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L’Epée

J’ai désiré en effectuant ce travail, mettre en évidence l’importance de l’épée dans la main d’un maçon. Mais comment une arme de guerre a-t-elle pris une si haute valeur symbolique ? C’est que je vais essayer de faire ressortir ce soir, à travers un peu d’histoire dans un premier temps.

Parcourant cette Terre hostile où chaque instant pouvait être fatal, les premiers hommes comprirent tout de suite l’importance d’objets nécessaires à leur sécurité. Ce fut tout d’abord ce que l’homme pu trouver dans la nature et les premières armes de défenses furent certainement des pierres ou des pièces de bois.

Contraint de défendre sa vie devant toute sorte de dangers et principalement les animaux sauvages, l’homme usa d’ingéniosité pour créer toute sorte d’objet de frappe ou de jet. Avec la découverte du feu il pu rendre plus dures les pointes en bois et commença à façonner les minerais tel que le cuivre ou l’argent à l’état natif. C’est à ce moment que nous voyons apparaître des lances en bois comprenant des pointes métalliques ainsi que des haches essentiellement utilisées pour la défense ou la chasse.

Les migrations de certains peuples et les conquêtes de territoire eurent pour conséquence d’armer les populations. C’est l’époque des grands déplacements ethniques et les confrontations entre tribus se font avec certaines armes individuelles ressemblant vaguement à des glaives.

L’âge du fer avec la pratique d’un début de métallurgie donnera à certains envahisseurs une suprématie due à la dureté de ce métal. C’est ainsi que les DORIENS en autres conquérants s’assurèrent des victoires relativement faciles du fait de la fragilité du cuivre par rapport aux glaives en fer qu’ils utilisaient.

Par la suite la pratique de la forge et la connaissance des alliages donneront des armes de grandes qualités. Avant d’aborder les armes composant les divers corps d’armées et notamment ceux du début du moyen age, il me parait important de retracer quelques passages de la Bible faisant mention de glaives ou d’épées. Notons que le glaive est considéré comme un objet tranchant ainsi qu’il représenté dans les mains de la justice alors que l’épée revêt un caractère spirituel.

« C’est ainsi qu’il chasse ADAM, et il mit à l’Orient du jardin d’Eden les deux chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l’Arbre de vie ». (GENESE 3 : 24). Les chérubins symbolisent les deux attributs de DIEU, la bonté et la puissance. L’épée se rapporte à la raison qui réunit ces deux attributs, selon PHILON et l’épée de feux désigne le logos et le soleil (des chérubins 21 - 27).

Avant d’appartenir à l’homme l’épée est donc l’instrument des Chérubins ou des Anges. « Alors l’ETERNEL parle à l’Ange qui remit son épée dans le fourreau ». (1 CHRONIQUES 21 : 27).

L’épée est aussi le moyen dont se sert DIEU pour rendre la justice. Si les hommes ne suivent pas les commandements de DIEU, ils sont menacés de l’Epée. « Ma colère s’enflamme, et je vous détruirai par l’épée, vos femmes deviendront veuves et vos enfants orphelins » (EXODE 22 : 24).

« Je ferai venir contre vous l’épée, qui vengera mon alliance quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j’enverrai la peste au milieu de vous et vous serez livrés aux mains de l’ennemi » (LEVITIQUE 26 : 25).

Sa signification profonde actuelle et éternelle, c’est le Nouveau Testament qui nous la donne : « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée ». (MATHIEU 10 : 34).

« Prenez aussi le casque du salut et l’épée de l’esprit qui est la parole de DIEU » (EPHESIENS 6 : 17).

« Repens-toi donc, sinon je viendrai à toi bientôt et je les combattrai avec l’épée de ma bouche » (APOCALYPSE 2 : 17).

« Puis je vis le ciel ouvert et voici que parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable et il juge et combat avec justice. Son nom est la parole de DIEU. De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frappait les nations, etc. » (APOCALYPSE 19 : 11).
Toujours dans le même sillage, Paul de TARSE parlera du Glaive de l’esprit, lui-même représenté comme un vieillard de petite taille, chauve, avec une barbe blanche, une épée dans une main et dans l’autre un livre.

A la lumière de ces textes, nous pouvons affirmer que l’épée est la parole divine, c’est le Verbe et elle est le don le plus grand puisque avoir l’épée c’est avoir la Parole de Vie qui est l’instrument de justice.

Souvenez-vous de ce fameux jugement du Roi SALOMON menaçant de partager un enfant avec son épée. (ROIS 3 : 24).

Je limiterai volontairement ces descriptions à la Bible qui m’est plus familière mais sachez qu’il est souvent question d’épée dans le CORAN qui mentionne en outre le nom de « Dhu al Fagar » qui est l’épée d’Ali gendre de Mahomet.

Le Khîtab musulman tient en main une épée de bois pendant la prédication.

Le droit de posséder une épée était réservé chez les Celtes aux hommes libres.

La possession de l’épée indique aussi le pouvoir.

Ce n’est pas par hasard que Napoléon Bonaparte, après sa victoire, est allé s’emparer de l’épée sur le tombeau de Frédéric de Prusse.

Chez les Scythes l’axe du monde et l’activité céleste étaient représentés par une épée plantée au sommet d’une montagne. Dans la tradition Asiatique, l’épée est en rapport avec l’eau et avec le Dragon. La trempe est d’ailleurs le mariage de l’eau et du feu.

L’épée sacrée japonaise dérive de l’éclair. Elle fut extraite de la queue du Dragon. Celle du Sadet de Feu du tribut Jaraï fut trouvée dans le lit du Mékong. D’ailleurs cette épée ne peut être tirée du fourreau par un profane sous peine des pires dangers. Le plus courant étant l’aveuglement.

Elle est encore symbole axial et polaire, s’identifiant à l’axe de la balance. En Chine, l’épée est l’arme du Centre représentant le pouvoir impérial.

L’épée du sacrificateur Védique, c’est la foudre d’INDRA elle est donc également le feu, ce qui l’identifie au Vajra.

Le Bodhisattva porte l’épée flamboyante dans le monde des Assura : c’est le symbole du combat pour la conquête de la connaissance et la libération des désirs ; l’épée tranche l’obscurité de l’ignorance ou le nœud des enchevêtrements. De même l’épée de Vishnu, qui est une épée flamboyante est le symbole de la pure connaissance et de la destruction de l’ignorance.

L’art de travailler le fer est parfois considéré comme un secret royal ou sacerdotal ; la forge des épées est elle-même une œuvre d’initié : sa réussite par le trempage et l’alliage est encore une fois une union de l’eau et du feu, du yin et du yang.

Ainsi si l’épée est l’éclair et le feu, dans notre tradition nous savons que l’Epée est la Parole et nous pouvons relever deux choses encore : l’une est qu’au Moyen Age, lors de la construction des cathédrales les imagiers ont donné comme attribut à saint Paul l’épée suivant ce verset : « ils appelaient Barnabas, Jupiter et Paul, Mercure par ce que c’était lui qui portait la parole » (ACTES 14 : 12).

L’autre se trouve dans le dictionnaire, le seul porteur de ce nom est l’Abbé Charles Michel de l’épée fondateur de l’institut des sourds-muets auxquels il enseigna le langage des signes. Il est vrai que la parole et l’éloquence sont parfois désignées par l’épée. Maintenant que nous avons établi les valeurs spirituelles que l’on attribut à l’épée, nous pouvons revenir au Moyen Age et plus particulièrement à la Chevalerie.

Les combats sans merci ont peu à peu fait place à des règles de bonne conduite. On pratique l’honneur et la courtoisie. Il n’est plus question de frapper un adversaire dans le dos ou désarmé. Symbole guerrier, l’épée va devenir celui de la guerre sainte. Elle sera dans les mains des Chevaliers une arme noble contrairement au poignard des brigands. Elle est le symbole de l’état militaire et de sa vertu, la bravoure, ainsi que de sa fonction, la puissance. Les buts assignés à la chevalerie en témoignent ; le chevalier prêtait serment de secourir la veuve et l’orphelin, de défendre en tout lieu la justice et de la servir, de protéger l’Eglise et les Lieux Saints. Dans ce sens l’épée sert donc à livrer un combat contre celui qui s’attaque à la Parole.

Homme fort, il avait encore à pratiquer, envers les faibles et les pauvres, cette charité morale et matérielle qu’enseigne l’église. C’est ainsi que la physionomie des combats va évoluer, les chevaliers respecteront le plus souvent les règles d’honneur et de courtoisie. Mais, il faut le dire, il s’agissait avant tout d’hommes de guerre et de rudes combattants. Certains d’entre, ont compris le message du Christianisme ; l’amour jusqu’au sacrifice de leur vie. D’ailleurs l’épée, elle même est le signe du sacrifice, elle est destructrice du Mal, de l’injustice et de l’ignorance. Mais constructrice lorsqu’elle maintient la paix de DIEU et rétablit la justice. Elle sépare le bon du mauvais, établissant un équilibre. Durant les Croisades les Templiers s’employèrent à combattre loyalement et St. BERNARD élabora un texte qui réglera toutes leurs actions. Il s’adresse à eux dans ces termes à propos de l’épée : « l’épée est tout pour vous et ce donc plus que la croix. Elle est forte image brûlante du Verbe qui s’est incarné parmi nous pour nous sauver.

N’oubliez que vous portez sur votre flanc la Lumière de notre Seigneur qui devra être prestement tirée du fourreau de l’obscurité, autant de fois qu’il vous semblera juste, non pour des raisons du monde ou la colère, mais pour détruire la nuit de la mécréance, de la malignité des infidèles et que triomphe la Vérité apportée par le Christ.

Répandre le sang de l’impie est faire œuvre justement de Dieu et vouer son âme au feu éternel.

Chérissez votre épée comme une compagne fidèle et obéissante, et n’hésitez à vous lancer dans le trépas avec elle car elle vous permettra d’accéder à la vie éternelle ».

De la forge d’où est issu le lingot de métal en fusion qui donnera la lame jusqu’à la remise au futur chevalier, l’épée reçoit, inflige et transmet la matière ignée.

Lors de l’adoubement ou de la simple remise de l’épée à la suite d’un rite de passage, l’initiateur ne transmet pas seulement à l’initié, futur membre de la confrérie, une série de connaissances et ne l’ordonne pas uniquement dans son futur état, mais lui donne le feu sacré et divin qu’il devra manier avec justesse et sagesse.

Le chevalier officiant faisait passer sa qualité dans l’âme et le corps de celui qu’il adoubait. Cette image d’estime et de respect de la valeur du parrain est illustrée dans la cérémonie d’adoubement du roi François 1er sur le champ de bataille de Marignan par un officiant exemplaire : Pierre du Terrail, chevalier et seigneur de Bayard.

« Bayard, mon ami, avait dit le roi, je veux aujourd’hui soyer fait chevalier par vos mains, parce que celui qui a combattu à pied et à cheval, entre tous les autres, est tenu et réputé le plus digne chevalier ».

Le futur chevalier jurait publiquement fidélité. Il prenait cet engagement en posant ses mains sur les évangiles et en reprenant longuement les stipulations de cette promesse qui se résume, au bout du compte dans une phrase que l’on trouve dans le Pontifical de l’évêque Guillaume Durand « soit un chevalier pacifique, vaillant, loyal et dévoué à Dieu. Envers lui-même, le chevalier n’avait qu’une obligation, mais des plus exigeantes : être en toutes circonstances, fidèle envers lui-même, envers les engagements qu’ils avaient consentis librement, envers tout ce qui fait l’honneur d’un homme ».

Venait ensuite la bénédiction de l’épée et l’exposition de celle-ci sur un autel. L’écuyer récitait quelques prières du ton de celle très belle que l’on trouve encore dans le cérémonial de Guillaume Durand :

« Seigneur très Saint, Père tout puissant, toi qui a permis sur terre l’emploi du glaive pour réprimer la malice des méchants et défendre la justice, qui pour la protection du peuple, a voulu constituer l’ordre de chevalerie, fais en disposant son cœur au bien, que ton serviteur que voici n’use jamais de cette épée pour léser injustement personne, mais qu’il s’en serve toujours pour défendre la justice et la droit ».
Le sens de cette bénédiction et de cette exposition est évident : le chevalier n’a le droit d’user de son arme que pour faire œuvre de chrétien.

La remise de l’épée composait l’essentiel du rituel des plus anciennes entrées en chevalerie. Nous devons aussi constater, la perte de cette qualité chevaleresque qui était prévue par le code non écrit de la chevalerie. Cette déchéance était le lot du chevalier qui avait renoncé à ses engagements.

L’homme qui avait manqué aux lois de cette fraternité, se voyait le plus simplement retirer son épée, ce qui l’excluait automatiquement.

Par contre, un chevalier considéré par ses pairs comme une traite, un félon, gardait toute sa qualité chez l’adversaire.

Le légendaire Ganelon, s’il avait su échapper à la vengeance de Charlemagne, aurait toujours été considéré comme preux et loyal.

Cette épée était donc le signe du chevalier. La lui ôter le ramenait au rang commun. Encore que ce désarmement se faisait selon un cérémonial au cours duquel l’arme était brisée (comme l’était plus récemment l’épée d’un officier dégradé).

Au 18ème siècle, la mauvaise conduite de Philippe EGALITE, alors Grand Maître de la maçonnerie en France, a conduit les Maçons à briser son épée en Loge. L’épée est si personnelle au chevalier que lorsque la mort est proche, il ne peut concevoir quelle tombe aux mains de ses ennemis.

Dans les traditions chrétiennes, ce sont des armes individualisées portant un nom. La littérature chevaleresque nous fait connaître « Joyeuse » l’épée de Charlemagne, « Durandal » celle de Roland, « Hauteclaire », celle d’Olivier, « Balissarde » celle de Renaud de Montauban et enfin « Escalibur » celle du roi Arthur.

Dans la Chanson de Roland, le neveu de Charlemagne sentant qu’il va mourir, tente de briser son épée :

« De son épée, sur une pierre brune,
Dix fois il frappe avec rage et douleur
L’acier en grince, il n’a brisure aucune.
Sainte Marie, aidez-moi, dis le comte.
Ah ! Durandal si bonne, quel mécompte
Je vais mourir, plus n’ai besoin de vous.

Plus loin,

Il frappe encore le perron de sardoine
L’acier encore grince, sans se briser,
Lorsque Roland voit qu’il a cet essoine,
Il plaint l’épée qu’il ne peut ébrécher :

Ah ! Durandal, que tu es blanche et belle !
Comme ta lame au soleil étincelle !

Pour cette épée j’ai pesance et douleur :
Plutôt mourir qu’elle aux païens demeure !

Il frappe encore sur une pierre bise,
Dont il abat un énorme quartier
L’épée toujours grince mais ne se brise
Et vers le ciel a rebondi l’acier.
Très doucement renouvelle sa plainte :
Ah Durandal, que tu es belle et sainte…
Sur toi n’ont droit païens à l’âme vile ;
De chrétiens seuls devez être servie ».

C’est un véritable regret funèbre que par trois fois Roland adresse à son épée. Ces chansons de geste nous indiquent l’attachement du chevalier pour son arme. Il lui attribut une valeur surnaturelle. Mais l’épée la plus extraordinaire n’est d’aucune utilité pour celui qui n’est pas digne de s’en servir.

Dans la quête du Graal, nous voyons que c’est grâce à la pureté de son âme que le jeune Arthur parvient à retirer Escalibur du rocher. Cette épée fabuleuse ne peut être utilisée que par un chevalier au coeur pur. D’ailleurs, lorsque le royaume s’effondrera, Escalibur sera brisée et disparaîtra dans le lac. Plantée dans le roc, elle représente la Parole, mais aussi la conscience enfermée dans la matière. De même, le nouvel apprenti qui frappe sur la pierre brute sa première batterie, produit par les trois coups cette résonance nécessaire au réveil de la Parole présente à l’intérieur de la masse inerte. Pour les croisés et principalement pour les Templiers, elle représente la croix de lumière, elle est même un fragment de cette croix. Bien que n’étant plus Ordres militaire, la survivance des Ordres Chevaleresques jusqu’au 18ème siècle, va perpétuer le port de l’épée.

Les Maçons venaient en Loge habillés comme ils l’étaient dans la vie civile et les gentilshommes ou les militaires y venaient tout naturellement avec leur épée. L’Abbé Pérrau, auteur du « secret des Francs-maçons en 1742, observe Que l’on soit gentilhomme ou non, on est toujours annoncé pour tel chez les Francs-maçons : la qualité de Frères qu’ils se donnent entre eux, les met tous de niveau pour la condition ».

Comme tous les outils et objet dans la Loge l’épée va devenir elle aussi spéculative. Si elle symbolise avant tout le combat intérieur de celui qui la porte, elle marque à présent l’égalité maçonnique entre tous les Frères.

Dans la plupart des rites que nous pratiquons, le Vénérable Maître a une épée qui évoque à l’Orient la Lumière et la Connaissance. Cette épée lui est nécessaire pour ouvrir les travaux et consacrer les nouveaux reçus.

Il y a aussi le couvreur, à l’occident, gardien au seuil de la révélation. Ces deux épées sont à l’image des Chérubins gardiens du chemin qui mène à l’Arbre de Vie. Mais c’est dans le Rite Français et dans le Rite Ecossais Rectifié, traditionnellement d’essence Chrétienne, que l’on continue d’observer le port de l’épée. Ce rituel particulier impose un maniement de l’épée lui conférant, à tout moment, soit une valeur de protection ou bien spirituelle.

Chaque Frère tient une épée : c’est certainement une survivance de l’état militaire, mais il est permis de penser que cela annonce au Maçon la perspective qu’il va devenir chevalier. Ainsi comme le chevalier, le Maçon à son épée personnelle qui est garante de son attachement à la justice et à sa religion.

J’aimerai pour clôturer vous parler également de l’épée des Académiciens. Il est évident que cette épée, fruit de l’imagination des plus grands orfèvres qui se préoccupent d’en faire une arme symbolique, rappelle dans les moindres détails le caractère personnel de celui qui va la porter.

Tout point particulier est traduit sur cet objet en devinette évoquant le parcours de l’élu. Cela ne vous ne fait pas penser aux armes du chevalier, blason chantant ses qualités ou son épopée ?

Pour ce qui concerne la Franc-maçonnerie et pour terminer sur ce sujet, il est intéressant de constater que le recours à la tradition prend une forme chevaleresque, plutôt qu’une forme sacerdotale ou artisanale.

Cela est du certainement au caractère particulier de la Maçonnerie Française, qui dès le début, a su faire ressortir les principes moraux du christianisme originel, véhiculés par cette Chevalerie Spirituelle.

J’ai dit

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