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Plancher… !

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Pour les plus jeunes en loge et peut-être aussi pour ceux qui n’ont pas trop la passion d’écrire, ces quelques lignes pour vous aider à aborder une planche sans paniquer… ! Ne me remerciez pas, c’est ça la fraternité et pas du blabla… !

« Plancher » !

Pourquoi une planche intitulée « Plancher » ?

Tout simplement parce que nos apprentis (et parfois même certains compagnons ou maîtres) ne savent pas forcément comment réaliser une planche attrayante, pertinente, utile, positive, constructive et qui ne se cantonne pas dans la langue de bois, l’angélisme ou l’autosatisfaction béate, tout en n’agressant pas ou en ne mettant pas en porte-à-faux des personnes qui pourraient être présentes dans le Temple.

D’ailleurs, quand je dis « nos apprentis », je suis gentil. Dans cette loge ou dans d’autres, on entend parfois des planches de maîtres qui n’ont pas beaucoup de substance et dont personne ne se souvient un quart d’heure plus tard…

Il y a des gens qui sont capables de vous parler pendant trois quarts d’heure sans que vous ayez rien appris de nouveau après ça et sans même avoir pu percevoir un aspect quelconque de la personnalité de l’orateur. C’est assez frustrant.

En Franc-Maçonnerie, en loge, il existe une tradition particulièrement admirable, c’est le droit de prendre la parole et de s’exprimer en toute quiétude, sans craindre d’être coupé ou interrompu à tout moment par quelque grossier contradicteur, comme c’est trop souvent le cas dans la vie profane. De même, il nous est donné en loge l’occasion de plancher et d’exprimer ainsi tout ce que nous pouvons avoir envie de dire, ce que nous aimons ou pas, nos passions, nos préoccupations, nos craintes, nos aspirations. Parler d’un sujet que nous connaissons bien ou encore de notre profession ou de nos expériences passées ou de notre vie.

C’est très bien de plancher sur quelque passage de la Bible, de faire l’apologie de quelque personnage ou communauté obscur de l’histoire locale ou d’honorer la mémoire d’un grand Franc-Maçon. On peut trouver matière à sa planche dans des livres ou sur internet et recopier ce qui nous intéresse. Certains sont passés maîtres, c’est le cas de le dire, dans l’art de composer une planche en moins d’une demi-heure. Mais il me semble que ce sont toujours des travaux très impersonnels, froids et assez insipides. En plus, certains sujets sont tellement hermétiques et interpellent si peu de monde qu’on se demande si l’orateur n’a pas pris un soin tout particulier à rendre son travail indiscutable et incritiquable. Mais surtout, ceux qui planchent ainsi montrent à quel point ils sont vulnérables et ne veulent pas donner la moindre prise à une critique ou à un jugement de leur travail qu’ils pourraient alors prendre comme une atteinte à leur propre personne.

Personnellement, je pense qu’une planche doit avant tout être un travail très personnel et clairement construit, réfléchi et mijoté à petit feu sur plusieurs semaines voire plusieurs mois et honnêtement documenté.

Parfois, l’orateur devra prendre des chemins qui ne conviendront pas à tout le monde. Mais est-ce véritablement un travers que de tenter d’édicter certaines vérités qui peuvent heurter certaines personnes ? Doit-on plancher pour séduire tout un auditoire avec des propos lénifiants, des mots bien enveloppés et des tournures bien lubrifiées ?

Personnellement, je ne le crois pas.

De toute façon, quoi que vous disiez, il y aura toujours des personnes qui ne seront pas d’accord avec vous et qui prendront ombrage de vos propos. On ne peut jamais satisfaire tout le monde à 100 pour 100, sauf à débiter des phrases alambiquées et incompréhensibles que nul ne se hasardera à critiquer.

Il me semble que plancher doit contenir la volonté de transmettre un savoir, des connaissances, des informations ou des sentiments que l’on veut faire partager à tous. Après tout, il n’y a pas de sujet tabou, du moins ne devrait-il pas y en avoir en Franc-Maçonnerie. Encore faut-il ne pas endormir son auditoire en dix minutes ou ne pas mettre la loge en effervescence.

Maintenant, faut-il plancher en ménageant toutes les susceptibilités, toutes les sensibilités, toutes les appartenances, religions, professions, classes sociales, sexes et autres… ?

Ou bien faut-il livrer le fruit de vos réflexions les plus profondes avec une sincérité absolue et sans tenir compte des réactions épidermiques possibles des uns ou des autres.

Sans doute faudra-t-il trouver un juste milieu. Un équilibre dans lequel votre réflexion et vos émotions passeront sans que, pour autant, certains esprits chagrins se trouvent agacés de vos propos.

Si votre planche est suivie d’un débat houleux, alors il aura intéressé pas mal de personnes. Le débat est constructif. Chacun apporte sa pierre et un éclairage nouveau. Une autre vision que celle de l’orateur. La vraie planche, complète, est bien celle qui est aussi construite par toutes les interventions des frères. Elle devient un vrai travail collectif. C’est une œuvre commune, bâtie dans la sérénité et dans les règles du travail en loge. La parole de chacun est respectée et les idées s’ajoutent aux idées. Un peu de provocation n’est pas toujours à dédaigner. Je dis provocation dans son sens radical : pro (pour) voca/vox (voix) pour inciter la voix, pour inciter au débat.

Le choix d’un sujet

Alors, plancher oui, mais sur quoi ?

Le choix d’un sujet est la première étape de l’élaboration d’une planche.

Après tout, nous avons tous fait des rédactions et des dissertations à l’école… Les possibilités sont multiples. Sujet philosophique ou de société. Sujet maçonnique, symbolique ou rituel. Sujet scientifique ou humain. A éviter dans la mesure du possible, sujet pouvant révéler un certain prosélytisme dogmatique idéologique, politique ou religieux. Le GO s’affirmant adogmatique ne peut cautionner des travaux en loge exaltant à la pratique d’un dogme quelconque. Mais un travail d’étude des religions ne sera pas compris comme exaltant à une religion particulière.

Il est également important de bien intituler son travail. Un planche est parfois annoncée longtemps à l’avance et des frères ou sœurs visiteurs peuvent se déplacer pour l’entendre. Il est donc impératif que le contenu soit bien ce que le titre annonce.

Ecrire… Sur ce point, nous nous trouvons tous un peu inégaux. Certains ont une grande aisance de plume et trouvent du plaisir à composer alors que d’autres vivent cela comme un pensum.

Il faut pourtant bien en passer par là. Disons qu’il n’est pas interdit, si l’on n’est pas sûr de ses qualités rédactionnelles, de soumettre son texte à une personne plus férue en la matière pour conseils ou corrections.

Durée de la planche. Un bonne planche peut durer entre un quart d’heure et une demi-heure. Elle peut aller jusqu’à trois quart d’heure si elle est vraiment passionnante. A vous de voir. Dans tous les cas, ce n’est pas la durée qui la rendra passionnante. Mais une planche trop courte et trop condensée peut laisser l’auditoire sur sa faim.

Le problème est qu’on ne sait pas si l’auditoire trouvera la planche passionnante ou rasoire. En plus, ça peut varier d’une tenue à une autre, en fonction des frères qui sont présents, des visiteurs, du froid, de la chaleur, de la qualité de l’agape qui va suivre, etc…

Disons qu’une planche de vingt ou vingt-cinq minutes, sur un sujet bien choisi, bien rédigée et bien développée, sans être soporifique, peut faire un tabac.

Il ne faut pas négliger l’aspect participatif. Si la planche est suivie de nombreuses prises de parole et d’un débat passionné, c’est une excellente chose.

En effet, les apports des différents intervenants sont parfois aussi enrichissants, sinon plus encore, que la planche elle-même, sans que cela dévalorise pour autant le travail de l’orateur. Bien au contraire.

On demande souvent aux apprentis de faire différents travaux avant celui qui constituera leur planche d’augmentation de salaire au grade de compagnon.

Actuellement, on attend d’eux un travail sur un outil du grade et un autre sur une qualité.

Qu’il s’agisse de ces travaux ou de n’importe quel autre, il est vivement recommandé de demander des conseils ou des informations aux frères maîtres de l’atelier et de consulter la bibliothèque de la loge ou des ouvrages que peuvent détenir certains frères. Mais il ne faut pas non plus tomber dans le travers qui consiste à reproduire in-extenso des textes pêchés à droite ou à gauche. Pas la peine de recopier un article d’une revue quelconque… La planche doit sortir du cœur ou des tripes, rappelons-le. Et accessoirement du cerveau.

Bon, je plaisante, mais il faut aussi savoir détendre un peu l’auditoire, de temps en temps. Planche ne signifie pas forcément sinistrose. Une planche peut très bien être gaie et pleine d’humour. Je me souviens d’une excellente planche entendue dans ma loge mère qui traitait de San-Antonio et de son auteur Frédéric Dard. Etant moi-même un fervent de Frédéric Dard, j’avais beaucoup apprécié.

Bref, sans vouloir faire lourd, je crois aussi qu’une planche doit révéler un peu de la personnalité de l’orateur. On peut traiter de façon très neutre un sujet autant qu’on peut l’aborder de façon très personnelle.

Le traiter de façon personnelle le rendra plus humain, plus chaleureux.

Il me semble que tous les sujets peuvent être rendus passionnants si on possède un peu l’art de la rhétorique. Mais il sera d’autant plus attrayant que l’on percevra au travers des mots la personnalité, l’expérience ou les émotions de l’auteur. Nous ne sommes pas des robots ni des machines à faire des planches. Laissons filtrer un peu de nous-mêmes à travers nos écrits.

Parler de soi et de son expérience est aussi une façon de la faire partager aux autres et de les enrichir de cette façon.

Et, contrairement à ce que certains vieux maîtres affirment parfois, tout à fait à tort, il n’est jamais interdit de parler de soi-même. Parler de soi et de son expérience peut même être une excellente chose. Quel autre sujet connaissons-nous mieux que celui-là ? Et puis, nous nous connaissons si mal les uns les autres…

S’il est de tradition dans les loges de ne pas traiter certains sujets tels que la religion ou la politique, c’est afin d’éviter des débordements, car ces sujets chatouillent pas mal les egos et les orgueils. Mais on peut parfois aborder brièvement et dignement de tels sujets, au cours d’une planche, sans pour autant que la tenue dégénère. L’important, c’est la dose.

Néanmoins, il semblerait normal que dans nos loges on puisse discuter librement de n’importe quoi sans que ce soit la foire d’empoigne, puisque, justement, le travail sur soi du Franc-Maçon doit le préparer à aborder en toute sérénité, avec tact et mesure, n’importe quel débat ou discussion.

Dans notre loge, on semble assez ouvert à tout. Certains de nos frères nous présentent parfois des travaux sur des textes bibliques (Ecclésiaste, Cantique des cantiques, etc…) qui passent très bien et nous enrichissent. Mais ils ne seraient peut-être pas aussi bien acceptés dans certaines loges parisiennes où la laïcité a été érigée en véritable dogme dont la tolérance connaît, malheureusement, certaines limites.

En ce qui concerne le travail sur les sujets ou questions soumises par le GO à l’étude des loges, je les trouve, personnellement, généralement redondants et sans grand intérêt. Plutôt du genre opium du peuple… Certains sujets de société sont cent fois plus passionnants à traiter et à débattre.

En résumé, et pour conclure, je dirai que plancher c’est aborder n’importe quel bon sujet avec des mots choisis, ne pas choquer et ne pas attaquer les personnes.

On peut critiquer les idées mais il faut éviter d’attaquer les personnes.

Ne pas plancher pour séduire, mais pour faire passer vos idées. Eviter la langue de bois à la Jack Lang, le discours stérile et creux ou l’angélisme à la Jean Yanne (Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil…). Les chaînes de télévision nous en abreuvent suffisamment.

Ne pas plancher dans l’urgence. Cela ne peut que donner un travail bâclé. Au contraire, préparez vos planches longtemps à l’avance afin de vous réservez la possibilité de les corriger et enrichir substanciellement, peu à peu.

En cela, les Frères Surveillants ont une certaine responsabilité et ne doivent pas demander aux frères apprentis et compagnons de plancher à la dernière minute.

Faire la différence entre un travail maçonnique et un travail profane.

On peut déjà subdiviser entre la qualité intrinsèque du travail et son contenu. Un travail peut porter sur un sujet profane ou maçonnique et être traité de façon profane ou maçonnique.

En loge, nous pouvons plancher sur des sujets profanes philosophiques ou de société ou sur des sujets maçonniques, tels que le symbolisme, le rituel, la tradition maçonnique ou l’histoire et l’organisation de la Franc-Maçonnerie.

Quelle est donc la différence entre un travail traité de façon profane ou maçonnique ? Un travail profane est un travail comme nous en rencontrons tous les jours dans la vie profane. Cela peut être un travail de qualité plus ou moins bonne. Un travail maçonnique est un travail qui a été réalisé par un Franc-Maçon et qui doit laisser transparaître en filigrane la qualité maçonnique de l’auteur.

Dans le contenu, la réflexion d’un Franc-Maçon devrait aller, en théorie, au-delà des apparences des idées, dans des directions que le profane négligera parfois ou refusera de prendre. Le Franc-Maçon a reçu et reçoit en permanence une sorte d’enseignement moral et intellectuel sur la manière dont il convient d’aborder les choses pour se rapprocher le mieux possible d’une certaine vérité.

Le Franc-Maçon a reçu la lumière et, à ce titre, sa réflexion devrait être plus éclairée que celle du profane moyen.

Il est cependant difficile de préciser exactement quelles sont les différences entre un travail profane et un travail maçonnique. En effet, il peut exister des travaux profanes d’un tel niveau de qualité que peu de Franc-Maçons pourraient l’atteindre, alors que, à l’opposé, on entend parfois en loge des travaux qui n’ont de maçonnique que le nom et sont ceux de parfaits profanes en tablier.

Les qualités maçonniques qui permettraient éventuellement de reconnaître un travail maçonnique sont assez difficiles à spécifier. On peut cependant estimer que le discours maçonniques doit être un discours éclairé et éclairant, d’une réflexion profonde, empreint de tolérance et de respect de l’homme, ouvert à d’autres possibilités de réflexion, positif, progressiste, dégagé des préjugés et des à-priori du vulgaire, insoumis aux notions liberticides des grands systèmes autoritaires de la pensée (religions, dogmes, idéologies et autres superstitions aliénantes). Le Franc-Maçon jugera ou condamnera les idées mais pas les hommes, à moins qu’il ne s’agisse d’hommes ayant des activités criminelles réprimées par la loi. Le Franc-Maçon recherchera toujours la lumière, la solution la plus universelle, la résolution du problème la mieux adaptée pour faire avancer l’homme et toute l’humanité. La solution la plus pacifique et la plus libérale.

Il est important de considérer qu’une planche peut aussi être présentée à différents auditoires, selon les circonstances. Dans le cadre d’une tenue fermée ordinaire, d’une tenue blanche ouverte ou d’une tenue blanche fermée.

- Dans la cas de la tenue fermée ordinaire, vous plancherez devant un auditoire de Francs-Maçons, membres de la loge ou visiteurs.
- Dans le cas d’une tenue blanche ouverte, vous plancherez devant un auditoire de Francs-Maçons et de profanes.
- Et enfin, dans le cas d’une tenue blanche fermée, à priori, vous ne plancherez pas, puisque c’est le cas où un profane vient plancher devant un auditoire de purs Francs-Maçons. Vous pourrez éventuellement avoir à faire une planche d’accueil du profane orateur.

On peut donc se trouver dans différents cas de planche :

- Faire un travail maçonnique sur un sujet maçonnique devant des Francs-Maçons.
- Faire un travail maçonnique sur un sujet profane devant des Francs-Maçons.
- Faire un travail universel, de qualité et d’esprit maçonnique, sur un sujet qui touche au monde profane ou au monde maçonnique, devant des Francs-Maçons et des profanes.

Plancher, c’est aussi établir une ligne de communication avec ses frères.

Lorsque la lecture de la planche est achevée, c’est au tour des frères de s’exprimer, de critiquer, de poser des questions. Dans le respect de la parole et de la personne (on ne doit jamais critiquer l’orateur en tant que personne), l’orateur pourra alors, à son tour, prendre des notes qui lui permettront de faire plus tard des corrections, des enrichissements de son texte, ou encore profiter des connaissances de certains intervenants. L’orateur aura également la liberté de répondre à ceux des intervenants dont les propos auront appelé une réponse. C’est un enrichissement mutuel entre l’orateur et son auditoire.

Parfois, il est intéressant de constater que la même chose qui aura été dite par une personne ne produira pas du tout les mêmes réactions de la part des auditeurs que lorsque cette chose aura été dite par une autre personne. En effet, la personnalité de l’orateur entre énormément en ligne de compte dans la perception d’un discours ou d’une planche maçonnique. Il faut savoir en tenir compte si l’on sait qu’un autre frère a déjà présenté une planche sur le même sujet.

De même, le vrai Franc-Maçon ne devrait pas s’attacher à la personnalité de l’orateur mais au contenu intrinsèque de son propos uniquement.

Il faut aussi prendre en compte que dans tout groupe humain, lorsque l'on s'exprime, ce que l'on dit sera toujours perçu de différentes et multiples manières. Certains vont bien suivre et bien comprendre, d'autres vont suivre mais oublier et pas bien comprendre, d'autres vont retenir et comprendre de façon très sélective, d'autres vont dormir et se réveiller à la fin (dans ma loge mère, un frère un peu âgé s’endormait souvent pendant les tenues et il ronflait bruyamment, alors on le réveillait gentiment !), d'autres vont tout comprendre à l'envers et certains ne vont rien comprendre du tout ni retenir. Parce que lorsque l'on parle, les personnes auxquelles on s'adresse perçoivent toujours ce que l'on dit avec leur personnalité propre, leur vécu, leur sensibilité politique, religieuse, sociale, artistique, etc...

En conclusion

Si un sujet de planche vous tient à cœur, n’hésitez pas à en jeter les bases et les mots clefs sur le papier et à la développer progressivement, à tête reposée.

Un jour elle sera prête tout naturellement et l’occasion arrivera bien de la présenter en loge.

La planche doit être un authentique travail personnel et pas un « copier-coller » de chapitres de livres ou d’articles de journaux.

Elle doit être assez riche ou intéressante pour être suivie d’un bon débat.

Elle doit être un travail qui ressemble à son auteur et dans lequel on retrouve sa personnalité et non un texte froid et sans âme.

Citer des auteurs ou des ouvrages de référence est une bonne chose, parfois, mais il ne faut pas en abuser. Votre planche ressemblerait vite à un catalogue de bibliothèque et ce n’est pas le but. C’est trop facile de mettre des citations d’auteurs toutes les dix lignes, mais cela appauvrit votre travail.

Enfin il ne faut pas oublier la note d’humour indispensable qui détendra l’atmosphère et réveillera les vieux Maîtres qui somnolent doucement près du radiateur.

L\ D\


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