GLDF Loge : NP 02/06/2009
L’étoile flamboyante
Porte de la Lumière, origine et terme du chemin

L’Etoile Flamboyante du Compagnon Maçon est un symbole parmis tout ceux qui nous entourent. Mais c’est un symbole complexe, car composé lui-même de plusieurs symboles.

A développer ce thème, il m’a été donné de voir qu’un symbole permet d’approcher diverses significations et ainsi d’avancer sur mon chemin.
Bien sur, même si il y a des interprétations reconnues, chacun y va de son interprétation même si celles-ci semblent n’avoir quelquefois que peu de rapport avec les canons de l’obédience ou des Maîtres à penser. J’ai même lu que « …presque jusqu’à ce jour rien d’intéressant n’a été dit sur l’étoile flamboyante… » 
J’approuve cet auteur car je pense qu’il faut beaucoup de temps pour faire le tour du sujet.

L’Etoile flamboyante peut se décomposer en trois parties :
   -        L’étoile par elle même,
  -         La flamboyance,
  -         Ce que l’on peut inclure dans cette étoile :
    o      L’homme de Vitruve
    o     Le lettre G et ses significations.

Mais avant d’évoquer cette étoile, pour laquelle un grand nombre d’éléments entrent en ligne de compte : complexité de sa forme, de sa construction, de sa position dans la Loge, du degré  auquel elle est visible, de sa flamboyance et enfin de la lettre qu’elle contient, faisons un peu d’historique.

L’Etoile dans la durée
Les hommes dans la préhistoire, craintifs de tout, à la recherche d’un réconfort dans leur inconfort, trouvaient la sérénité dans la contemplation du seul univers visible à leurs yeux : Le ciel avec le soleil, la lune et les étoiles.
C’est sans doute dans cette contemplation qu’ils puisaient la force nécessaire à leur vie difficile et cela nous a été transmis.

De nombreuses civilisations la vénèrent :
   -         En Chine, chaque vivant possède son étoile qu’il retrouvera après sa mort.
   -         Chez les Aztèques, les étoiles sont l’âme des héros morts au combat.
   -         En Afrique, elles sont le double céleste de toutes les espèces crées.
Aujourd’hui dans les églises chrétiennes, les étoiles ont des significations sacrées. Elles représentent entre autres, les âmes qui vont s’incarner, mais aussi celles passées, selon le langage Maçon, à l’orient éternel.
C’est aussi la direction vers l’au delà, chemin vers cet orient éternel.

La forme des étoiles
Si l’on regarde le ciel, bien malin celui qui peut dire combien une étoile possède de branches.
Tout dépend de la distance de l’étoile observée et le développement de cette planche m’a fait me poser cette question :

Ce point, dans le tracé du VM, « Si on ne le trouve pas, tout est vain ! »  n’est’ il pas  une étoile ? Si lointaine et si petite que l’on ne peut en voir les branches ?

Des étoiles, on en voit avec cinq, six, sept et même neuf banches.
En effet, le cinq, le sept et le neuf sont des nombres clé sur le chemin maçonnique de la connaissances dont l’étoile manifeste le rayonnement.
 
La symbolique de l’Etoile
Chez les Egyptiens certaines dynasties, pas toutes, l’ont utilisée. L’étoile représente alors Isis, déesse du mariage et de la famille mais aussi la déesse Sechat qui incarne la connaissance.
Certains ciels, comme dans la tombe de Ramsès II, en sont recouverts.

Chez les Grecs, l’étoile possédait une valeur médicinale, un pantalpha de vie et de santé.
Dans la Bible, l’apparition d’une étoile conduira les Rois Mages vers l’enfant Jésus.

Dans nos Loges, la Colonne Jakin est gravée d’une étoile à son sommet et le ciel du temple, qui représente la voûte étoilée est centré, pour l’hémisphère nord, sur l’étoile polaire autour de laquelle nous avons organisé notre circumambulation
 
La flamboyance de l’étoile
Dans le rituel de Compagnon, avant que l’apprenti n’entre en Loge au second degré, le VM pose la question au second surveillant :
   -         Etes-vous Compagnon ?
         Et le Second surveillant de répondre :
   -         J’ai vu l’étoile flamboyante.
L’Apprenti lui, ne découvrira cette étoile qu’a l’issue de son cinquième voyage :
« Gloire au travail ».
A ce moment, cette étoile lui apparaîtra dans toute sa majesté, comme un cinquième élément visible à l’orient :
Le soleil, La lune, le triangle le VM et l’étoile flamboyante.

J’ai quand même noté qu’en Loge cette représentation était souvent kitch et on pourrait penser, peu en rapport avec la flamboyante signification que l’on souhaite donner à ce symbole.
Mais il n’en est rien, tout est dan l’interprétation que l’on fait de sa flamboyance.

Olivier DOIGNON dit : «  L’étoile flamboie parce que le Compagnon l’a rendue flamboyante. Il a donné une âme à cet objet apparemment dénué de toute sensibilité. Il a transformé l’objet géométrique en symbole. Ainsi, la pratique de l’art du trait suscite-elle un double éveil : éveil de l’étoile flamboyante et éveil de l’être capable de la contempler. »

C’est d’ailleurs un nouveau symbole dans la vision de l’apprenti élevé au grade de Compagnon.

Alors, faut’il s’être élevé un peu en Maçonnerie pour voir cette étoile flamboyante ? Je le pense et j’en suis même persuadé. Je m’explique :
Partit de l’obscurité du cabinet de réflexion, j’ai, à l’initiation reçu la lumière.
J’ai vu ces trois piliers qui, sans chapiteau, sont censés monter jusqu’au ciel avec ces bougies représentant dèja des étoiles.

Ce n’est qu’après quelques années, après m’être habitué à l’obscurité de l’univers de la Loge, qu’il me sera donné de voir, au loin, l’étoile flamboyante. Car toutes les étoiles que nous pouvons voir, dans notre univers d’homme sont fort éloignées et souvent peu visibles.

Il me semble alors, nouveau Compagnon, de la finalité perceptible du voyage :
Découvrir ce flamboiement, qui devrait émaner de mon intérieur et devrait ressembler à cette étoile et me faire, moi aussi, rayonner.
Je dois alors prendre conscience de l’évolution accomplie depuis mon initiation et, nouveau but, aller vers encore plus d’intelligence, d’amour et de fraternité : Plus de rayonnement.

Cette évolution et cette harmonie acquise par le compagnon seront symboliquement visibles sur l’autel des serments avec le compas croisant l’équerre.

Ces deux symboles croisés, correspondent à l’équilibre de l’esprit et de la matière.

L’étoile à cinq branches, parfaite dans sa forme représente ce que devrait être le Compagnon : l’harmonie de l’esprit et du comportement auxquels on ajoute le rayonnement. Toutes ces qualités devant s’équilibrer le mieux possible.

Alors nous sommes en présence d’une étoile flamboyante.

La construction de l’étoile
Il existe beaucoup de méthodes pour construire une étoile à cinq branches.
Toutes nécessitent deux outils qui sont donnés au Compagnon au second voyage.
Je  veux parler de la Règle et du Compas.

La première méthode donne une étoile que j’appelle « verticale » :
En partant d’un point, avec le Compas, on trace un cercle dans lequel l’étoile va se placer.
Avec la Règle, on trouvera le milieu du rayon.
A partir ce milieu de rayon, et à l’aide du Compas, il suffira de reporter ce Segment doré sur le tour du cercle pour définir les cinq pointes de l’étoile que l’on peut alors tracer d’un trait. 

Une seconde méthode donne une étoile que j’appelle « horizontale » :
Partant du carré long argenté, symbole de notre Loge « La trait ». On passe au carré long doré.
De cette figure, on peut tracer une étoile à cinq branches horizontale cette fois.

Pour tous ces tracés, on utilise la proportion dorée ou nombre d’or.

Le contenu de l’étoile flamboyante
La troisième partie du symbole de l’étoile flamboyante réside dans son contenu.
Cette étoile flamboyante du Compagnon, est représentée avec, en son centre, la lettre « G ».

En ce domaine, les significations de cette lettre « G » abondent et il n’a pas été demandé au Compagnon d’opter pour telle (sans s ) ou telles ( avec un s ) interprétations.

Avant de vous donner la signification que je préfère et qui m’inspire, je vais citer les principales. Certains trouverons cette énumération livresque, mais elle est nécessaire.

G comme GADLU
Dans le manuel du Compagnon il est dit que le G, sur le plan spirituel évoque « Le Grand Architecte de l’Univers » en tant que centre de tout rayonnement ou encore « celui qui a été élevé jusqu’au faîte du Temple ».
Il est dit aussi dans ce manuel, que cette lettre peut recevoir diverses interprétations.
Il attire l’attention sur le véritable sens des mots définis ci-après, dans lequel il conviendra de rechercher « l’esprit caché sous la lettre »

G comme Gamma
C’est le symbole des deux chemins que l’on peut tracer au centre de l’étoile : La voie longue, que je préfére et la voie brève.
L’interprétation du Gamma est une autre histoire

G comme Génération
A l’instar du temple élevé à partir des pierres vivantes que nous sommes, le maçon doit se construire et se Générer un mental susceptible de déchiffrer l’énigme de la vie et les mystères des Générations. Symbole de la transmission initiatique vers de nouveaux Frères.

G comme Génie
L’homme de Génie est celui qui maîtrise l’art de construire et de rassembler, celui qui relie au moyen d’un pont les deux rives d’un fleuve entre microcosme et macrocosme, entre lui-même et l’univers, entre ses impulsions immédiates et son projet de vie. Entre lui et les autres, maçons ou non.

G comme Géométrie
La géométrie est l’art sacré de la construction universelle. Elle est chère à notre Loge et a comme objet, pour citer Platon : « La Connaissance de ce qui est toujours et non de ce qui naît et périt ». Il ajoute : « Que nul n’entre sous mon toit, s’il n’est géomètre » et Pascal de surenchérir « Nous voyons par expérience qu’entre esprits égaux et toutes choses pareilles, celui qui a de la géométrie l’emporte et acquiert une vigueur toute nouvelle ».

G comme Gloire au travail
Cette interprétation pourrait aussi représenter ce principe et il n’est pas interdit d’y penser.

G comme Gnose
C’est la connaissance sacrée à laquelle s’ajoute la sagesse. Cette connaissance s’acquiert par le travail que le Compagnon doit glorifier et continuer, à la poursuite de sa recherche personnelle du sens caché des symboles.
Le Compagnon doit se dépouiller pour se découvrir soi-même, retrouver sa réalité première, son centre, celui de l’étoile, invisible, ordonnant et structurant ces cinq branches.

G comme God
Mot anglais pour Dieu, c’est sans doute le mieux adapté à la signification de la lettre G contenue dans l’étoile flamboyante eu égard à la provenance du REAA.
Cette interprétation se rapproche du GADLU ;

G comme Grammaire
C’est le premier des arts libéraux du trivium.
C’est un art dont on ne peut se passer pour consigner et transmettre les connaissance acquises.

G comme Gravitation
Sans la gravitation, les pierres vivantes que nous sommes ne manqueraient pas de se disjoindre. C’est le symbole de l’unité fraternelle, de la Fraternité.
L’outil de la gravitation, le fil a plomb, nous confère le sens de la profondeur, qui nous permet de nous élever et ainsi de dépasser notre ego.

Mon choix
Toutes ces significations possibles m’ont donné matière à beaucoup de réflexion.
Gamma, Génération, Génie, Géométrie, Gnose, Grammaire, Gravitation, ne sont que des outils que le  divin met à notre disposition.
Après avoir étudié les diverses interprétations du G, je n’en retiendrais qu’une seule :
Le GADLU
Ce principe supérieur qui fait que nous travaillons à nous améliorer, à essayer de briller, à essayer de flamboyer.       
Le GADLU, c’est ce que l’on pense être le créateur des mondes. Esprit de toutes les lumières. Celui qui possède la connaissance universelle.
A la GLDF, on préfère évoquer ce principe supérieur : Le GADLU plutôt qu’un Dieu, quel qu’il soit. Là, je suis le choix de mon obédience.
C’est ce principe supérieur qui, POUR MOI, flamboie dans l’étoile.

L’universalité de l’étoile
Nous l’avons vu, le symbole de l’étoile est universel.
En Maçonnerie, les cinq voyages du Compagnon m’ont montré l’universalité des connaissances.
L’Etoile flamboyante, c’est notre quintessence, ce qu’il y a de meilleur en nous, ce que nous devinons avec plus ou moins de brillance, que nous ne connaissions pas toujours et que nous devons mettre au jour..
Chacun d’entre nous, en notre intérieur, avons une étoile que nous devons faire flamboyer de mille feux.
Alors : Gloire au Travail
C’est lui, le travail qui nous fera découvrir, avec notre curiosité et notre désir d’apporter aux autres, le sens caché des choses. Tout cela va nous aider à faire flamboyer notre étoile.
Nous serons alors comme l’étoile du berger, un guide pour ceux qui nous entourent.
Le cinquième voyage nous laisse les mains libre pour cela.

En résumé
L’Etoile flamboyante est le Symbole et Cinq le Nombre du Compagnon :
Cinq voyages, Cinq branches, G cinquième consonne de l’alphabet.

C’est aussi les Cinq doigts de la main qui ont permis au Compagnon de manier les outils donnés à l’initiation et ceux qu’il vient de recevoir à son élévation au grade de Compagnon.

Nous sommes des poussières d’étoiles, donc sans le savoir flamboyant.
Il nous faut laisser la parcelle du souffle divin faire flamboyer notre moi en éliminant le reste de la boue de laquelle nous sommes fait pour devenir : Cette étoile flamboyante que nous devrions être.
Jeune, ou depuis quelques temps Compagnon, nous sommes des étoiles flamboyantes en devenir. Nous devons nous rectifier, nous mettre à l’équerre, devenir juste et parfait. Passer de la perpendiculaire au niveau…
Tels sont les objectifs fixés au Compagnons.

Mes FF\, que mon chemin est encore long pour, comme le chante J. Brel : 
«  tenter (…) d’atteindre, l’inaccessible étoile »
Etoile à laquelle il faut pourtant accéder, sachant qu’en initiation aucun but est inaccessible.

J’ai dit V\M\

M\ B\

Compléments non lus en tenue
Remerciements à
   -         Mon V\M\ et mon 1er S\ pour leurs aides précieuses.
   -         Les FF\ :
   o       Qui m’ont remonté le moral après ma dernière planche
   o       Ce passage du Flambeau par F\ F\
   o       M\ T\ pour son aide sympathiquement musclée
   o       J\ M\ et sa prose sur l’Etoile
   o       D\ J\ pour ses idées sur le sujet et son soutien moral
   -         JC Mondet – De la Loge le V\ d’I\ - pour son livre sur le Compagnon.
   -         Jacques Trescasse pour son livre sur l’Etoile Flamboyante

L’étoile à cinq branches inversée
Le pentacle inversé (pointe en bas) est dit maléfique ou diabolique.
On peut y représenter un diable cornu.
Il est à noter que dans la Cathédrale d’Amiens, l’étoile du croisillon nord du transept est représentée à l’envers. On aurait donc pas eu peur à l’époque de mettre Satan bien en évidence dans l’édifice. 
Cette représentation n’étant pas le sujet de cette planche, je ne l’ai pas évoqué.

La Quine
Ce sont des mesures anciennes dont on s’arrange aujourd’hui sans en mesurer le bien fondé.
Je suis cartésien et n’accepte que ce que je peut démontrer.
Je n’ai donc pas retenu la Quine pour ma planche pour les raisons suivantes :

Une quine est une suite de 5 mesures étalonnées sur les dimensions du corps données pour :
COUDEE = PIED + EMPAN
PIED = EMPAN + PALME
EMPAN = PALME + PAUME
J’ai mesuré mes membres et je ne me reconnaît pas dans ces mesures. Démonstration :
Ma Palme est de 14,5 cm et ma Paume de 9 cm donc mon Empan devrait être de 23,5 cm
Or il est de 19,5. Soit un delta de 4 cm ou 16% d’erreur
Mon Empan est de 19,5 cm ma Palme est de 14,5 cm donc mon Pied devrait être de 34 cm
Or il est de 25 cm. Soit un delta de 9 cm ou 36% d’erreur
Mon Pied est de 25,5 cm et mon Empan est de 19,5 cm donc ma Coudée devrait être de 45 cm Or elle est de 44,5. Là, on est à peu près juste.
Mes FF, soit ces mesures sont rocambolesques, soit il y a un F difforme dans la Loge.

L’Homme de Vitruve ou de Vinci
Il en est de même que pour le Quine.
Mon esprit cartésien n’accepte pas cette représentation. Explications :
Pour s’inscrire dans un carré, il est nécessaire que la hauteur du modèle soit égale à la largeur du même modèle bras tendus.
Or, si la hauteur du modèle est fixe, autant la largeur est sujette à caution.
En fonction du degré d’étirement des bras, cette mesure varie de 2 centimètres.
Qu’importe.
Voyons si je suis l’homme de Vitruve :
Ma Hauteur est de 1,62 m
Ma largeur varie selon l’étirement de mes bras de 1,66 m à à 1,68 m
Mes FF, soit ces mesures sont artistiques, soit il y a un F difforme dans la Loge.

L’Equerre et le Compas
Ces deux symboles ne sont pas l’objet de cette planche. Toutefois, on peut penser que c’est éclairé par l’étoile flamboyante que notre esprit finira par dominer.
Au premier degré, le compas se trouve sous l’équerre : L’esprit est sous la matière,
Au second degré que nous, Compagnons venons d’atteindre, une pointe du compas est sur l’équerre : L’esprit commence à dominer la matière.
Il nous faut maintenant faire en sorte que cet esprit la domine complètement le matière.

Construction de l’Etoile
Je n’ai pas abordé ce sujet car une étoile à cinq branches, flamboyante ou non est construite selon le même principe. Pour tout dire, je ne suis pas à l’aise avec un tracé quel qu’il soit.

Etoile Verticale
Partant d’un point origine (O) avec le compas, tracer un cercle.
Puis couper un des rayons horizontaux en deux.
Du milieu de ce rayon (M), partant du point haut du cercle (A), tracer un arc de cercle.
Cet arc de cercle coupe la ligne horizontale en un point H
AH est égal au diamètre divisé par le nombre d’or.
Reporter AH cinq fois sur la circonférence ce qui donne les points : B, C, D et E
On a alors tracé un pentagramme.
Réunir A à C, puis C à E, puis E à B, puis B à D et enfin D à A.
Nous avons alors tracé une étoile à cinq branches « verticale ».

Etoile Horizontale
Partant du bas du carré long argenté ( Logo de notre Loge « Le Trait »), on reporte le petit côté sur l’hypoténuses : Point A.
De l’autre bout de l’hypoténuses, on trace un arc de cercle qui part de A et donne le point B en prolongement du côté haut de carré long argenté.
Du point B, on trace une parallèle au grand côté du carré argenté qui se termine en C.
Nous avons alors défini un carré doré.
Du point B, on trace un arc de cercle dont le rayon est le petit côté haut du carré doré.
Du point C, on trace un arc de cercle dont le rayon est le petit côté bas du carré doré.
Les arcs de cercle se coupent en 1 (extérieur du carré long doré) et 2 (en intérieur)
Les arcs des cercles coupent BC en 3 et 4
Réunir 1, 3 à prolonger au demi cercle, puis réunir 3, B et 2 à prolonger au demi cercle.
Réunir 1, 4 à prolonger au demi cercle, puis réunir 4, C, 2 à prolonger au demi cercle.
Nous avons alors tracé une étoile à cinq branches « horizontale ».
Les Liens vers plus de 30 Travaux sur ce sujet, sont au sommaire du Recueil R104 : L'Etoile Flamboyante et la Lettre G
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