événement, pour alerter sur la détresse ou la souffrance d’un frère ou d’une sœur, sont des liens fraternels uniques dans notre petit monde maçonnique. Pas toujours encouragée, Bernadette poursuit néanmoins sans relâche ses efforts pour répandre l’amour et resserrer les liens entre nous. Elle aussi mérite d’être soutenue pour que cette fraternité voulue par les fondateurs soit permanente et ne reste pas un vain mot.

Ces différents points d’attraction vont très certainement aboutir à ce que nos effectifs suivent une courbe exponentielle. Mais étions-nous prêts à accueillir ces profanes dans de bonnes conditions ? Maçonniquement parlant : indéniablement. La qualité de nos loges, leur rigueur dans les pratiques rituelliques, la spiritualité et la fraternité qui se dégagent de nos travaux ne laissent aucun doute à ce sujet. Mais administrativement ? Nos structures étaient-elles adaptées pour préparer demain ? J’avais fait le constat lors de mon investiture que les membres de province étaient aussi nombreux que les membres de Paris. J’avais donc procédé à la constitution d’une équipe qui se répartissait équitablement entre ces deux pôles. J’ai également désigné J\ M\ comme Grand Maître Provincial créant ainsi un véritable relais administratif et politique avec la grande Maîtrise nationale. Cette nomination, qui, au passage et avec l’accord de notre Très Respectable Frère grand Orateur devra faire l’objet d’un ajout dans nos règlements généraux, trouvait sa véritable signification à condition que l’on crée la structure adéquate pour que le Grand Maître provincial puisse exercer pleinement sa charge. C’est ainsi que nous avons regardé chez nos amis du Grand Orient de France, de la Grande Loge de France et de la Grande Loge Nationale Française, dont certains d’entre nous sont issus, quelles étaient les modalités retenues pour une gestion déléguée.

Notre choix s’est porté sur un système régional ayant pour référence les circonscriptions téléphoniques. La règle est simple. Lorsqu’une région réunit plus de trois loges et plus de 21 maîtres, elle peut se constituer en Grande Loge Provinciale avec un fonctionnement identique à une loge classique. Les Grandes Loges Provinciales ont pour vocation d’être le reflet et le relais de la Grande Loge Nationale : elle impulse la politique décidée par le convent dans son périmètre, elle gère l’administration des loges sous son autorité, elle aide les loges en difficulté, elle organise les animations locales, s’il y a lieu, telles que les fêtes solsticiales, les tenues blanches ouvertes ou fermées, etc. Enfin, Le grand Maître provincial ou son représentant installe les Vénérables Maîtres des loges de sa juridiction et il peut s’entourer de délégués régionaux – charge prévue dans nos règlements généraux. Lorsqu’il s’agit d’un pays autre que la France, le principe est identique, la Grande Loge Française de Misraïm restant en tout état de cause à la tête de la pyramide. Les loges « isolées » restent directement rattachées à la Grande Loge Nationale. Ce système que beaucoup connaissent dans le monde profane sous le nom de fédérations, présente beaucoup d’avantages, s’il est bien compris. Il a au moins le mérite de préparer l’avenir... Certes, il demande une période d’adaptation pour éviter l’impression d’empilage mais s’il a fait ses preuves dans les plus grandes obédiences du pays, je ne vois pas ce qui l’empêcherait de fonctionner chez nous.

Certains m’ont reproché de ne pas avoir consulté le convent avant cette mise en place. J’ai peut-être commis une erreur en considérant que ces mesures ne constituaient qu’une adaptation des structures existantes et que, de plus, s’il fallait attendre la bénédiction du convent, nous perdions un an. C’est ainsi, que nous avons procédé à la création de la Grande Loge Provinciale du Sud-ouest puis à celle de la Grande Loge Provinciale de l’Ile de France. D’autres suivront je l’espère.

Certains m’ont reproché de ne pas avoir fait valider les nominations des Grands Maîtres Provinciaux par le convent. S’agissant d’une création, j’ai considéré que la nomination du premier Grand Maître Provincial était de ma responsabilité. Les successeurs seront élus.
Voilà mes Sœurs et mes Frères, les principales innovations que nous avons mis en œuvre au cours de cette année. Nous sommes désormais en ordre de marche. Ainsi, nous allons pouvoir fiabiliser nos fichiers qui feront bientôt l’objet d’une déclaration simplifiée à la CNIL afin de nous protéger des agressions comme celles dont nous sommes victimes ces derniers jours. Notre Frère grand Secrétaire a bien voulu mettre à notre disposition plusieurs dizaines d’années d’expérience pour améliorer notre fonctionnement interne. Il a accepté au pied levé de parer à l’erreur de casting que j’avais commise en nommant un frère bien trop jeune et inexpérimenté qui avait largement sous estimé l’ampleur de la tâche et surestimé ses capacités à la remplir. Je lui en suis reconnaissant. Je le remercie au nom de l’obédience et en mon nom propre et lui assure mon soutien inconditionnel.

Je tiens également à saluer le travail du grand trésorier et de son prédécesseur qui s’occupe aujourd’hui de l’entretien des locaux de notre siège social et de la gestion des locataires. Même s’il reste encore beaucoup de labeur, il ne vous a pas échappé que de nombreux et importants travaux avaient été réalisés pour embellir nos locaux. Si nous souhaitons agrandir notre parc de locataires, si nous voulons que nos ateliers franciliens travaillent dans des conditions matérielles optimales, nous sommes astreints à faire ces investissements lourds.

C’est pourquoi, j’insiste cette année encore, sur la nécessité impérieuse d’une discipline dans le paiement des capitations. Nous sommes probablement l’obédience française où les cotisations sont les moins élevées. Nous avons une approche très souple et très compréhensive que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. Est-ce une raison suffisante pour faire des misères à nos trésoriers ?

Nous devons être en conformité avec nos serments, la rigueur administrative en est un élément. Des cotisations réglées en temps et en heure, une comptabilité claire et transparente. Des fichiers au cordeau et un secrétariat irréprochable sont la clef de voûte pour faire taire définitivement les médisants de tout poil. Ne nous en privons pas.
Comme vous pouvez le constater mes sœurs et mes frères, le travail accompli cette année a été conséquent. Nous allons le peaufiner dans les mois qui viennent pour que nos successeurs en recueillent les fruits. C’est ainsi que j’ai bénéficié des efforts fournis par les équipes de Jean- Louis puis d’Eddy lequel s’attache aujourd’hui à structurer les loges dites « rouges » ou ateliers de perfection. Les ouvriers se remplacent sans que les travaux des loges ne cessent, les postes sont des charges et non des récompenses. Poursuivre la tradition, c’est remplir l’office que l’on nous a confié avec zèle pour le bien de la communauté. Nous devons servir la Franc-maçonnerie et non nous en servir.
Pour remplir cette mission, je dois procéder à la nomination d’un certains nombre de sœurs et de frères. Le Très Respectable Frère Mario PEREZ, m’a informé qu’il devait s’exiler dans le sud de la France pour raisons professionnelles. Il m’a demandé de bien vouloir valider sa démission en tant que Grand Maître de la Grande Loge Provinciale d’Ile de France et je l’ai acceptée. Pour remplacer Mario, j’ai décidé de nommer à cette charge le Vénérable Frère Ant\ C\ pour des raisons qui n’échapperont à personne, surtout pas aux frères et sœurs qui le connaissent, en particulier les membres de la RL « l’arbre du voyageur ».

J’ai décidé, en outre, de nommer Maria P\ – Grand Maître Provincial d’honneur en reconnaissance et en remerciement d’avoir bien voulu essuyer les plâtres et les reproches fraternels mais souvent immérités de certains Frères.

Les frères et sœurs suivants sont confirmés dans leurs fonctions de Grande Loge :
TRF Michel H\ C\ de B\ - Grand Secrétaire
TRF Philippe D\ - Grand Trésorier
TRS Bernadette V\ - Grand Elémosinaire
TRF Richard V\ - Grand gardien de MAAT
TRF Eddy L\ - Grand Couvreur         

Les frères et sœurs suivants sont confirmés dans leurs fonctions de Grande chancellerie
TRF Gérard M\ - Grand Chancelier       
TRF Maurice P\ - Chancelier adjoint pour la zone EUROPE         
TRF Clément A\ - Chancelier adjoint pour la zone AFRIQUE    .
TRF Alex R\ - Chancelier adjoint pour la zone ANTILLES - GUYANE          
TRF Yvan P\ - Chancelier délégué pour la zone RUSSIE - EUROPE de L'EST        

Les nominations qui suivent sont proposées au convent qui approuvera selon les modalités qui conviendront au grand orateur:           
Fonctions de Grande Loge:
TRS Jacqueline D\ - 1er Grand Surveillant      
TRF Jérôme A\ - 2ème Grand Surveillant
TRF Laurent B\ - Grand Orateur
TRF René V\ - Grand Maître des Cérémonies
TRF Gilbert C\ - Grand Expert
TRF Eric T\ - Grand Maître à Talent
TRF Mohamed Y\ - Grand Porte Étendard
TRF André A\ - Grand Orateur Adjoint
TRF Louis F\ – Grand Secrétaire Adjoint
TRF Jean-Luc S\ Grand Maître de Cérémonie Adjoint
TRF Quentin Y\ Grand Expert Adjoint

Fonctions de Grande chancellerie
Anai S\ Chancelier déléguée pour la zone ARGENTINE
Angelo Del C\ Chancelier Adjoint pour la zone AMERIQUE latine

Ces nominations, une fois approuvées par le convent feront l’objet d’une ordonnance et affichées dans nos locaux. Il va de soit que je compte sur le dévouement et le talent de tous pour réussir la mission que vous avez bien voulu me confier. Je ne doute pas un seul instant de notre réussite.
Je sais que, si nous restons solidaires et conformes à nos serments, nous tracerons demain un avenir radieux à notre Rite bien aimé. Pour tout ce que vous avez accompli, pour tout ce que vous allez entreprendre Mes sœurs et mes Frères... Merci, longue vie et bon vent à la Grande Loge Française de Misraïm. Vie ! Force ! Santé !
 
Mes sœurs et mes frères, j’ai dit.
Er\ JAC\ - Sérénissime G\M\
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Publié dans le Bulim - Bulletin N° 11 - 30 Octobre 2009  -  Abonnez-vous

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