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L'Alchimie, une autre voie initiatique

L'alchimie : il suffit de prononcer ce mot ou de l'entendre, pour que des images aussitôt nous viennent à l'esprit...de vieux savants vêtus de sombres pelisses, oeuvrant devant des alambics et des cornues, dans lesquels s'agitent des homoncules sous l'action du feu infernal qui illumine l'athanor. Des savants, des magiciens en quête de l’oeuvre suprême, pierre philosophale, transmutation du vil métal en or le plus pur, obtention de l'élixir de longue vie. Des grimoires couverts de paroles sibyllines, ornés de gravures tout aussi étranges, fantasmagoriques et ininterprétables.

Si donc ce mot continue à stimuler notre imagination, si le symbolisme qui transparaît dans tous les degrés de notre Rite emprunte plus d'un vocable et plus d'une quête initiatique à l'alchimie, qu'en est-il de nos jours de cette tradition ancestrale ? Pouvons nous toujours nous réclamer des adeptes des fourneaux ou de la voie humide ? Que peut nous apporter dans notre quête de perfectionnement le corpus pratique et spirituel de cet Art Royal ainsi que la plupart le dénommait ?

L'initié que nous sommes tous, ou que du moins nous désirerions être vraiment, est confronté depuis le jour de son initiation à la symbolique de la construction du Temple, cette dernière débutant pour tout apprenti par le dégrossissage et la taille de sa pierre brute en pierre cubique. S'il veut en parallèle s'ouvrir а l'alchimie, l'initié va devoir penser différemment, une nouvelle fois se départir de tout ce qu'il a appris, aussi bien dans les études le plus souvent rationnelles qu'il aura suivies, que dans les premiers temps de son parcours maçonnique. Il lui faut en effet prendre la voie parallèle de l'hermétisme, celle du célèbre Hermès le trismégiste, cette voie qui lui permettra de libérer son esprit des schémas de pensée rationnels pour accéder aux sphères supérieures de la spiritualité, ces sphères où il pourra enfin exprimer la plénitude de ses potentialités jusqu'alors enfouies sous les strates de ses savoirs profanes et d'une pensée strictement rationnelle. C 'est d'ailleurs en cela que l'alchimie est une science proche d'un art, celui de la poésie. Et, de même que la poésie est un cheminement sensible et intellectuel permettant d'instaurer une unité de pensée et de ressenti entre le poète et son lecteur, l'alchimie permet à son adepte de retrouver sa nature exacte, sa nature la plus pure, et pour ce faire lui fait prendre pleinement conscience de l'unité de l'homme et du cosmos.

Ainsi doivent être comprises les paroles de la Table d’Émeraude « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », etc, etc... Et oui, mes F\ F\, l'alchimie avant d'être une simple spagyrie, autrement dit une suite de recettes permettant de transformer le plomb en or, oui l'alchimie est une école de pensée universelle, une voie de méditation, un chemin d'éveil.

Elle agit sur le corps et l'âme, pour les dissocier autant que les réunir, sur l'esprit et la matière, insufflant l'un dans l'autre et vivifiant l'autre par l'une, sur l'homme et l'Univers, chacun d'eux prenant possession de l'autre pour ne faire plus qu'un.

Mais en fait, mais, au fond, qu'est ce que l'alchimie ? Et qui étaient (ou sont?) les alchimistes.

Le seul chimiste moderne à s'être intéressé à ce noble art est Marcellin Berthelot, qui voyait en elle une chimie primitive des temps où Lavoisier n'avait pas encore établi les notions de corps simples, une chimie partie en quête de transmutation des métaux et de distillation de l'élixir philosophal.

Jung, passionné d'alchimie au point d'avoir rédigé des ouvrages basés sur l'étude de centaines de textes alchimiques, la conçoit comme une philosophie hermétique, une gnose essentiellement chrétienne réservée à un petit cénacle d'initiés. Pour Vinceslas de Moravie, célèbre alchimiste du XVIII siècle, c'est « l'art qui, aimant la perfection, se donne pour but de purifier la matière en imitant la nature ». Le plus célèbre des alchimistes contemporains, Fulcanelli, la définit comme « la recherche et l'éveil de la vie secrètement assoupie sous l'épaisse enveloppe de l'être et la rude écorce des choses » Ainsi, pour lui, aussi bien dans le plan matériel que spirituel, l'alchimie est un processus de purification permanente qui doit conduire à la perfection ultime... Tiens, tiens, oserais-je me permettre, un sourire au coin des lèvres... Voilà donc sans doute la pierre d'angle de cette science : séparer le pur et l'impur, séparer les imperfections du parfait... Certes, cela est bien beau diront la plupart d'entre vous... Mais où, comment et pourquoi rétorqueront les plus malicieux, pour ne pas dire les plus coquins...

L'alchimie, est en fait une science qui regroupe trois voies distinctes de recherche et d'acquisition de cette perfection, ce regroupement étant permis par l'existence d'une conception commune de l'ordre du monde, des lois qui le régissent et l'animent, de la place de l'homme au sein de celui-ci, et par l'usage d'un corpus de symboles et de vocables identiques. Ces trois voies sont donc :

  • La voie sèche, ou Art du Feu : c'est celle qui est la plus connue, celle qui titille l'imagination des curieux depuis des siècles. Tout à la fois physique, chimie, galénique et médecine, elle cherche à transmuter par dissolution, coagulation sous l'action du feu au sein de l'athanor, la matière en une matière plus noble, pierre philosophale ou élixir de longue vie.
  • La voie magique, au sens d'une magie naturelle, telle cette magie que le créateur manifesta au commencement des temps, qui n'utilise ni fourneau ni rien d'autre que le propre feu intérieur de l'adepte dont il a hérité de la Nature et donc du Créateur lui même. Elle est souvent appelée voie humide.
  • La voie spéculative ou gnostique, ou voie de l'Amour, celle qui vise à la perfection de l’Être. Celle qu'enseigna et pratiqua Jâbir Ibn Hayyan al Sufi, plus connu sous son nom latinisé de Geber.

Outre les quelques noms déjà cités, qui étaient donc ces alchimistes qui nous ont laissé pour beaucoup une somme monumentale d'ouvrages dont l'étude et la compréhension ont mis à rude épreuve les nerfs des lecteurs jusqu'à nos jours, tant par le caractère profondément ésotérique que mystérieux voire indéchiffrable de ceux lа, que par le fait qu'ils invitaient ces derniers à extraire eux-même le pur de l'impur. « je déclare ici qu'en cette somme je n'ai pas enseigné notre science de suite, mais dispensée ça et lа en divers chapitres, de façon à ce que les méchants ne puissent l'apprendre aussi facilement que les gens de bien ».

Il faut distinguer parmi les adeptes du grand oeuvre, les « clairvoyants », tel Raymond Lulle, Geber, Basile Valentin, ce sont ceux partis en quête de la Pierre philosophale mystique, celle obtenue au terme de cette fameuse quкte plus spirituelle et gnostique que matérielle. Puis viennent les maîtres des fourneaux, cornues et athanor, tels Isaac Newton, eh oui, ou Nicolas Flamel qui fut, dit on, à la tête d'une fortune en or si considérable que le roi de France en tomba jaloux maladivement.

Tout aussi mystérieux qu'intéressants, furent les adeptes des arts précurseurs de nos chimies pharmaceutiques modernes, s'intéressant aux végétaux, les distillant, triturant, transformant pour préparer si ce n'est l'élixir de longue vie, tout du moins tant de remèdes qui garnissent encore de nos jours les rayonnages des apothicaires. Le plus connu d'entre eux, Paracelse, est le lointain ancêtre du fondateur de l'homéopathie, Samuel Hahnemann. On leur doit des termes comme élixir, alcool, esprit de vin, etc etc.

Enfin, nous distinguerons les compilateurs, les interprètes de la gnose hermétique, souvent médecins et érudits, chimistes aussi bien qu'architectes et même francs maçons...souvent adeptes des siècles plus récents, c'est parmi eux que l'on trouve Laigneau, Fulcanelli et encore plus près de nous Eugène Canseliet.

Mais, si tous semblent avoir suivi des voies très différentes, en fonction de leur préoccupation essentielle, tous font référence à la même tradition philosophique qui constitue le corpus alchimique traditionnel dont je vais maintenant vous parler.

Depuis les alchimistes de l’Égypte des Pharaons, les fondements de la pensée alchimique n'ont pas réellement varié, cette science possédant sa propre conception du monde, de la place de l'Homme dans l'Univers, de ses rapports avec celui-ci. Avant d'être une technique et une science physico-chimique, l'alchimie est une métaphysique, une philosophie et une morale.

Je vais donc tâcher, et ce n'est pas chose aisée, de vous expliciter et vous faire part des principes essentiels qui constituent le thésaurus alchimique, ce corpus auquel tous les adeptes à travers les siècles et sur toute la surface de la terre font allégeance, quels que soient le sens et la forme de leurs méthodes de travail et de leurs recherches personnelles. Sans trahir de secret, sept est le premier nombre de la perfection...il n'est donc pas étonnant que les principes fondamentaux de l'Art Royal soient au nombre de sept.

1. L’Alchimie est plus qu'une somme de savoirs, c'est une Connaissance.

D'ailleurs, les adeptes majeurs parlent même de La Connaissance. Connaître, étymologiquement, c'est naître avec, c'est être avant tout l'objet connu. Connaître un être ou une chose, consiste à s'identifier intérieurement avec lui ou elle pour la posséder intégralement.

Et, de fait, on ne peut connaître sincèrement et profondément que soi même... La doctrine alchimique de la connaissance rejoint ainsi la métaphysique, prônant que l'homme contient en lui tout ce que l'univers contient. L'homme est ainsi aussi bien matériel que spirituel, aussi bien humain que divin, aussi bien astral que terrestre. « Ars totum requirit hominem », l'Art requiert l'homme tout entier !

2 Le monde est un ordre

Peu importe ses causes, son origine, qu'il aie une finalité ou pas, le monde existe et c'est un ordre !

Et ce monde, ordonné et ordonnateur, est une émanation de l'être divin, de l'être suprême, de celui que tous parmi vous auront reconnu, le GADLU. Et c'est lui qui, étant l'âme du monde, l'ordonne.

Chacun de nous possède ainsi en lui ce germe, cette étincelle provenant du divin, ce feu intérieur dont nous sommes partis en quête. Hollandus, alchimiste du XV siècle affirmait ainsi « il y a deux sortes d'être dans chaque chose : l'un est périssable, sujet à déchéance, corruptible et combustible, l'autre en revanche est éternel et impérissable, comme le ciel divin est indestructible ».

3. Sous la multiplicité des apparences, il y a une unité du monde.

De par le fait que le monde est un ordre, que le divin circule en toute chose et en tout être, il devient évident que le monde est UN. Cette unité se manifeste aussi bien dans l'esprit, esprit humain participant d'un esprit divin baignant l'univers, que dans la matière. Elle s'exprime au niveau de la Nature qui ne peut être rabaissée à un simple système régi par des lois, au niveau de notre corps qui n'est pas non plus un simple amalgame de sous unités régi par des lois lui aussi. La Nature est une force vitale, mystique, magique, qui sans cesse, crée, produit, reproduit, transforme, transmet par delà l'espace et par delà les générations. La Nature est constituée du microcosme qu'est l'Homme et du macrocosme lui même formé des règnes minéraux, végétaux et animaux.

Ainsi un adepte a-t-il pu dire « Lumière et ténèbres, forme et matière, mâle et femelle, lune et soleil sont une même chose. Il en est de même pour le feu de l'Univers, l'archée du monde, l'esprit du monde et l'esprit de la nature. Tous sont une même chose ».

4. Il existe une Materia Prima qui engendre l'unité du monde.

L'idée de « matière première » est fondamentale pour les adeptes.

« La matière première se trouve partout, remplit tout et multiplie tout, de quelque nom que l'on puisse l'appeler, soit plomb, sel, arsenic, or, c'est toujours la même chose. La Sainte Écriture ( sic : la genèse), appelle matière première tantôt une terre vague et stérile, et tantôt
l'eau » ainsi parlait le Chevalier Inconnu, un des adeptes ayant laissé une oeuvre intelligible au commun des mortels.

Cette matière premiиre constitue les principes principiants ou principes premiers, qui sont le Monde ou ciel archétypique ainsi nommé par les adeptes.

Pour les adeptes occidentaux, Dieu a créé toutes choses de la matière premiére. La Nature, à son tour, crée et multiplie les choses de la seconde matière, celle ci étant connue des philosophes comme aimaient à s'appeler les alchimistes. Et elle prend alors une multiplicité de formes, et s'exprime essentiellement sous la forme de trois principes qui divisent chaque être et chaque chose.

Ces principes ternaires, principes principiés, sont le soufre ou esprit, le mercure ou eau et le sel ou corps, réunis pour former le deuxième monde ou ciel astral. Elle les divise également en ses quatre éléments ou substances fixes, terre, eau, air et feu associés à leur quatre qualités, chaud, sec, humide et froid.

Pour résumer et tenter de simplifier, mes Frères, la Materia prima est une seule chose, triple en essence, unique de principe et quadrangulaire de substances et de qualités.

5. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.

L'unité du cosmos s'exprime également pleinement dans la correspondance existant entre le microcosme humain et le macrocosme de la Nature.

Le premier homme, créé des quatre éléments, l'eau, la glaise, le souffle et le feu divin, est un microcosme, véritable abrégé du macrocosme constitué aussi de ces quatre éléments, et depuis lors il vit en harmonie avec la Nature car éprouvant inconsciemment des affinités avec les éléments et les fruits de ceux ci. Mais si tous les êtres et choses qui constituent le monde sont doubles pour les adeptes, l'homme lui est triple. Il est en effet constitué d'un corps grossier ou matériel et d'une âme vitale, et par ceux-ci il appartient à la Nature. Mais il est constitué aussi d'un esprit, celui-ci le faisant participer à la divinité.

6. L'homme est le centre du monde.

L'étincelle de divin qui palpite en chaque être humain place l'Homme au centre du monde. Selon la Génèse, Dieu créa l'homme à son image et lui donna ainsi une minuscule parcelle de l'Esprit. Mais, ayant choisi de le constituer à partir des quatre éléments, il créa l'homme également à l'image du monde.

Alors, comme a pu le dire Basile Valentin « tout ce qui est compris depuis la dernière sphère du ciel, sans aucune exception, visible ou invisible, jusqu'au centre de la terre, a été créé pour l'utilité de l'homme ».

7. Il faut séparer le pur et l'impur pour tendre vers la Perfection.

Séparer, purifier, reconstituer, toute l'alchimie est finalement exprimée dans ces trois opérations.

A l'origine, quand le Créateur a séparé le haut du bas, l'Unité créée et créante était la perfection absolue.

Depuis lors, persiste cette perfection absolue en tout être et toute chose, et en l'Homme. Le travail consiste à la retrouver. Il n'existe en effet aucune opposition si ce n'est en apparence, entre la matière et l'esprit en ce qui concerne la Perfection. Car l'Esprit est la perfection en soi. L'alchimiste qui comprend bien l'oeuvre et son but, doit rechercher l'esprit en toute matière, minérale, animale ou végétale, mais surtout en lui même.

Voila enfin le but du Grand OEuvre : séparer le pur de l'impur, l'extraire de toute chose et de tout être. Il consiste en une délivrance mutuelle de l'esprit par la matière et de la matière par l'esprit. Ou comme a pu le dire Rabelais, extraire en toute chose la substantifique moelle qui est la perfection а laquelle tout humain digne de ce nom aspire.

Il devient alors facile (pardon pour ce terme, mes Frères), de comprendre que le travail chimique sur la matière minérale, végétale ou animale, et le travail sur l'homme sont semblables voire identiques, requièrent des techniques semblables, font usage d'un vocabulaire commun.

Tout adepte ayant suffisamment avancé sur son chemin de perfectionnement personnel doit prendre conscience qu'il ne cherche qu'à imiter la Nature. La mort, n'est elle pas une simple séparation, une simple extraction du pur, une libération de l'esprit pour permettre а ce dernier de rejoindre l'esprit universel, donc de retourner à la perfection ? La simple graine qui doit pourrir dans l'humus pour germer et recommencer le cycle de la vie n'est elle pas à l'image du processus alchimique de l’oeuvre au noir qui précède l’oeuvre au blanc puis au rouge ? Et, in fine, la Création du monde, ainsi qu'ont pu aussi le dire les Kabbalistes, n'est elle pas une séparation ? « L’Éternel ouvrit le livre de la Nature et sépara la lumière des ténèbres, puis il sépara les eaux qui étaient en dessous ».

Plus d'un parmi vous, mes Frères, a lu ou entendu la maxime alchimique « Solve et Coagula », dissous et fixe, sépare et réunis !

Voila, mes Frères, réaliser le Grand OEuvre, c'est faire apparaître au grand jour le divin qui est en l'homme. C'est unifier son être en le délivrant de ses impuretés, c'est réaliser son harmonie pour qu'il vibre а l'unisson de l'Univers, c'est faire son salut en ce monde, puisque la mort le fera dans l'au delà. Cette délivrance de la parcelle de divin en nous est comme une nouvelle naissance, comme l'initium, le début du règne de l'homme sur lui même et sur la nature. L'homme tout puissant alors à même de parachever par la pratique de l'alchimie l’oeuvre de la Nature et de recomposer l’oeuvre du créateur, en toute humilité mais en toute puissance. Voila donc mes Frères, pourquoi l'alchimie est une morale !

Ainsi donc est venu le moment de conclure cette trop longue planche qui a du, de plus, vous laisser sur votre faim...point de secret révélé, point de mystère élucidé, point d'indications pour déchiffrer le Grand Albert qui trône sur les étagères de vos bibliothèques d'érudits francs maçons. L'alchimie, de nos jours, n'est elle plus qu'un simple sujet d'étude pour doctorants en mal d'ésotérisme ? N'est elle plus qu'un vague souvenir, une simple réminiscence au sein de nos rituels dans ce qu'ils ont de plus poussiéreux ? Et pourtant, depuis Albert, non l'adepte, mais le père de la théorie de la relativité, nous savons que les métaux ne sont pas des corps simples. La physique nucléaire et quantique les a décomposé en une materia prima portant les noms poétiques de leptons, hadrons, bosons, quarks et autres perlimpinpin, vérifiant ainsi la théorie alchimique de l'unité de la matière. En outre, la physique est partie en quête de la découverte de la Force universelle qui relit tous ces éléments, celle-ci n'est-elle pas, mes Frères, oh combien proche de la notion d'Esprit qui baigne toute chose et tout être ?

Alors physicien ou franc maзon, homme de recherche spirituelle ou homme de recherche scientifique, rappelons nous les mots d'Eugéne Canseliet « Ora, lege, lege, lege, relege, labora inveniesque et oculatus abis »...Prie, lis, lis, lis et relis, travaille et tu trouveras. Tu t'en iras clairvoyant !

V\ M\  et vous tous mes F\, j'ai dit et demande votre pardon pour un travail aussi long et sans doute aussi ardu à suivre.


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