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La symbolique mathématique, voie ésotérique de la connaissance

Mais avant de commencer sur les mathématiques, je souhaite redéfinir l’ensemble auquel il appartient pour nous, Compagnons.

En effet, lors du passage au grade de Compagnon, il nous est proposé d’effectuer 5 voyages. Tout comme lors de l’initiation d’un profane qui se déroule au travers de 3 voyages symbolique se rapportant à 3 (+1) éléments : l’Air, l’Eau, le Feu, mais avant ça la Terre, au sein même du cabinet de réflexion, le compagnon se doit d’accomplir 5 voyages dont la symbolique est tout autre.

Ces voyages amènent le futur Compagnon entre autres à prendre connaissance de ce que sont les arts libéraux.

Les Arts Libéraux désignent traditionnellement toute la matière de l'enseignement des écoles de l'Antiquité et du Moyen Age. Cassiodore, un politique et écrivain latin du 6eme siècle leur donna leur structure et développa le « Trivium ». Le Trivium, dont la racine mentionne le nombre 3 et la voie, signifie donc les 3 chemins en latin, et concerne le pouvoir de la langue, à savoir l'étude de la Grammaire, de la Rhétorique et de la Logique. (appelée Dialectique à l’origine). Le philosophe latin Boèce intégrera au Trivium le Quadrivium qui désigne l'ensemble des 4 sciences mathématiques dans la théorie antique.

Ce sont :

  • L’arithmétique,
  • La Géométrie,
  • La Musique
  • L'Astronomie.

Les mathématiques, au travers l’Arithmétique et la Géométrie du Quadrivium, est partie intégrante des arts libéraux du Compagnon. Mais pas seulement au travers de ces deux arts, nous retrouvons également les mathématiques à la fois comme élément intrinsèque mais aussi comme outil de déchiffrage de la Musique et l’Astronomie.

La musique, dans ce qui est mentionnée comme musique Esotérique. Cette notion peut présenter un paradoxe en soit, puisque la musique est un art qui s’ouvre vers l’extérieur, vers un public ouvert qui compose l’auditoire et se focalise sur ce qui leur parait Beau.

Le Beau qui inspire la notion de Beaux-arts. Est-ce là la valeur des arts libéraux ? Pas tout à fait, ou pas que. En effet, si les Arts serviles qui ont en commun la transformation d'une matière tangible (menuiserie, poterie), les Arts libéraux portent sur des matières intellectuelles et intangibles. Ceux-ci visent la connaissance du Vrai alors que les Beaux-arts prétendent à la contemplation du Beau. Même si le Beau reste présent en Loge à travers différents symboles fort, comme la colonne Beauté, ou la Beauté d’une pierre bien taillée, rectifié par le Compagnon…

Mais revenons sur la musique ésotérique. Qu’est-ce que l’Esotérisme :

Bien que très souvent débattu, l'ésotérisme est ce qui est « caché » ce qui est volontairement « occulté », on parle ainsi d'« occultisme ». En d’autres termes, il s’agit de connaissance caché, que seul l’initié peut déceler.

Quant à la musique, il s’agit d’une composition de sons suivant des règles harmoniques et rythmiques, règles qui varient en fonction des cultures et des peuples. Le son est une vibration de l'air, la musique est donc avant tout un ensemble d'onde agencé de manière harmonique.

Mais les mathématiques dans tout ça me direz-vous ?

L'harmonie est basé sur des rapports mathématique (tel que a/x=x/b). La musique est donc un ensemble de vibration basé sur des rapports mathématiques.

Cette conception de la musique « occidentale » nous vient de Pythagore qui disait « tout est Nombre ». C’est de lui et de Platon que nous viennent la correspondance entre planète et notes que Kepler développera quelques 2000 ans plus tard. Mais je reviendrai plus loin sur ces deux philosophes / mathématiciens connu et reconnu…

Pour finir cette part d’arts libéraux, j’ajouterai que l'art est une représentation de l'univers, une représentation du divin par l'acte de création.

L’univers, sa création et l’harmonie dans laquelle il a été conçu et existe est donc étroitement lié aux mathématiques. Vérité ou certitude sur laquelle je m’expliquerai dans quelques instants...

Nous avons parlé jusqu’ici de l’existence des mathématiques et des nombres sacrés qui nous frappe donc lors l’initiation, et lors du passage au grade de compagnons, de par les symboles et arts libéraux. Tout ceci s’articule autour de voyage, comme je l’ai évoqué, lors de l’initiation, et du passage. 3 pour l’initiation, 5 pour le passage…

Notons que le 3ème Voyage symbolique ouvre pour le Compagnon « le vaste domaine de la Pensée et de l'Action ». Désormais c'est tout le domaine de l'Univers qui est proposé à ses investigations. De l'infiniment petit à l'indéfiniment grand, « à ceux qui savent éveiller en eux ce qu'il y a de Sacré, la Nature montre toutes choses. Demande à la Terre, à l'Air, à l'Eau leur secret qu'ils gardent pour toi » (Pythagore, les Vers dorés).

C’est ainsi que l’Homme, et plus encore le Compagnon, approchera l’Univers, par observation des astres, dont les positions ou autres lois physiques sont régies par les mathématiques.

En effet, et pour vous en convaincre mes frères, je vais vous proposer à mon tour de voyager dans l’espace et dans le temps, à différentes époques qui ont marqué à tout jamais l’histoire de la science, qu’il s’agisse de physique, de cosmologie ou autre science utilisé pour la compréhension de l’univers, il s’agira de mathématiques…

Commençons notre voyage ensemble vers l’infiniment petit, au plus profond de la matière. Les éléments de l’infiniment petit ne sont pas matière, mais information. Information de nature énergétique, dont le support n’est pas matériel, mais mathématique, puisque qu’elle ne s’appuie que sur des nombres (Tel que décrit par Minkowski, mathématicien du 19ème siècle).

(APPARTE PERSO sur Riemann : Mathématicien qui était prédestiné à être Pasteur comme son père, Luthérien ancien combattant des guerres Napoléoniennes, prendra la décision de quitter la Théologie qu’il a commencé à étudier à l’université de Göttingen, pour y étudier les mathématiques. Cette décision fera suite à une phrase qu’il aura entendu de la bouche d’un des maitres de mathématiques de l’époque Gauss lui-même : « Dieu fait de l’arithmétique »). Selon Galilée, Minkowski se répète cette phrase provocante qui l’ébranla « le grand livre de la nature ne peut être lu que par ceux qui connaissent le langage dans lequel il a été écrit. Et ce langage, ce sont les mathématiques ».

Minkowski gagnera le Grand Prix des mathématiques décerné par l’Académie des Sciences de France.

Il termina son mémoire présenté au jury par une citation de Boileau :

« Rien n’est beau que le Vrai. Le Vrai seul est aimable ».

Vrai à la vérité que l’on vient chercher en Loge. Cette vérité qui l’on découvre au plus profond de nous, en chacun de nous. Et c’est au plus profond de nous que se trouve cette vérité. Une vérité qui nous est propre, reposant sur un niveau spirituel dont le support est information. Au plus profond de nous, dans l’infinitésimal de notre moi profond se trouve cette vérité. Et c’est lorsque nous sommes complètement délivré de l’obscurité, éveillé et plongé dans la lumière que cette vérité peut être ressentie et remonté de l’inconscient au conscient. L’Etude de l’Univers, grâce aux mathématiques et plus encore grâce à la théorie des Nombres largement étudié par les mathématiciens Gauss, Riemann, Minkowski, Sommerfeld, et plus tard Einstein, amène l’homme à se rapprocher de la voie(x) de la connaissance, voi avec « e » ou « x », valable dans tous les cas…

Parmi les noms cités, Sommerfeld découvrira un « nombre mystique, une étrange suite de chiffres, dont la course infinie nous entrainera vers l’énigme rencontrée par Bentley dans ses champs de neige, et bien plus loin encore. D’où vient ce nombre pur ? Mystère… Des dizaines d’années après sa découverte, le théoricien Richard Feynman, prix Nobel de Physique, s’écriera : c’est l’un des plus grands mystères de la physique. Un nombre magique donné à l’homme sans qu’il y comprenne quoique ce soit. On pourrait dire que la « main de Dieu » a tracé ce nombre et que l’on ignore ce qui a fait courir sa plume… »

Bentley célèbre pour ses champs de Neige et plus particulièrement pour sa réflexion sur la forme des cristaux. Tous ont une structure identique : étoile à 6 branches.

Cette pensée lui vient d’une réflexion qu’il a, pris lors d’un hiver dans une tempête de neige, en observant les cristaux tombés sur son manteau. Tout comme le remarquera Bentley plus tard, tous ces cristaux ont 6 branches. Pourquoi par 5 ou 7 ? 6, tout comme le nombre de jour qu’il fallut dans la genèse pour la création du monde physique. Il s’agit également du nombre de sommet présent sur le sceau de Salomon. Salomon dont le temple nous évoque à tous le temple pour lequel nous amenons tous en maçonnerie notre pierre à l’édifice. Sceau de Salomon composé de 2 triangles, un à la pointe vers le haut, symbole du masculin, l’autre à la pointe vers le bas, symbole du féminin, reprenant ainsi la notion des complémentaires et des opposés, tel le Ying et le Yang, tel le bien et le mal, tel l’obscurité de laquelle a surgit un jour, lors d’une fraction de seconde, la lumière fécondatrice de la vie telle que nous la connaissons aujourd’hui…

Pour Bentley une évidence est là, sous nos yeux : cette structure est préécrite, pensée. Ce qui lui inspirera ce que d’autre ont appelé « la pensée de Dieu ».

Tout ceci à partir de 6 branches de cristaux pour chaque flocon de neige, avec toutefois une forme singulière. Et malgré cette singularité ; tout comme celle de chaque être humain bien que « construit » selon une structure géométrique, physiologique, moléculaire globalement identique; la structure de ces cristaux est un mystère qui obsèdera Bentley toute sa vie. Un mystère qui mènera grand nombre de physicien et mathématiciens tel que cités il y a quelques instants vers des études aux confins de l’univers, jusqu’à quelques fractions de secondes après la naissance de l’univers, vers ce qui a été baptisé par l’homme de Big Bang et l’essence même de ce qui l’a initié (Initié à initiation) un niveau régie par l’information dont le support ne sont que nombres, ou encore appelés Constantes Universelles, mais aussi des instructions codées dans la matière naissante…

C’est également dans ces flocons que Kepler, en 1611 écrira qu’il existe un plan, comprendre en cela quelque chose d’ordonné, d’écrit et de déterminé à l’avance par une entité dont le nom appartient à chacun... Il appellera ceci « lire la pensée de Dieu ». Citation qui sera reprise quelques siècles plus tard par le père de la théorie de la relativité, Albert Einstein en personne. Ceux que d’autre appelleront également « Harmonie céleste »…

Toutes ces appellations reviennent vers une même notion, que tout est écrit depuis l’origine des temps, bien avant même la naissance de notre univers, préétabli par une entité qu’il nous est pas possible de toucher, mais vers laquelle chaque être humain qui cherche son origine matérielle, conceptuelle et spirituelle tend à se rapprocher.

Tout ceci régit par un plan d’information pure, supporté par des nombres, cosmiques, mystiques, « purs », donc par les mathématiques… Que sait-on de plus de ces nombres. Reprenons le cas de quelques-uns bien connus, comme le nombre d’or et PI.

Le Nombre d’Or est souvent noté Phi, en rapport peut être avec Phildias qui participa à la construction du Parthénon.

La notion de Nombre d’Or nous apparait au IIIème siècle avant JC, par Euclide et sa Section Dorée. Il nous est d’ores et déjà présenté sous la forme d’un rapport ou proportion qualifiée de Divine.

Il l’a définie ainsi :

« Une droite est dite coupée en extrême et moyenne raison quand, comme elle est toute entière relativement au plus grand segment, ainsi est le plus grand relativement au plus petit ».

En termes plus clairs (?), la divine proportion est atteinte lorsque le rapport entre un tout et sa partie est égal à celui de la partie avec ce qui reste !

Ce Nombre d’Or est-il quantifiable ? Il résulte de la résolution de l’équation Phi2-Phi-1=0, et dont la solution exacte est, ce qui correspond en valeur approchée à 1,618033988749…

Il s’agit donc d’un Réel, dont la suite des décimales n’est infinie, mais un Nombre sur lequel semble régit une grande partie de la construction géométrique de l’Univers…

Paradoxe d’un monde nous paraissant réel, régit par des Nombres non fini, mais à l’exactitude finie…

Nombre d’Or, utilisé également par les humains dans ces constructions depuis longtemps.

Le Temple de Salomon est ainsi bâti, mais également le Parthénon d’Athènes que nous citions avec Phildias.

Le rectangle dessiné par l’ensemble de son fronton est tel que ses proportions respectent le Nombre d’Or.

Ce Rectangle forme le Rectangle d’Or.

Avant ça, la pyramide de Kheops, fut construite en respectant cette Divine Proportion, entre sa hauteur et sa demi base.

Le Nombre d’Or est également présent dans la Nature.

Il suffit pour ça d’observer la disposition des graines sur un tournesol, disposé selon des spirales d’Or qui s’obtiennent à l’aide de suite sans fin de Rectangles d’Or, ou selon la disposition des feuilles qui poussent sur une tige, ou enfin la spirale d’un Nautile…

S’il fallait encore vous en convaincre mes frères, le nombre d’Or semble être le premier outil utilisé par le GADLU afin de dessiné notre univers, dans le respect de vie, avec toute la Sagesse qu’il faut pour maitriser sa Force et bâtir la Beauté universelle.

Je pourrai m’étendre encore sur ce Nombre d’Or présent dans la construction du pentagramme, enveloppe charnelle de l’Etoile flamboyante, et contenant la lettre G. G comme Géométrie, sous-ensemble des mathématiques, G come Gaïa, notre terre et de manière plus générale la Nature Universelle, G comme GADLU, créateur de notre Univers…

Le nombre PI, autre nombre Sacré, présente tout comme le Nombre d’Or la particularité de ne pas être fini, et pourtant bien de l’ensemble des Réels.

Nombre PI pour lequel l’usage de nombres imaginaire est utilisé dans l’approximation par les formules d’Euler.

Un réel construit à partir de nombres imaginaires ?

Qu’est-ce que sont ces nombres imaginaires ?

Pour définir ceci, il faut parler un peu d’ensembles des nombres.

Il en existe communément 6, dont l’ensemble des Réels et un ensemble appelé nombres complexes.

Les réels sont les nombres utilisés usuellement dans la vie de tous les jours.

Quant aux complexes, ils ont été définis pour des besoins de résolutions d’équation au 16ème siècle d’équation comportant des racines carré de nombre négatif... Il fallait simplement imaginer qu’un nombre multiplié par lui-même puisse avoir pour solution un nombre négatif, nombre imaginaire pur, et solutions complexe, les nombres complexes étaient nés...

Ils seront utilisés plus tard dans plusieurs lois physiques, anoblissant l’existence même dans l’univers de ces nombres imaginaires dans la constitution de celui-ci !

Tout comme l’Univers, lors du Big Bang naquis par cette Lumière jaillissante du néant, de l’absence de matière, d’un plan où seule un niveau d’informations semblaient présente et prête à commencer cette danse suivant une Harmonie Céleste pré-écrite, pré-destinée…

L’Univers est donc informations, crypté, chiffré, mathématique.

Cette notion se répète dans l’étude de la Cabbale. Si elle est moins une technique de décryptage qu’un mode de vie spirituel, elle possède un mode opératoire très spécifique pour lequel elle dispose d’instruments dont les plus connus sont l’alphabet hébraïque composé de 22 lettres et les 10 sephirots le tout aboutissant aux 32 voies de la Sagesse.

32, nombre qui correspond au nombre de degrés du rite REAA si on enlève le 33ème souvent perçu plus comme administratif que spirituel et maçonnique proprement dit.

Pour les cabalistes, les 22 lettres de l’alphabet hébreu sont les instruments de la Création. Alphabet structuré en 3 lettres mères, 7 lettres redoublées et 12 lettres simples, elles ont chacune une valeur numérique qui traduit une réalité.

Valeur numérique chère à l’arithmétique, utilisé dans l’étude du pentateuque… Mais ceci sera le sujet d’une autre planche.

3 lettres mères qui correspondent au nombre 3 que l’on retrouve au degrés d’apprenti. Premier degrés auquel le Profane a vu la lumière pour la première fois.

7 lettres redoublées : nombre sur lequel je ne peux écrire pour le moment à mon grade de Compagnon correspondant à 5 ans, mais que je sais faire suite à 3 puis 5, dans une suite logique arithmétique…

12 lettres simples : 12, comme le nombre d’heures pendant lesquelles le maçon travaille à la construction de son temple intérieur (de midi à minuit). 12, comme le nombre d’apôtre à la table de Jésus. 12, comme le nombre de nœuds que l’on retrouve sur la corde à nœuds, ou corde d’arpenteur dont l’usage était connu depuis l’antiquité. Cette corde forme un triangle particulier avec les côtés partagés selon la proportion 3 – 4 – 5. C’est avec cette corde qu’on implantait un édifice sur le terrain, et les Egyptiens s’en servaient déjà pour tracer des angles droits (angles de 90°).

Les nombres sont ainsi parmi nous depuis la nuit des temps, et comme évoqué il y a quelques instants, régissent un tout et sont utilisé partout.

Ils sont utilisés par exemple également en décryptage comme évoqué dans les méthodes Cabbalistiques en utilisant les valeurs numériques des lettres de l’alphabet hébreux :

Par exemple, le mot NOM se dit CHEM en hébreu et possède une valeur numérique de 300+40=340 et le mot NOMBRE se dit SEPHAR et possède la même valeur numérique à savoir 60+80+200=340.

On nomme Guématrie cette méthode qui établit une correspondance entre les lettres et les mots Exemple plus frappant de l’usage de la cette transcription numérique de mots hébreux, langue utilisée initialement pour la rédaction des Textes Sacrés :

Mère qui se dit em vaut 41
Père qui se dit av vaut 3
Enfant, qui se dit yedev, vaut 44, soit la valeur de Mère + celle de Père !

Les correspondances de Guématrie juive ou kabbalistiques se font également sur les versets de la Bible, ce qui permet d’ouvrir de nouveaux horizons dans l’interprétation des textes sacrés. Ce sacré pour lequel l’Homme cherche à en décrypter les secrets, ou déchiffrer devrais-je.
C’est dans ce but que fut créé l’Arbre de la vie, composé de Séphirots. Ils sont « les émanations de la puissance divine. Ils sont au nombre de 10 et constituent avec les 22 lettres de l’alphabet hébreu, les 32 mystérieux chemins de la Sagesse selon lesquels Dieu a créé le monde ».

Chaque Séphira est l’archétype d’un membre ou d’un organe de l’homme et la totalité des séphiroths constituent, « l’Homme d’En Haut », ou l’Adam Kadmon, l’Adam Primordial. Là encore, je pense que l’étude de l’Arbre de la vie mérite une planche à part entière, que j’espère pouvoir vous présenter lors d’une tenue ultérieure…

J’ai dit V\ M\

S\ G\


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