Obédience : NC Loge : NC Date : NC


Hiram est le fils d'une veuve !

Nous sommes les enfants de la veuve nous sommes des « Hiram » les 2 lettres sur les tabliers de maître M\ B\ peuvent signifier le nom du successeur d'Hiram pour finir la construction du temple en langue « sémite » les sens les plus proches, sont architecte ou constructeur en fait nous sommes « tous »des Hiram en puissance d'être, des constructeurs du temple ! Nous pouvons devenir, lorsque le temple est construit ou reconstruit, des gardiens du temple des prêtres du temple ou des utilisateurs du temple.

Pour les chevaliers, princes, souverain ou demoiselle permettez-moi de rappeler que le contraire de noble est aussi ignoble laissez-moi être ignoble et fier de l'être ! Les titres ronflants n'empêchent pas d'être homme, femme, être humain atteints d'un cancer efficace : la cordonite !

Mes sœurs et mes frères, atteints de naissance par la noblesse, laissez-moi vous respecter en maçonnerie, et vous demandez de prouver la valeur de votre naissance dans le monde profane. Mes sœurs et mes frères, qui utilisez vos titres maçonniques comme le paon les plumes de sa queue, laissez-moi vous dire que cette maçonnerie là ne m'intéresse pas, et si vous ne les utilisez pas ou simplement par tradition, pourquoi continuer à perpétrer une hiérarchie verticale, au lieu de travailler à une hiérarchie horizontale, celle du service.

Taf  les textes avec la possibilité d'erreur sur les multiples Hiram, Hiram de Tyr est celui des maçons ? 1 R 7.13. Le roi Salomon demanda de pouvoir engager Hiram de Tyr 1 R 7.14 qui était fils d'une veuve de la tribu de Nephtali et d'un père tyrien. Ouvrier sur bronze, Hiram était plein d'habileté, d'intelligence et de savoir-faire pour tout travail sur bronze. Il vint chez le roi Salomon et effectua tous ses travaux. 1 R 7.15.

Il façonna les 2 colonnes de bronze ; la hauteur de la 1ère colonne: 18 coudées, et il fallait un fil de 12 coudées pour entourer la seconde. 1 R 7.16. Il fit 2 chapiteaux qu'on devait placer sur le sommet de ces colonnes; c'était du bronze coulé. La hauteur du 1er était de 5 coudées, la hauteur du second, 5 coudées. 1 R 7.17. Il fit des entrelacs, une forme d'entrelacs, des festons en forme de guirlandes, pour les chapiteaux qui étaient au sommet de ces colonnes ; 7 pour le 1er chapiteau, 7 pour le second. 1 R 7.18. Il fit des grenades : 2 rangées qui entouraient l'un des entrelacs, et qui devaient couvrir les chapiteaux posés au sommet des colonnes. Il fit de même pour l'autre chapiteau. 1 R 7.19. Quant aux chapiteaux qui étaient au sommet des colonnes du vestibule, ils avaient la forme de lotus et étaient de 4 coudées. 1 R 7.20. Mais aux chapiteaux posés sur les 2 colonnes, également vers le haut, le long du renflement qu'il y avait au-delà des entrelacs, étaient fixées en rangées circulaires les 200 grenades ; il y en avait sur le second chapiteau. 1 R 7.21.

Il dressa ces colonnes près du vestibule du Temple ; il dressa la colonne de droite et l'appela Yakîn, il dressa la colonne de gauche et l'appela Boaz. 1 R 7.22. Le sommet des colonnes avait la forme d'un lotus. Le travail des colonnes fut mené à bien. 1 R 7.23. Il fit, en métal fondu, la Mer. Elle avait 10 coudées de diamètre, et elle était de forme circulaire. Elle avait 5 coudées de haut, et un cordeau de 30 coudées en aurait fait le tour. 1 R 7.24.

Sous le rebord de la Mer, des coloquintes en faisaient tout le tour, 10 par coudée ; elles encerclaient complètement la Mer. Ces coloquintes, en 2 rangées, avaient été fondues dans la même coulée que la Mer. 1 R 7.25. Celle-ci reposait sur 12 bœufs : 3 tournés vers le nord, 3 vers l'ouest, 3 vers le sud et 3 vers l'est. La Mer était sur eux et leurs croupes étaient tournées vers l'intérieur. 1 R 7.26. Son épaisseur avait la largeur d'une main et son rebord était ouvragé comme le rebord d'une coupe en fleur de lotus. Elle pouvait contenir 2.000 baths. 1 R 7.27. Il fit ensuite les 10 bases, en bronze. Chaque base avait 4 coudées de long, 4 coudées de large et 3 coudées de haut. 1 R 7.28. Voici comment étaient faites ces bases: elles étaient constituées de châssis entretoisés de traverses ; 1 R 7.29. Sur les châssis entretoisés de traverses, il y avait des lions, des taureaux et des chérubins; il y en avait également sur les traverses supérieures; en dessous des lions et des taureaux, il y avait des frises mises en appliques. 1 R 7.30. Chacune des bases comportait 4 roues de bronze, et pour les 4 pieds, des renforts. Ces renforts étaient coulés en dessous de la cuve, en dehors des frises. 1 R 7.31.

L'ouverture de chaque base était à l'intérieur d'un cadre qu'elle dépassait d'une coudée ; elle était arrondie et avait la forme d'un socle; elle était d'une coudée et demie. Des sculptures ornaient le rebord de l'ouverture. Les châssis étaient de forme carrée et non pas arrondie. Voir  pour les textes : 2 s 5 11, 1 rois...1 ch 14 1, 2 ch... Voir aussi flavius josèphe etc. Pour le plaisir je conseille la lecture de G de Nerval, un prince de la poésie, et le roturier, l'ignoble que je suis apprécie ce type de prince.

Les titres de pseudo-noblesse pouvaient se justifier dans une époque où seuls les nobles et les possédants avaient des droits, les autres avaient parfois le  devoir de donner bonne conscience à ceux là en acceptant les aumônes des associations de bienfaisance et les actions caritatives.
Bon, j'ai une dent et une solide, mais vous n'êtes pas obligés de me suivre quand j'acclame par liberté égalité fraternité !

Les textes montrent les « arrangements » maçonniques et posent des problèmes du sens de base du mythe maçonnique « hiram ».


7435-2 L'EDIFICE  -  contact@ledifice.net \