GLDF Loge : NC Date : NC

A\S\M\D\

Pour comprendre le nouveau testament il vaut mieux être instruit de l’ancien.

Dans cette planche, je n’exprime nullement mes idées confessionnelles. J’essaie de relater des faits historiques, tels qu’ils nous sont, à ce jour, parvenus. Notre principe reste le GADL’U, conformément au Rite Ecossais Ancien et Accepté, car :
- Il ne nous appartient pas de reconnaitre ou méconnaitre le principe d’une révélation divine
- Nous refusons les anathèmes, les dogmes.
- L’ancienne Loi comme la nouvelle s’adressent à un peuple précis, à des croyants précis, alors que nous revendiquons l’universalité des principes de notre rite

A\S\M\D\

Ces initiales, du rituel du 3ème degré, sont prononcées par le Très Vénérable Maitre, proche du cadavre d’Hiram, sans lequel, le 3 ème degré, de création récente, n’existerait pas.

La légende d’hiram qui ne se trouve pas dans la bible, a été fort probablement composée d'après l'Enéide de Virgile ( livres 3 et 6 ). Son idée fondamentale est sans doute d'une origine très ancienne; déjà dans la mythologie égyptienne, nous voyons Osiris mourir chaque année pour renaître à une nouvelle vie.

Aucune indication sur le ton n’est stipulée. Nous pouvons donc les prononcer de différentes façons. C'est la première fois que Dieu apparaît dans notre rituel.

Dans un premier temps, comme nous le stipule le rituel, il s’agit d’une exclamation de surprise et d’accablement. Par quoi sommes-nous effrayés. Par le cadavre, par le malheur qui frappe l’ordre des maçons ou par le forfait des 3 traitres compagnons, toujours en liberté ? Les ténèbres sont-elles désormais présentes ? Non, car il vit dans le fils. Nous entrons dans une dualité ; le ternaire (Salomon / Hiram de Tyr / Hiram l’architecte) est désormais perdu ... Voici l’ère du binaire.

Nous pouvons, affirmer qu’il s’agit d’un acte ou d’une invocation ésotérique voire magique, en levant les bras au ciel par la relation homme /terre / ciel.

Ecartant les doigts, il peut s’agir de symboliser les dix paroles dont «tu ne tueras point» (Décalogue et non dix commandements), instituant un ordre moral et reçus par Moise, gravés par Yaveh. Ou une invocation au système planétaire, chaque doigt, sensé représenter une planète, c’est à dire le cosmos.

Séparons les deux vocables : Seigneur et Dieu

I – AH SEIGNEUR : Qui peut être le seigneur ?

Quel cheminement nous suggère, donc le rituel, en interpellant un Seigneur qu'on appelle Mon Dieu ? Cette expression marque-t-elle une contradiction avec nos principes ou au contraire, une nouvelle étape dans la démarche maçonnique spirituelle ? Une transition, un doute, une réflexion, une progression de notre état de conscience ?

Premier livre des Rois 1

37. Que l’Éternel soit avec Salomon comme il a été avec mon seigneur le roi, et qu’il élève son trône au-dessus du trône de mon seigneur le roi David !

Pour le différencier d’Hiram de Tyr, on appelle Hiram souvent abif, Abi, signifiant le père ou Adoniram le seigneur élevé, d’ou le qualificatif adonhiramite ; ce qui donne lieu à diverses interprétations astronomiques. Vénus...

On peut légitimement se demander qui est le seigneur ? : Salomon ou Hiram Habi. Existe t-il un ou deux Hiram ? Ou est-ce le Roi Suprême ? Roi de tous les mondes, comme le nomme le rite de Menphis Misraim.

Seigneur est la signification de maître, maître de la maison, maître du Temple, maître constructeur devant être honoré, pour ses qualités portant en perpétuation de sa mémoire, ce titre.

Ah moins que Seigneur, soit Hiram, lui-même, ou plus exactement Adoniram. Auquel cas, il faut considérer un ordre physique et moral (physique : Hiram mort, moral ; ce que traduit sa disparition). 

Adonaï (Hébreu : אֲדֹנָי), Mon/Mes Seigneur, est la forme "plurielle" de "Seigneur", bien que singulier. La forme singulière, Adoni ("mon seigneur"), n'est jamais utilisée dans la Bible pour se référer à D.ieu. Elle était par contre en usage chez les Phéniciens pour leur dieu Tammouz, à l'origine du nom grec d'Adonis. Les Hébreux

n'utilisent le singulier que pour se référer à une personne éminente (cf. monseigneur). Le seigneur peut etre egalement le Roi c’est à dire le mashiah messie, analysons l'étymologie du mot mashiah en hébreu (4e siècle av. J.C) et de sa traduction christos en grec (3e siècle av. J.C).

Nous constatons que le squelette consonantique du mot hébreu MaShiaH, est quasiment le même que celui du mot hébreu MoShéH.

Or, nous savons que le nom MoShéH est lui-même emprunté à l'égyptien MèS ou MoS ou MouS, signifiant : enfanter, naître, sauver, curieux, non ?

Nous retrouvons cette racine dans le wolof où le mot MouS signifie donner naissance à un enfant, être délivrée, et le mot MouSaL signifie sauver. Or, cette racine n'est ni indo-européenne, ni sémitique, elle est tout simplement la lecture de la notation alphabétique de l'égyptien KRY- ST, vocalisée KuRY- SoT, signifiant : Celui qui est au-dessus du secret, titre que portait à l'origine le grand-prêtre, puis le pharaon exerçant cette fonction.

II – MON DIEU: Quel Dieu ?
Dieu est un terme apparu au 9 ème siècle, dans notre langue

venant de dei (indo-européen) qui a donné la lumière du soleil, Diurnus puis
dies en latin, jour.

Il faut examiner ce concept d’un point de vue :
- déiste (Pour la pensée déiste, certaines caractéristiques de Dieu peuvent être comprises par les facultés intellectuelles de l'homme)
-théiste. (Le théisme affirme clairement l'ingérence du divin dans les affaires
humaines, ingérence qui peut être directe, ou passer par des intermédiaires)

Une première réponse, aisée, est la traduction des anciens rituels anglais :

"O Lord, my God, is there no help for the Widow's Son? Soit : "Oh seigneur, mon Dieu, n’y a t-il pas d’aide pour le fils de la veuve ?

Pourquoi le mot Dieu dans notre rituel d’élevation ? : peut être pour établir une filiation entre la FM actuelle et les Olds Charges, voire avec le compagnonage opératif. En effet, revenons un instant aux anciens rituels et manuscrits historiques :

- The Olds Charges

Premier devoir : de DIEU et de la religion.

Un maçon est tenu par son engagement d'obéir à la loi morale en vrai NOACHIDE ; et s'il comprend correctement l'Art, il ne sera jamais ni athée stupide, ni libertin irréligieux, et n'agira pas contre sa conscience.

Autrefois, les maçons avaient l'obligation de se conformer aux usages chrétiens de chaque pays où ils voyageaient ou travaillaient, puisqu'on les trouvait en tous pays, même s'ils étaient de religion diverse.

- Le Manuscrit Cooke de 1410, comporte une déclaration rappelant la dette de l’homme, vis à vis de Dieu et une brève prière finale religieuse.

- Le manuscrit Regius de 1340 comporte un poème en vers, sur les légendes du méstier. 

On note un caractère religieux et même catholique des Old Charges britanniques. La plupart des constitutions commencent par une invocation religieuse à Dieu et à la Sainte Trinité. L’article premier des Old Charges enjoint au FM d’etre «un homme loyal envers Dieu et la Sainte Eglise et d’éviter l’erreur et l’hérésie ».

- Le manuscrit Dumfries N° 4 commençe par une prière religieuse. «Que le Père Tout Puissant...», avant d’instruire les initiés.

- Les règlements des tailleur de pierres, en Allemagne, ainsi :  

« Au nom du Père, du Fils et du Saint esprit et de la Glorieuse Mère Marie ».

Tel est l’existance des textes historiques prémaçonniques; au 16 ème siècle, dans toute l’europe chrétienne, le compagnonnnage est un groupement à caractère professionnel, religieux et culturel, dont le lieu de réunion est sur chaque chantier, la Loge. Les donneurs d’ordre des travaux étaient le clergé, puis les nobles et enfin l’Etat, d’ou le terme de FM acceptés, dans les Loges opératives.

N’oublions enfin que les diacres figuraient dans nos rituels, voici encore quelques années.

Dans l’ancien testament, on trouve plusieurs qualificatifs, pour désigner le D.ieu unique :

- Sholom, a donné Shalom et Salomon (sin au lieu de shin).

Salomon serait-il la transposition du Dieu biblique sur terre ? Pourquoi et comment ose t-il l’espérer ? A moins que Hiram de Tyr se soit pris pour Dieu lui-même et puni par ce dernier, par la destruction du temple, objet de sa prétention.

Hiram dit : “je suis né d’une femme et pourtant je vis et subsiste éternellement. Si le SBST a son siège au sein des mers, il en est de même pour moi. Et si le SBST a son siège dans les 7 firmaments, il en est de même pour moi, et bien plus encore. Combien de rois sont morts et moi, je vis éternellement. J’ai enseveli 21 rois d’Israel et je vis encore. Ne suis je donc pas un El établi au siège des Elohim ? ‘

S’agissant du temple de Salomon, ou plutôt de celui du GADL’U, afin d’y placer l’Arche d’Alliance, présence de la Shekinah, on affirmera que c’est pure création, du verbe, en acte, alors que le plan est puissance. Le temple appartient au plan conceptuel divin : « Et ils me construiront un sanctuaire pour que je réside au milieu d’eux ». Le temple fait partie du tout, avec sa géométrie. (Peut etre une planche sur les dimensions du temple).

Salomon joue, dans la métaphore, le rôle du principe créateur par procuration, dans la mesure ou il fournit le projet et l’esquisse, selon les textes.

Il est un intermédiaire, par élection directe : Dieu, David, Nathan, Salomon. Et il (Dieu) m’a dit : «Salomon, ton fils, est celui qui bâtira mon temple et mes parvis. Car je me le suis choisi comme fils et je lui serais père ».

SOL-OM- ON : Le nom du Soleil (ou de la Paix = Shalom) , une expression de la lumière, la connaissance, la compréhension. Revient-on à notre culte johannique avec nos 2 saint Jean et solstices d’hiver et d’été ? Jean l'Apôtre ou Jean l'Évangéliste ou Jean le Théologien (le bien aimé du christ aigle) et Jean le Baptiste, saint Jean Baptiste ou Yohanan (annonce la venue du christ)

Selon la doctrine inspirée par Albert le Grand, la cause efficiente première est la sagesse divine, et la cause efficiente la plus proche est Salomon qui est mu et moteur. Pour cette raison, il devient symbole de la cause première. Maçonnerie, Architecture et Géométrie sont les trois cercles qui autrefois représentaient, sans le représenter vraiment, Dieu, car il n’a pas de représentation terrestre.

ASMD, Avons-nous perdu la Parole ? Les mots, voire la Tradition, est perdue. Quelle Tradition ? C’est peut être la colonne dans laquelle était gravée la sapientia et perdue, lors du déluge, qu’avait prédit HENOCH.

L’esprit religieux du XVIII ème, ne peut absolument pas être comparé au nôtre. A l’époque, le salut de l’âme ne pouvait s’obtenir que dans et par la religion. Il était si important de ne pas se démarquer de cette règle, que même nos constitutions évoquent impérativement de ne pas être un athée stupide.

L'exclamation ASMD conduit à une reconnaissance individuelle «Mon» de l'intemporel « Dieu » dans la dimension seigneuriale. Cette expression évoquerait une tradition orale, qui doit s‘élever vers la voute étoilée (les mains tendues vers le ciel, doigts écartés, comme pour recevoir la force magnétique des planètes, pour soulager la douleur).

L'association des mots « Seigneur et Dieu » peut matérialiser la fidélité comme l’exigeait le Dieu des Hébreux. Une dimension supérieure à l’homme ou l’homme transcendé. Peut être l’homme doit-il retrouver son état primitif c’est à dire comme Dieu : «et nous l’avons fait à notre image». Annick de Souzenelle affirme que l’homme a rompu son pacte sacré avec le GADLÕU. Il est en errance.

N’oublions pas que nous sommes au livre de l’ancien testament et qu’il n’existait bien d’autres manières de nommer le principe créateur, à l’époque, dans cette tradition :

La tradition des sept Noms divins : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.

Tous les autres Noms, comme 'Miséricordieux', 'Gracieux', etc. représentent seulement des attributs, également communs aux êtres humains (Sheb. 35a).

- El, la divinité en général, son féminin Elah, Elath, déesse, Syrie et Phénicie

Le mot El apparaît dans d'autres idiomes sémitiques du Nord-Ouest comme le Phénicien et l'Araméen. En Akkadien, ilu est le nom commun pour "dieu". On en trouve également trace en ancien "Arabéen" du Sud (un groupe de langues afro- asiatiques anciennement parlé dans le sud de la péninsule arabique, distinct de l'Arabe classique) et en Guèze, où, comme en Hébreu, il peut servir comme élément dans les noms propres.El Sheddai, Shadai, vient de shaddaÕu, montagnard = difficile d’accès, Bel Shadi, sa compagne Ashrat ou Asherat = dame de la plaine

- Ashem : le Nom de l’ouest sémitique Sumuabum,

- Ehyeh asher Ehyeh : je serais qui je serais, (Hébreu: אהיה אשר אהיה) : telle est la réponse que fait Dieu à Moïse, lorsque celui-ci lui demande quel est Son Nom, celui qu'il devra donner aux enfants d'Israël qui ne manqueront pas de le lui demander (Exode 3:14 ).Adonai : mon Seigneur et Le Seigneur, au 17 ème siècle remplacé par Jehovah, par les écrivains romantiques...et chrétiens.

- El Elyon, Elioun, le Dieu trés haut, Araméens et phéniciens

Le nom `Elyon (Hébreu: עליון) est utilisé avec El, YHWH ou Elohim, rarement seul (Is. 14:14). Il est lui aussi utilisé dans les passages poétiques datant de la composition finale de la Bible. Le terme est toujours utilisé en Hébreu moderne, et signifie "suprême", cf. "cour suprême".

Étymologiquement, le terme provient de en est la forme עליון -- "sur", "au-dessus de" על superlative, le Très-haut, le Plus-haut.

Les Phéniciens utilisaient un nom assez similaire pour Dieu, rendu en Grec par Eîiov. Il est également apparenté à l'Arabe `Aliyy.El Elim ou Elohim (le Dieu des dieux)

-Elohim : pluriel de majesté, ou d’accaparement, Ha Eloim, dans textes babyloniens. (Hébreu : אלהים) est le Nom le plus couramment utilisé de D.ieu dans la Bible hébraïque, et le premier à y apparaître (Gen. 1:1). Contrairement aux autres noms mentionnés dans cet article, il est aussi utilisé pour désigner les divinités des autres religions (ex : Exode 9:1, Exode 12:12, Exode 20:3).Eloha : Ilah affirme l’identité de dÕEl, Ilhu désigne le pharaon comme dieu

- El Olam : le Dieu dÕAbraham, Dieu du monde selon les septentes, Dieu de l’espace et du temps, Philon de Byblos Chronos

- Moshe : (Shlomoh a donné shalom et Salomon), et mashia messie, mashiah en hébreu (4e siècle av. J.C) et de sa traduction christos en grec (3e siècle av. J.C).

Tout d'abord, nous constatons que le squelette consonantique du mot hébreu MaShiaH, est quasiment le même que celui du mot hébreu MoShéH.

Or, nous savons que le nom MoShéH est lui-même emprunté à l'égyptien MèS ou MoS ou MouS, signifiant : enfanter, naître, sauver, ect...

Nous retrouvons cette racine dans d'autres langues kamitiques, tel que le wolof où le mot MouS signifie donner naissance à un enfant, être délivrée, et le mot MouSaL signifie sauver (Nouvelles recherches sur l'égyptien ancien et les langues négro-africaines modernes, de Cheikh Anta Diop, éditions Présence africaine, p. 154).

Si Shalom n'est pas tellement répandu comme prénom, il n'en va pas de même de Sh'lomo (מהשל, Salomon), littéralement Sa paix, faisant référence au D. ieu de Shalom.On traduit généralement Shalom par paix (Hébreu : שלום). Bien que juste, le terme choisi est un peu limitatif. En réalité, ce mot, apparenté à shalem (שלם, plein), représente l'état atteint dans la plénitude, tel que rapporté par Isaïe : "Il forme la lumière, crée la ténèbre, et fait la shalom ". Il concilie les extrêmes et les opposés, qui vivent en bonne entente de Son fait.

C'est le Talmud (Shab. 10b) qui dit que "le Nom de D. ieu est 'Shalom'", en se basant sur Jug. 6:23.

-  Shema El : le Nom est Dieu, substitué au nom divin

- Shaddaï : Le nom Shaddaï (Hébreu : שַׁדַּי), qui apparaît aussi bien en combinaison avec "El " qu'indépendamment de lui, est utilisé comme Nom divin, particulièrement dans le Livre de Job.

Selon Ex. 6:2-3, c'est le Nom sous lequel D. ieu était connu d'Abraham, Isaac, et Jacob. Dans la Septante et d'autres anciennes traductions, il est rendu par "Tout-puissant", et c'est sous ces termes qu'il apparaît dans la traduction de Louis Segond Ex. 6:2-3.

Une racine du mot pourrait être "shadad" (שדד), signifie "maîtriser, écraser, détruire", ce qui donnerait à Shaddaï la signification de "destructeur", l'un des aspects de Dieu (à comparer avec "Shiva", le dieu Ç destructeur » dans la trinité hindoue, "créateur, préservateur, destructeur")

- YHVH Yod he vav he, forme verbale à la 3 ème personne du singulier, a donné Yaha, Yehu, Yah, Yo. Saint Jérome emprunte à Origène le terme qu’il traduit par Dominus = Seigneur dans la Vulgate. Le nom Yah (YH) est composé des deux premières lettres du Tétragramme. Selon certains, il s'agit d'une abréviation, selon d'autres d'une forme primitive du Tétragramme. C'est en tout cas ce Nom qui est employé dans Alléluia (Hallelou Yah, Rendez louange à Yah). 

Ineffable Yah serait en effet le nom d'une petite idole Madyanite 
- où Moïse s'est enfui
d'Égypte. nom de Yah s'est probablement introduit dans la Bible pendant une période de rédaction qui s'est opérée dans le nord du désert arabique.
- YHWH Tzevaot (Cébaoth)
Les Noms YHWH et Elohim s'accompagnent fréquemment du mot tzevaot ("armées", Hébreu : צבאות ) : YHWH Elohei Tzevaot ("YHWH, D.ieu des armées"), Elohei Tzevaot ("Dieu des armées"), Adonaï YHWH Tzevaot ("Seigneur YHWH des armées") ou, le plus souvent, YHWH Tzevaot ("YHVH  des armées"). La translittération habituelle est Sabaoth en Latin, Cébaoth en Français.
- Yaveh : définit l'Indefinissable.

Autres Noms, formules ou dénominations de D.ieu


Il s'agit soit d'usages moins fréquents, soit de Noms peu mentionnés dans la Torah, soit encore de métonymies.

- Abir - "Puissant", Adon Olam, Ribon Olam ou Ribbono shel Olam "Maître du monde"
- Boreh : "[le] Créateur"
- Avinou Malkeinou : "Notre Père notre Roi"
- Melekh ha -Melakhim : "Le Roi des rois"
- Elohei Avraham, Elohei Yitzchak ve Elohei Ya`aqov : "D. ieu d 'Abraham, D. ieu d'Isaac, D. ieu de Jacob"
- Magen Avraham : "Protecteur d 'Abraham"
- El ha Guibor : "D. ieu le Puissant"
- Emet : "Vérité". §
- E'in Sof : "Infini", plutôt utilisé par la Kabbale
- Ro'è Israël : "Berger d'Israël"
- YHWH-Ra-ah : "Le Seigneur mon Berger" (Psaumes 23:1) - HaKaddosh, Baroukh Hou : "Le Saint, béni soit-Il
- Kaddosh Israël : "Saint d'Israël".. §
- YHWH-Yireh : "D. ieu pourvoira" (Genèse 22:13, 14) - YHWH-Rapha : "D. ieu guérisseur" (Exode 15:26)
- YHWH-Niss'i : "D. ieu ma/notre bannière" (Exode 17:8-15) - YHWH-Shalom : "D. ieu [est] Paix" (Juges 6:24)
- YHWH-Tsidkenou : "Seigneur-notre Justice" (Jérémie 23:6) - YHWH-Shama : "D. ieu [Est] là" (Ezéchiel 48:35)
- Tzour Israël : "Roc d'Israël"

Il peut également s’agir de nous faire prendre conscience que le rite REAA est issu d’une synthèse (et non d’un syncrétisme) de plusieurs traditions, écrites et orales. Ou nous suggérer une nouvelle voie de recherche plus spirituelle, plus sacerdotale...Du passage de l’ancien testament au nouveau, puis vers la défense de l’ordre du temple ?

L'exclamation «Ah ! Seigneur, Mon Dieu !» peut ne pas être le témoignage d'un accablement, d'un appel ou d'une soumission à une force supérieure. L'exclamation, telle qu'elle nous est proposée, relèverait d'une tradition gnostique. Elle met en œuvre, par le verbe, une mutation intérieure qui nous ouvrirait à la connaissance, à la gnose pour certains, même si la parole est perdue, car il s’agit pour l’instant de notre propre mutation. Serions-nous notre propre créateur ? La mort d’Hiram engendre bien une création (le nouveau maitre). Principe divin.

Ainsi, l'esprit en mutation, s'ouvre à une nouvelle dimension. Il s'éveille et s'émerveille de ce qui existait en lui, mais qu'il ignorait. Cette disposition structurante conduit ainsi le Maitre vers la grande géométrie. Remettre en ordre son esprit, laisser parler son coeur. «Le sage se tait et laisse parler son coeur».

Il y a lieu de scinder le discours d’apparence, d’apparat, du discours à structure profonde, par la découverte des mécanismes qui le sous-tendent. La grammaire science du langage, était considérée comme la clé de toute connaissance positive et donc le premier des arts. Elle est le fondement de toute littérature et la mère du langage que nous ne pouvons écarter de la philosophie. Préférons la grammaire à la dialectique. Mais tout n’est pas exprimable avec la grammaire, avec les mots.

En CONCLUSION

Ces quatre lettres ASMD, pourraient devenir "ASMODÉE", nom d’un démon et signifiant "celui qui fait périr". Il apparaît dans le Livre de Tobie, III.8 . Traduit en latin par Asmodeus, sa signification est Ô’Le souffle ardent de Dieu”. LE SPIRITU.

Asmodée était le surintendant des enfers, chargé des maisons de luxure ; Iil lui revint la charge d’enseigner aux hommes la géométrie et l’astronomie. Curieux !

Celui "qui fait périr" est surtout aussi celui "qui initie". Meurs et deviens... Il y a là de quoi pousser un cri d’horreur, de stupéfaction. Rencontrer un démon, alors qu’on s’attend à communiquer avec le GADL’U n’est pas un mince événement. Vite appelez un exorciste.

La matière d’Hiram n’est plus en mouvement (La chair quitte les os, tout se désunit); reste l’esprit, la transcendance, pour certains l’illumination, pour d’autres un exemple. Meurtre rituélique et unificateur de la F\M\.

Enfin, il est normal, qu’Hiram meurt, comme les architectes égyptiens à la fin de la construction de la pyramide, car ainsi, le secret des plans ne pouvait être dévoilé. Mais seul le VM peut le relever par les cinq points parfaits de la maitrise.

Comment allons-nous réparer cette perte ?

Ah Seigneur mon Dieu, que la géométrie du verbe est délicate.

J’ai dit T\V\M\.

7280-3-1

Eglise Saint Germain des Prés

ANNEXES

Les adeptes et les cabalistes nous représentent le tétragramme Jehovah ainsi figuré :

7280-3-2

Ils renferment ces caractères sacrés dans un triangle ou delta, et la décomposition de ce nom donne pour résultat trois autres noms qui sont donnés aux trois personnes de la Sainte-Trinité. (Voyez le talisman du frontispice) :

7280-3-3

Voici les explications de ces caractères mystiques et symboliques. La première lettre du triangle se nomme iod " ; c’est le nom du Dieu d’ Abraham qui exprime le Dieu vivant ; cette lettre est attribuée à Dieu le père, qui est la première personne et la première cause qui produit et n’est pas produite, c’est-à-dire que les autres personnes émanent de lui, parce qu’il est le premier principe de tout ce qui existe et qu’il n’a d’autre principe que lui-même.

Le deuxième nom est composé de deux lettres ", qui signifient iah (Dieu) ; c’est le nom du Dieu d’Isaac. C’est-à-dire le vrai Dieu, attribué au Fils, seconde personne, qui a été produite et engendrée, dont la faculté est de produire.

Le troisième nom est composé de trois lettres i ", qui signifient iaho, qui est le nom du Dieu de Jacob c’est-à-dire, le Dieu Saint, attribué au Saint-Esprit.

Ces trois personnes forment le triple triangle, symbole de l’union hypostatique, qui constitue l’unité et l’identité de l’essence divine, qui est communiquée à chaque personne ou nature sans partage, c’est-à-dire que le Saint-Esprit est produit par le Père et le Fils, et ne produit point ; mais il procède en toutes choses des deux

personnes. Le quatrième nom se compose de quatre lettres הוהי, il renferme en lui tous les mystères de la sagesse ; voilà pourquoi les cabalistes appellent ce triangle mystique le sceau du Dieu vivant ; et remarquez que le nombre des lettres de la décomposition de ce nom revient au nombre 10.

« Moïse dit à Élohim : Voici que, moi, j'arriverai vers les fils d'Israël et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m'a envoyé vers vous ! et ils me diront :

Quel est son nom ? Que leur dirai-je ? » (Exode, ni, 13).

Le nom, c'est la dernière chose qu'un Dieu doit donner à connaître.

Dans un autre passage de l'Exode, Élohim dit à Moïse : « Je suis apparu à Abraham, à Isaac et à Jacob en El-Shaddaï, mais par mon nom de IHWH je n'ai pas été connu d'eux » (Exode, vi, 3). C'est que le nom, qui définit l'indéfinissable et le met à la merci du vulgaire, doit rester la propriété de Dieu et des initiés.

Evolution des principes de la FM 
(Richard Brunois in PVI)

Enfin pour tenter d’apporter une réponse aux FF dubitatifs, il faut rappeler que la FM du 18 ème siècle, a été fortement inspirée par le droit positif divin, pour parvenir au cours du 19 ème siècle, à constituer une synthèse avec le droit positif naturel. Au fil des ans, notre rite a été fortement imprégné, non pas de la religiosité du droit divin , mais de son caractère immanent tel qu’il résulte de des textes sacrés de notre civilisation judéo-chrétienne : la Bible ouverte pendant nos travaux comme Volume de la Loi sacréee, en tant que symbole nous imposant des devoirs comme des droits.

De l’origine de l’ancien testament

A l'instar des autres peuples, les juifs étaient polythéistes et idolâtres comme le révèlent leurs propres documents.

Leurs ancêtres possédaient des Téraphim, c'est-à-dire des idoles domestiques représentant des différentes divinités " Genèse 31 : 17 à 35 ". Ils se prosternèrent devant les Ashéra, c'est-à-dire un pieu ou un arbre sacré attribut d'une divinité " Juges 6 : 25 à 30 ".

Le premier livre de Samuel, chapitre 4, verset 8 dit explicitement : " Malheur à nous ! Qui nous délivrera de la main de ces dieux puissants ? Ce sont ces dieux qui ont frappé les Egyptiens de toutes sortes de plaies dans le désert ", ou encore un papyrus araméen d'Eléphantine daté de 398 av. J.C, qui dit : " Le salut de tous les dieux, abondamment en tous temps ", mais aussi une tablette assyrienne du roi Sargon II au 8e siècle av. J.C, disant ceci : " Je comptai pour prisonniers 27 280 personnes ainsi que leurs chars et les dieux en qui ils se confiaient ".

Ces documents sont connus de tous les chercheurs, et nous pouvons constater que le monothéisme ancestral des juifs n'est qu'une vue de l'esprit remontant au 4e siècle av. J.C.

Le Temple de Jérusalem, où se trouvait l'arche contenant les fameux élohim, symbolisant la présence divine auprès du peuple, était en ruine.

Le pays était occupé par une puissance étrangère ; les dieux des juifs Yaho, Anath, Bethel, Ishum, Herem (papyrus araméens d'Eléphantine) étaient impuissants face aux dieux des babyloniens (Marduk, Bel, Ishtar).

Pour maintenir un temps soit peu l'identité juive et sortir de cette période de crise, en 398 av. J.C, sous la direction du scribe et sacrificateur Esdras, les intellectuels juifs acculturés à la sauce babylonienne " Daniel 1 : 1 à 8 " , se mirent à rassembler le maximum de traditions sémitiques, afin d'opérer une véritable renaissance du peuple juif, en fondant une nouvelle identité basée sur la Torah, avec ses récits, ses rites et ses lois. Bien évidemment, pour que cette Torah soit acceptée par la masse, il fallait lui donner une certaine antériorité et une paternité, c'est alors que les scribes inventèrent à cet effet le personnage de Moïse, non pas de toute pièce, mais à partir du personnage d'Akhenaton ( voire à ce sujet : La véritable Bible de Moïse, de Pierre NILLON).

Comme le montre cette liste non exhaustive, à partir du 4e siècle av. J.C, les juifs avaient entre les mains toute la documentation nécessaire à l'élaboration des grands récits de la Torah, puis au remaniement de ceux-ci, et cela jusqu'en 90 ap. J.C, où le Concile de Yabnéel alias Jamnia en grec, l'actuel Yebna fixa le canon des livres saints aujourd'hui reconnu dans le judaïsme.
- L'histoire de la Tour de Babel est inspirée de la Tour de Babylone édifiée au 6e siècle av. J.C, par le roi Nabucodonosor sous le nom de : Etem En Anki.
- L'histoire du déluge de Noé est inspirée du déluge d'Out Napishtim qui se trouve dans l'épopée de Gilgamesh au 7e siècle av. J.C.
- Les lois dites mosaïques sont inspirées du Code d'Hammurabi au 18e siècle av. J.C.
- Le récit de l'exposition de Moïse sur le Nil est inspiré d'un récit du 8e siècle av. J.C, de l'exposition du roi Sargon d'Akkad sur l'Euphrate.
- Le récit de la souffrance de Job est inspiré du récit babylonien du " Juste souffrant ", datant du 6e siècle av. J.C.
- Le personnage d'Abraham est inspiré du personnage d'Abisha au 19e siècle av. J.C, dans la tombe de Knum Hotep III.
- Le récit de Joseph et de la femme de Potiphar est inspiré du récit du " Conte des deux frères ", au 13e siècle av. J.C.
- Le livre des proverbes est inspiré de la " Sagesse d'Aménémopé ", au 13e siècle av. J.C.
- L'histoire des hébreux en Egypte est inspiré de l'histoire des hyksos en Egypte au 18e siècle av. J.C.
- Le personnage de Moïse fondateur du monothéisme est inspiré de celui du pharaon monothéiste Akhenaton au 14e siècle av. J.C.
- Le séjour de 400 ans en Egypte est inspiré de " La stèle de l'an 400 " datée du 13e siècle av. J.C.
- La liste des dix patriarches antédiluviens est inspirée de la " Liste royale sumérienne ", mentionnant également le nom de dix rois antédiluviens, et datant du 8e siècle av. J.C.
- Le récit de la création est inspiré d'un récit babylonien de la création " Enuma Elich " daté du 6e siècle av. J.C.

Tout ceci explique pourquoi, aucun document qu'il soit : égyptien, cananéen, assyrien, babylonien, perse, ou même juif comme les papyrus araméens d'Eléphantine, antérieur au 4e siècle av. J.C, ne mentionne le personnage de Moïse, ou la loi de ce dernier (il en va de même pour les soi-disant prophètes juifs). Pourtant les juifs ont séjourné un grand nombre d'années, voire même de siècles au contact de tous ces peuples, même Hérodote le père de l'Histoire ignore cet illustre personnage de Moïse dans ces enquêtes au 5e av. J.C

Rituel D’Edimbourg

Grand signe des Maîtres

Les deux mains au-dessus de la tête, les laisser tomber en frappant sur le tablier et frapper en même temps les deux pieds en disant : Ah! Seigneur mon Dieu. Quand Salomon dédia le Temple au seigneur il leva les mains en disant : Mon Dieu, tu es au-dessus de toutes choses, j'adore ton saint nom.

Masonry Disected

La formule d'exclamation: « Muscus Domus Dei Gracia », « Ah Seigneur! Mon Dieu! » dans d'autres rites.

Le Manuscrit Wilkinson

Note : La première mention du tombeau d'Hiram apparaît en 1727, où il est décrit comme « un carré long ». La Loge a souvent la force de ce rectangle, et est ornée de symboles maçonniques. Nous savons cela par des ouvrages tells que The Three Distinct Knocks de 1760.

Imitation de Jésus Christ

Ah ! Seigneur mon Dieu, quand, m'oubliant tout à fait moi-même, serai-je parfaitement uni à vous et absorbé en vous ?

Que je sois en vous, et vous en moi; et que cette union soit inaltérable !.

C. Dupontes, 3ème cahier, de 1841,

Dans les " Cours pratiques de F\M\ ", on trouve la signification du nom Hiram : ville élevée, céleste. Pour différencier Hiram de Hiram de Tyr, on l’appelle souvent Hiram Abi, Abi signifiant le père ou Adoniram le seigneur élevé, d’ou le qualificatif adonhiramite ; ce qui donne lieu à diverses interprétations astronomiques.

Le F\F\ regardant Hiram comme leur père, voulant honorer sa mémoire s’appellent entre eux les fils de la veuve. Ainsi Hiram est l’emblème du soleil.

Par contraction, Adohiram a donné Adonai (Seigneur) et l’un des noms de Dieu. Le culte solaire est à la base de toutes les civilisations. Hiram Seigneur et Grand Architecte ? Le chef, le Maitre, le grand géomètre.

Abrham célèbre dans l’Asie a été appelé Bram, Abram, Ibriam, qui est peut être la Braham des Indiens, signifie aussi père élevé, père de la multitude.

La mort d’Hiram peut être comparée à celles de : Osiris, Iachus, Adonis, Hercule, Mithra.

Symbole de la marche du soleil, il est vaincu temporairement par les ténèbres, mais la lumière (du soleil) ressuscite comme Hiram en nous, pour briller pour l’éternité, dans les enfants de la veuve.

Hiram est le symbole des combats des deux principes : - Typhon contre Osiris
- Junon contre Hercules
- Titan contre Jupiter
- Les Anges contre Dieu
- Oromase contre Arimane
- Mauvais génies contre les Bons chez les Indiens

A propos de Dieu

"Dieu, affirme Louis-Claude de Saint -Martin, ne peut se manifester que par sa créature ", et dans le même sens :

"C'est en toi que Dieu doit naître" précise Angelius Silesius.

"Quiconque recherche Dieu en dehors de lui-même, souligne le CheikhAhmed El Allaoui, se fourvoie et va à 1'encontre de son désir ".

Les Soufis, nous rappellent les paroles de Jalal Eddin Rûmi, prononcées au Divan de Chems :"L'homme de Dieu est au-delà de l'infidélité et de la religion. J'ai regardé dans mon propre coeur : c'est là que je l'ai vu (Allah). Il n'était nulle part ailleurs. Je ne suis ni chrétien, ni Juif , ni Guèbre, ni musulman : je ne suis ni d'Orient, ni d'Occident, ni de la terre, ni de la mer... J'ai mis la dualité de côté, j'ai vu que les deux mondes n’en font qu'UN. UN seul je cherche, UN seul je connais, UN seul je vis, UN seul j'appelle".

Il faut remarquer qu'à l'époque des Patriarches, Dieu n'est pas encore appelé Yahvé, mais est évoqué sous le vocable "El", nom générique signifiant "dieu" ou "divinité". C'était aussi le nom du chef du panthéon des dieux de Canaan. Il se retrouve dans des noms donnés par les Patriarches pour évoquer le dieu qu'ils vénéraient.

DUNCAN'S RITUAL AND MONITOR OF FREEMASONRY. GRAND HAILING SIGN OF DISTRESS

7280-3-4

After receiving instruction in the proper communication of the substitute for the Master's Word, the candidate is then instructed in regards to the Grand Hailing Sign of Distress. It is given by raising both hands toward heaven, with each arm forming the angle of a square, or a 90 degree angle. The arms are then lowered in three distinct motions to the sides. In other words, ending with both arms in the natural downward position, such as when one is standing at "Furthermore, I do promise and swear that I will not give the Grand Hailing Sign of Distress of a Master Mason, except for the benefit of the Craft while at work or for the instruction of a Brother, unless I am in real distress; and should I see the sign given, or hear the word spoken, I will hasten to the relief of the person so giving it . The candidate is additionally instructed, however, that if he is in a place where the sign could not be seen, he is to utter a substitute for the sign : "O Lord, my God, is there no help for the Widow's Son ?" He is additionally advised that the sign and these words are never to be given together. 

Sur Osiris, Hiram et le culte solaire

Le culte et les mystères Egyptiens passèrent d’abord par Moise, chez les Juifs, où le Dieu primitif des Ethiopiens reçut le nom de Jou (Jehovah) et Typhon le génie du mal y fut appelé Satan et représenté par un serpent; puis en Phénicie, ils étaient célébrés à Tyr. Osiris y changea de nom et reçut celui d’Adonai ou de Dyonisus qui signifiait le Soleil. Rapport avec Adonai ou Yaveh nom du Dieu israélite: Ah Seigneur mon Dieu. Les non croyants ne doivent pas s’offusquer de l’appellation de Dieu car ce mot renvoie à Osiris (par Adonai)et au culte du soleil et donc au personnage d’Hiram.

L’orgueil d’Hiram

Selon le Livre « Commentaires de la caverne des trésors» par Andréas Su Min Ri, ’35, 27 : Hiram parle : ‘’je suis Dieu”. La prétention d’Hiram de se prendre pour Dieu est souvent mentionnée dans les textes rabbiniques, qui identifient Hiram avec le roi de Tyr et de Ez.

Selon les sources anciennes seuls 4 Rois ont dit : je suis Dieu : Pharaon, Sennacherib, Nabuchodonosor, Hiram (et certains ajoutent Nemrod).

En réalité Hiram était le beau-père de Nabuchodonosor. Hiram aurait eu des rapports avec la mère de Nabuchodonosor. C’est ainsi qu’il tua son beau père. Les Ravs dans les midrash interprètent également l’arrogance d’Hiram :

Hiram fit construire 7 firmaments de matières précieuses : Verre, Fer, Plomb, Métal, Airain, Argent, Or.

Le Saint Béni Soit-Il (SBST) dit à Ezéchiel : ‘Fils de l’homme, vas dire à Hiram de quoi s’en orgueille t-il ? N’es tu pas né d’une femme ?
Hiram répondit : “je suis né d’une femme et pourtant je vis et subsiste éternellement.

Si le SBST a son siège au sein des mers, il en est de même pour moi. Et si le SBST a son siège dans les 7 firmaments, il en est de même pour moi, et bien plus encore. Combien de rois sont morts et moi, je vis éternellement. J’ai enseveli 21 rois d’Israel et je vis encore. Ne suis je donc pas un El établi au siège des Elohim ? ‘’

Ainsi Hiram s’en orgueillait d’avoir envoyé les cèdres du Liban.

Alors le SBST a dit : ‘Je vais détruire ma demeure (le Temple) afin qu’Hiram ne s’en orgueille pas sur Moi’.

Comme Il le dit ; ‘’ouvres tes portes O Liban et qu’un feu dévores tes cèdres”. Le SBST souleva, contre Hiram, Nabuchodonosor et le fit tuer, coupa la chair (son corps) en morceaux (Osiris ?) de deux doigts qu’il trempait dans le vinaigre et donnait chaque jour à manger pour le faire mourir de mort étrange. Que sont devenus les palais ? Le SBST fit trembler la terre et les thésaurisa pour les justes du monde à venir. C’est ainsi selon cette paracha qu’Hiram n’a pas été assassiné par les trois mauvais compagnons mais puni par Dieu pour son orgueil.

Andreas Su-Min Ri [ Né en 1937 ]

Andreas Su-Min Ri est né en Corée. Il a obtenu en 1975 le doctorat en matière rabbinique à la Faculté de philosophie, Université de Vienne, Autriche, pour la thèse intitulée «Mosesmotive in den Fresken der Katakombe der Via Latina im Lichte der rabbinischen Tradition».

A partir de septembre 1981, il a étudié les langues et littératures chrétiennes et gnostiques de l'Orient ancien. Docteur ès sciences religieuses à l'université Laval à Québec, en 1986, pour «Deux recensions syriaques de la "Caverne des trésors"» sur la base de dix-neuf manuscrits et une traduction française, publiée en 1987.

Note personnelle

En réalité Hiram, tout en marquant une rupture, est la continuité du degré de compagnon car indépendamment de son assassinat, il est grammaire, ou sa représentation. En effet, nous passons de l’étude des outils concrets physiques opératifs, à l’étude du mythe et de sa signification par substitution. L’étude du mythe ne doit pas cacher l’étude des mots, ce que j’ai essayé de traduire dans cette planche

Le but ultime du mythe est son interprétation et sa traduction, dans l’esprit de chacun d’entre nous. Ce but passe par la linguistique, première discipline de l’étude des arts. C’est pour cela, que généralement, nous sous-estimons, en tant que compagnon les cartouches et plus particulièrement celui des Arts Libéraux. Ce même but est la découverte d’un discours portant davantage sur la technique exégétique que sur la technique grammaticale ordinaire.

Il y a lieu de scinder le discours d’apparence, d’apparat, du discours à structure profonde, par la découverte des mécanismes qui le sous-tendent. La grammaire science du langage, était considérée comme la clé de toute connaissance positive et donc le premier des arts. Elle est le fondement de toute littérature et la mère du langage que nous ne pouvons écarter de la philosophie. Préférons la grammaire à la dialectique.

Hiram est empli de symbolisme astrologique car n’oublions pas le pas de maitre enjambant le corps astral et représentant une ellipse tout comme Vénus marquant la restauration de la Vie. Cette notion est importante car s’était développée sur cette notion une culture dite du peuple des poteries cannelées orcadienne.

L'ORIGINE KAMITIQUE DU MESSIANISME

Suite à la parution à compte d'auteur du livre de Pierre Nillon " La véritable Bible de Moïse " dans lequel tout un chapitre démontre versets bibliques à l'appui que Jésus s'il a vraiment existé ne pouvait en aucun cas être le grand messie attendu, et dans lequel également un autre chapitre est consacré au véritable Messie, nous pensons qu'une petite clarification était plus que nécessaire sur ce dernier.

Tout abord, le mot français messie n'est rien d'autre que la transcription de l'hébreu mashiah, et le mot christ celle du latin christus, lui-même emprunté au grec christos, lequel est la traduction dans la version grecque des Septante de l'hébreu mashiah.

Dans la Bible, les mots messie et christ sont donc synonymes et signifient oint, titre désignant chez les juifs celui qui reçoit une onction d'huile afin d'être consacré dans sa fonction.

Ainsi, d'après la tradition biblique rédigée au 4e siècle av. J.C, le premier messie connu des juifs n'était autre que le grand-prêtre Aaron " Lévitique 8 : 10 à 12 ", lequel aurait vécu au 13e siècle av. J.C, si on en croit la chronologie officiellement admise. Donc, à l'origine c'était une consécration religieuse réservée uniquement au grand- prêtre et à ses successeurs.

Par la suite, cette consécration fut appliquée au roi et à ses successeurs à l'instar de Saul le premier roi d'Israël " 1 Samuel 10 : 1 ", lequel aurait vécu à la fin du 11 e siècle av. J.C, si on en croit toujours cette chronologie.

La même tradition biblique rapporte que par extension, on pouvait donner le titre de messie c'est-à-dire christ à quelqu'un qui n'avait pas reçu l'onction d'huile, mais que Dieu avait choisi en envoyant sur lui son Esprit afin de lui confier une mission particulière " Esaïe 61 : 1 ".

Lors des différentes persécutions gréco-romaines (167 av. J.C à 136 ap. J.C), les juifs attendaient la venue d'un roi ou d'un grand-prêtre qui les sauverait immédiatement ou à défaut à la fin des temps, d'où le sens de sauveur que prit alors ce mot " Daniel 2 : 44 et Daniel 12 ".

Conformément à la tradition juive, le christianisme nous présente le personnage de Jésus en tant que grand-prêtre " Hébreux 4 : 14 ", en tant que roi " Jean 18 : 33 à 38 ", et en tant que sauveur " 2 Timothée 1 : 10 ".

Conformément à la tradition chrétienne, l'islam reconnaît Jésus comme " al-masih ", c'est-à-dire : le messie " Sourate 3, verset 45 ".

Signalons aussi une chose très importante, contrairement aux idées reçues, un messie c'est-à-dire un christ n'était pas forcément un juif ou quelqu'un d'origine juive. En effet, il pouvait très bien être un étranger à l'instar du roi perse Cyrus qui a été reconnu comme tel par les juifs eux-mêmes " Esaïe 45 : 1 ".

Ceci étant dit, voyons maintenant l'origine même de cette forme de consécration sacerdotale dans un premier temps, puis royale dans un deuxième temps et qui consistait à verser de l'huile sur la tête de l'intéressé lors de la cérémonie d'intronisation.

Pour ce faire, analysons d'abord dans l'ordre chronologique l'étymologie du mot mashiah en hébreu (4e siècle av. J.C) et de sa traduction christos en grec (3e siècle av. J.C).

Tout d'abord, nous constatons que le squelette consonantique du mot hébreu MaShiaH, est quasiment le même que celui du mot hébreu MoShéH.

Or, nous savons que le nom MoShéH est lui-même emprunté à l'égyptien MèS ou MoS ou MouS, signifiant : enfanter, naître, sauver, ect...

Nous retrouvons cette racine dans d'autres langues kamitiques, tel que le wolof où le mot MouS signifie donner naissance à un enfant, être délivrée, et le mot MouSaL signifie sauver (Nouvelles recherches sur l'égyptien ancien et les langues négro-africaines modernes, de Cheikh Anta Diop, éditions Présence africaine, p. 154).

Nous retrouvons cette même racine MS dans une autre langue kamitique en l'occurrence le bambara, avec le mot MouSso signifiant : femme. Or, la femme (MS) lorsqu'elle enfante (MS), on dit qu'elle est délivrée, ou qu'elle est sauvée (MS), car à l'époque un grand nombre de femmes mourraient lors de l'accouchement.

Quant au mot ChRYSTos en grec, ou ChRISTus en latin, en enlevant la terminaison en os spécifique du grec, ou en us spécifique du latin, il nous reste les formes suivantes : ChRYST, ou ChRIST, qu'on retrouve d'ailleurs en français.

Sachant qu'en linguistique Ch correspond en réalité à la lettre K, nous avons en définitive les formes suivantes KRYST ou KRIST.

Or, cette racine n'est ni indo-européenne, ni sémitique, elle est tout simplement la lecture de la notation alphabétique de l'égyptien KRY- ST, vocalisée KuRY­SoT, signifiant : Celui qui est au-dessus du secret, titre que portait à l'origine le grand-prêtre, puis le pharaon exerçant cette fonction.

En effet, le mot HeRY vocalisé KeRY en égyptien conventionnel, signifiant : sur, au- dessus de, est à mettre en parallèle avec une autre langue kamitique, le pullar HuuRY, vocalisé KuuRY, signifiant : qui couvre, qui est au-dessus, qui est à la tête de, etc, pour plus de renseignements (De l'origine égyptienne des Peuls, d'Aboubacry Moussa Lam, p. 153).

Quant à l'égyptien conventionnel SheTa, signifiant : secret, mystère, caché, etc, il trouve son parallèle avec la même signification dans les langues kamitiques suivantes : ShiTo en xhosa, ShoT en copte, SuT en môré, eSiTha en zulu, SuT en bambara (Nomade n° 4, éditions l'Harmattan, p. 85).

Donc, que ce soit au niveau du sémitique avec le squelette consonantique MS-H, ou de l'indo-européen avec le squelette consonantique KRY- ST, la linguistique renvoie inévitablement à une origine égyptienne pour la cérémonie de l'onction d'huile.

Une autre traduction possible de l'expression KuuRY SoT en kamitique serait : La Tête qui est cachée, ce qui expliquerait pourquoi la tête des rois kamites était souvent cachée par un voile. Une autre preuve de l'origine égyptienne de cette cérémonie d'investiture du grand-prêtre ou du roi, nous est donnée par un autre titre que les chrétiens attribuent au Christ, à savoir : Serviteur de Dieu " Actes 4 : 27 ", ce qui est effectivement la traduction littérale de l'égyptien conventionnel HeM-NeTeR signifiant : Serviteur de Dieu, titre que portait également le pharaon en tant que grand-prêtre.

Hormis ces preuves littéraires, nous avons un document d'une importance capitale prouvant non seulement l'origine égyptienne de cette cérémonie d'intronisation en tant que grand-prêtre ou en tant que roi, mais aussi l'époque probable de son introduction dans le monde sémitique.

En effet, une tablette cunéiforme de Tell el amarna (EA 51) remontant au 14e siècle av. J.C, nous apprend ceci : " Au Soleil, le roi, mon seigneur, le roi d'Egypte : Message d'Addu-nirari, ton serviteur. Je tombe aux pieds de mon seigneur. Note que lorsque Manakepiya, le roi d'Egypte, ton ancêtre, établit Taku, mon ancêtre, comme roi dans Nuhasse, il mit de l'huile sur sa tête et parla comme suit : " Celui que le roi d'Egypte a installé comme roi, et sur la tête duquel il a mis de l'huile... ". Pour plus de renseignements (Les lettres d'El Amarna, éditions du Cerf, p.221).

Or, nous savons que le nom akkadien Manakepiya est la transcription du kamitique Manahépira rendu en égyptien conventionnel par Men-Keper-Rê et n'est autre que le pharaon de la 18e dynastie connu sous le nom de Toutmès III, ou encore Toumosis III, lequel a régné de 1501 à 1447 av. J.C.

Donc, il est clair que le concept même du messie, c'est-à-dire du christ est un concept égyptien à la base, et non pas sémitique, d'où le fait que les égyptologues ont trouvé en Egypte des textes messianiques remontant justement à la 18e dynastie (Civilisation ou barbarie, p. 104 à 108, de Cheikh Anta Diop, éditions Présence africaine).

En se basant strictement sur la documentation, le messianisme apparaît en Egypte plus de mille ans avant son apparition dans la tradition biblique.

Par ailleurs, Diodore de Sicile (Lib. III, 3) nous apprend ceci : " La plupart des usages adoptés par les égyptiens sont d'origine éthiopienne... Les rois honorés comme des dieux, les soins pris pour les funérailles des morts, et beaucoup d'autres rites, sont des institutions éthiopiennes ", on peut logiquement penser que cette forme d'investiture consistant à verser de l'huile sur la tête du prêtre-roi honoré comme Dieu sur terre, tout comme Jésus plus tard " Hébreux 1 : 9 ", trouve son origine non pas en Egypte mais plus au sud, en Ethiopie tout comme la 18e dynastie.

D'autant plus que concernant l'élection du roi chez les éthiopiens, Diodore de Sicile (Lib. III, 5) verse un autre élément très important à notre dossier en disant : " Les prêtres choisissent d'abord les membres les plus distingués de leur ordre ; ensuite, parmi le nombre de ces prétendants, celui que, dans un festin qui se célèbre suivant un certain rite, le dieu, dont on promène l'image, vient à saisir, est créé roi par le peuple. A l'instant chacun se prosterne devant lui, l'adore et lui rend les mêmes honneurs qu'aux immortels, comme à un être investi par la providence divine du pouvoir suprême ".

Puisqu'en Ethiopie l'élection du prêtre-roi se faisait lors d'un festin religieux ce qui sous entend bien évidemment l'existence de viandes rôties sacrifiées à la Divinité, une fois de plus Diodore de Sicile (Lib. III, 2) nous apprend ceci : " On dit que les éthiopiens sont aussi les premiers qui aient enseigné à rendre un culte aux dieux, à leur offrir des sacrifices, à pratiquer tous les actes religieux par lesquels les hommes ont coutume d'honorer la Divinité ; aussi sont-ils célèbres dans toute la terre pour leur piété, et les sacrifices offerts par les éthiopiens passent-ils pour être les plus agréables aux immortels ".

Après de minutieuses recherches sur ce point précis, il s'avère que dans certains rites kamitiques l'huile qui sert à rôtir la viande sacrifiée à une divinité est considérée par ces initiés comme possédant l'Esprit de cette divinité, raison pour laquelle on verse cette huile sur la tête de celui que cette divinité a choisi pour être à son service. Dès cet instant, ce Serviteur du Dieu est aussi considéré comme étant l'Epouse du Dieu.

Or, la racine égyptienne du mot HeM NeTeR trouve son parallèle avec l'expression peul HuMii NaTjooR signifiant : Attachée au Génie ou encore Epouse du Génie, car le mot Humii signifie indifféremment Attachée et Epouse.

Dans le culte du Vaudou ou plus exactement Vodoun, (Esprits chez les fons) nous trouvons ce parallèle avec le mot Vodounsi qui signifie également Epouse du Dieu. Par ailleurs, si la cérémonie d'intronisation a pratiquement disparue avec la colonisation de l'Afrique mettant ainsi fin à la royauté kamitique, néanmoins l'attente messianique a survécue dans certains récits initiatiques kamitiques à l'instar des peuls qui seraient selon Aboubacry Moussa Lam, originaires justement de l'Egypte pharaonique (De l'origine égyptienne des peuls, éditions Présence africaine et Khepera).

En effet, le conte initiatique de Njeddo-Dewal (rapporté aussi par Amadou Hampaté Ba) nous apprend qu'à l'origine les peuls vivaient dans un pays paradisiaque, dans le pays de Héli et de Yoyo.

Puis Dieu (dont le nom est Guéno chez les peuls) frappa ce paradis de toutes sortes de plaies par l'intermédiaire d'une sorcière représentée par un serpent du nom de Nj eddo-Dewal.

Mais que seul l'envoyé (dont le nom est Bâgoumâwel chez les peuls), un enfant prédestiné par Guéno, pourra vaincre le mal (symbolisé par Njeddo-Dewal chez les peuls) et mettre fin au malheur des habitants de Héli et de Yoyo. Alors le peuple remerciera Guéno et rendra hommage à Bâgoumâwel.

Or, le point capital du livre " La véritable Bible de Moïse " c'est que lorsque nous étudions les sciences occultes, (les connaissances cachées) un tel Messie attendu dans la tradition kamitique, dans la tradition juive, ou dans d'autres traditions est devenu une réalité le 05 février 1962.

En effet, cette date correspond à l'avènement de l'ère du Verseau durant laquelle les sept planètes de l'Astrologie traditionnelle (Lune, Soleil, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne) se trouvaient en conjonction dans le signe du Verseau, que l'Esprit lumineux de Dieu (Akou na Atona alias Akhenaton) a pris possession du corps d'un enfant né huit jours auparavant soit le 29 janvier 1962 à la Guadeloupe.

Pourquoi la Guadeloupe et 1962 ? Premièrement, parce que l'ancien nom de cette île à savoir Karukéra (l'île aux belles eaux) ou son nom espagnol Guadalupe emprunté à l'arabe Wad el Oube (la rivière de l'amour) renvoie directement au signe du Verseau (celui qui Verse l'Eau). Dans la tradition universelle, l'Eau représente la purification, l'Océan primordial sur lequel plane le Soleil (l'Esprit de Dieu), l'origine même de la Création, l'Eau c'est la Vie !

Deuxièmement, en 1962 il y eu des phénomènes extraordinaires à l'instar d'une éclipse solaire, ou d'une pluie d'étoiles visibles essentiellement dans cette région du Globe, à tel point que la chanteuse canadienne Claude Valade s'en inspira pour composer en 1962 sa chanson " Sous une pluie d'étoiles ", avec laquelle elle connu le succès.

Troisièmement, le 11 octobre 1962 a vu aussi un évènement rare en matière de religion, le fameux Concile Vatican II orchestré par le pape Jean XXIII, et selon le " Sun Magazine " du 24 juin 1997, ce dernier aurait admis l'apparition du Christ en 1962.

Assurément 1962 fut une année importante, à tel point que le chanteur Claude François nous dit dans sa chanson " Cette année-là " qu'on croyait qu'une Révolution arrivait cette année-là.

Pour parler clairement, ce nouveau né n'est autre qu'Akhenaton lui-même, dont le nom prédestiné signifie entre autres dans les langues kamitiques : le Revenant de Dieu, la Parole de Dieu, ou encore le Porte-parole de Dieu.

En 1992 âgé de 30 ans, cet homme a reçu l'onction d'huile lors d'une cérémonie d'investiture devant témoins bien évidemment afin d'être le Serviteur de Dieu qui sauvera (MS) son peuple, le bon pharaon, le grand-prêtre (le KRYST) AKHENATON qui rétablira la vérité (la MAT).

Ainsi, la solution à nos problèmes vient de la GUADELOUPE, et cette vérité deviendra de plus en plus évidente avec le temps.


7280-3 L'EDIFICE  -  contact@ledifice.net \