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Les rituels du RER

I. Les rituels rectifiés

Je me bornerai à traiter des seuls rituels pour lesquels j'ai pu recevoir une documentation très sûre.

Une remarque préliminaire : il ne faut jamais oublier qu'historiquement le rite s'enracine dans le Régime de la Stricte Observance Templière Allemande. C'est la source première et de ce fait traditionnelle du Régime.

Sans doute WILLERMOZ et les F\ F\ de Strasbourg ont-ils modifié les rituels de la Stricte Observance en leur possession pour éliminer notamment l'idée d'une puissance Templière temporelle, socio-économique, et pour ne point faire descendre chronologiquement la Maçonnerie de l'Ordre du Temple tout en exaltant l'affinité des deux Ordres. Nous l'avons déjà signalé dans nos précédentes conférences.

Sans doute ces frères ont-ils tenu compte, dans ces modifications, de données extérieures à la Stricte Observance : rituels pratiqués en France et qui furent à la base du Régime Écossais Ancien et Accepté, rituels de Chevalerie Maçonnique, tel ce rituel de Chevalier d'une dizaine de pages datant de 1778 et que m'a cité René HANER. Sans doute ont-ils surtout voulu surimposer à la Maçonnerie de leur temps, ce qu'ils avaient cru devoir extraire du Système des ÉLUS-COENS. Il n'en demeure pas moins vrai que l'aube du Régime c'est la Stricte Observance Templière.

L'œuvre créatrice de WILLERMOZ s'est d'abord exercée à l'égard des rituels bleus et verts ; mais une seconde observation doit être faite : aucun Convent GÉNÉRAL n'eut à donner son agrément au dernier des rituels symboliques et au dernier des rituels du quatrième grade, puisque l'ultime CONVENT GÉNÉRAL de WILHELMSBAD se tint en 1782, soit trois ans avant la dernière élaboration willermozienne des rituels bleus, et vingt-six ans avant la dernière version du rituel « vert ». Cependant, comme l'a noté René DÉSAGULIERS, les Frères d'Auvergne et J.-B. WILLERMOZ avaient reçu une sorte de mandat tacite du CONVENT de WILHELMSBAD et spécialement de leurs Frères d'Alsace pour mener à bien la création des rituels et pour les mettre au point.

Les Rituels Bleus

À partir des différentes sources auxquelles il avait accès, WILLERMOZ compose des versions successives du rituel bleu, échelonnées sur une dizaine d'années. On retiendra les trois étapes suivantes :

En 1778 WILLERMOZ présente au CONVENT NATIONAL des GAULES, un nouveau rituel. Notons que si celui de la Stricte Observance ne comprenait que quelques pages, le rituel composé par WILLERMOZ s'étend sur plusieurs dizaines de pages.

En 1782, pour le CONVENT GÉNÉRAL de WILHELMSBAD, WILLERMOZ confectionne une autre version des rituels bleus, d'un volume double de celle de 1778 ; elle atteint l'épaisseur de la version actuelle mais comprend la purification par les éléments, « Tubalcaïn », etc.

En 1785, son dernier rituel, en raison de différentes influences parmi lesquelles celles de « l’Agent Inconnu », introduit « Phaleg », en même temps qu'il élimine « Tubalcain » et procède au « rejet des métaux ». C'est le texte final de WILLERMOZ que nous connaissons et qui est pratiqué tant en Helvétie qu'en France.

Les Rituels Verts (2)

On sait que la Stricte Observance Templière comprenait un rituel d'Écossais vert et d'Écossais rouge. C'est à partir de cet « Écossais vert » que WILLERMOZ construit le 4ème degré du Rite Écossais Rectifié, mais le rôle des Strasbourgeois n'est pas à sous-estimer dans cette affaire. Ce sont eux sans doute qui eurent l'idée d'en faire le grade terminal de la Maçonnerie Symbolique.

En 1776 donc, après avoir éliminé l'Écossais rouge, il fait de l'Écossais vert, remanié par lui, le dernier grade de la Maçonnerie symbolique. Etendu sur quelques pages seulement, ce rituel de Maître Écossais, nouveau style, ne contient aucune allusion à saint André et bien entendu pas de quatrième tableau. C'est, par l'ancienneté, la source traditionnelle de notre quatrième grade, rattaché de nos jours au GRAND PRIEURÉ.

En 1778, une autre version complètement refaite par WILLERMOZ, en accord général avec le CONVENT NATIONAL des GAULES de 1778/465 est employée. Elle est toujours aussi brève, dépourvue de saint André et de quatrième tableau. Du reste le bijou de Maître Écossais de WILLERMOZ conservé à la bibliothèque municipale de Lyon ne comporte pas de représentation de saint André, mais l'avers seulement du bijou.

Entre 1778 et 1782, plusieurs versions du quatrième grade sont utilisées conjointement et d'ailleurs l'Écossais vert de 1776 survivra bien longtemps puisqu'en 1814 encore et, alors que la version de 1809 dont nous parlerons bientôt est déjà en vigueur, un Haut Dignitaire du Rite Rectifié n'hésitera pas à venir à Strasbourg recevoir cette transmission de l'Écossais vert qu'il considérait sans doute comme traditionnellement importante malgré sa sobriété !

En 1809 donc, et après avoir homogénéisé plusieurs éléments composites, WILLERMOZ procède au « montage » du rituel, ultime pour son époque. C'est un « amalgame » harmonieux de l'Ancien Écossais vert et de perspectives tirées du système des ÉLUS-COENS de Martinez DE PASQUALLY, système sous-jacent d'ailleurs à toute l'architecture spirituelle et cohérente du Rite dans la facture willermozienne. On trouve aussi, dans ce rituel, des définitions qui par le style, le texte et la conception me semblent empruntées aux catéchismes du diocèse de la ville de Lyon, notamment pour tout ce qui concerne « l'abolition » de l'Ancienne Loi, la morale et l'histoire religieuse, et qui, en tout cas, reflètent bien les idées du temps sur ces points.

Enfin, dernière injection dans ce rituel : le « SAINT-ANDRÉ » introduit sans doute sous l'influence du baron TSCHOUDY. La lettre de WILLERMOZ à Charles DE HESSE CASSEL explique d'ailleurs l'origine de cette nouvelle appellation de Saint-André, très générale en Allemagne du Nord. Le revers du bijou du grade s'orne alors des symboles de St André. Voilà donc la genèse de ce rituel du Quatrième Grade, particulièrement dense, qui n'a que peu de ressemblance avec ses premiers ascendants traditionnels et témoigne surtout du génie inventif, mais assimilateur et constructif de l'auteur, et de sa foi religieuse bien sûr.

Le Rituel de la Cène Mystique

Fort émouvant et de haute tonalité spirituelle, ce rituel ne date en fait que des débuts du XXe siècle, lorsque les accords d'intervisite entre le Suprême Conseil du REAA en Helvétie et le Grand Prieuré d'Helvétie, entraînèrent la confection d'une Cène pour des loges de Maîtres Parfaits de Saint-André, à l'instar de celle en usage pour le 18ème degré de Rose-Croix au REAA.

Aussi n'en trouve-t-on aucune trace dans un manuscrit de WILLERMOZ que possède notre ami René HANER. En revanche, on lit dans un rituel du quatrième grade la note suivante, inscrite au crayon par AMEZ-DROZ, je cite : « la Cène appartient de droit au Quatrième Degré ».

Cette Cène du quatrième degré est simple et belle. Elle précédera la Cène Mystique employée actuellement au 6e degré. De son côté, René DÉSAGULIERS m'a signalé avoir en sa possession le Rituel Général de la loge de Maître Écossais de Saint-André, revu le 29 novembre 1899 par le Directoire Ecossais d'Helvétie ; un rituel de la Cène rectifiée y est annexé avec la mention ci-après de Charles MONTCHAL, datée du 11 mars 1924, je cite : « Le récit de la Cène mystique ne se trouve pas dans les rituels de 1782 dont notre copie est tirée, nous pensons qu'elle était facultative et qu'elle doit se placer, si employée, avant la clôture de la loge des Maîtres Parfaits de Saint-André ».

Une dernière précision, la Cène mystique est pratiquée à notre époque, en Helvétie, dans les Préfectures de Zurich et Neuchâtel, mais pas dans celle de Genève en raison, sans doute, du désir des Chevaliers, Membres de la Congrégation des Pasteurs de Genève, de voir réserver la pratique de la Cène à l'Église réformée.

II. L'organisation primitive du rite

Après cette courte étude de certains rituels de l'Ordre, je voudrais dire quelques mots de l'organisation du Rite Rectifié à son origine.

Elle n'est pas comparable avec la nôtre, pour deux raisons fondamentales :

a) Le gouvernement de l'Ordre des C.B.C.S. n'est pas national au début, mais international et il se prolonge en fait, comme nous allons le voir, jusqu'au niveau des loges bleues par le truchement des Grandes Loges Écossaises et des Collèges Écossais de Députés Maîtres. Il n'y a pas à ce moment-là, et pour le Rite Rectifié, de Grande Loge Nationale reconnue par la G\ L\ Unie d'Angleterre et gouvernant souverainement les grades symboliques et les rituels de plusieurs rites, dont le Rite Écossais Rectifié parmi d'autres ouverts ceux-là à tous les croyants.

Pour tous ces points je renverrai aux analyses de René DÉSAGULIERS et me bornerai à mentionner quelques particularités de l'organisation du Rite, telle qu'elle ressort du Code des Loges Réunies et Rectifiées et du Code des C\ B\ C\ S\. Le Code des Loges R. et R. ne reconnaît que quatre grades : apprenti, compagnon, Maître et Maître-Écossais.

En fait la loge écossaise n'a guère d'autonomie, le Vénérable Maître n'est que l'adjoint du Député Maître inamovible et qui peut avoir plusieurs loges sous son autorité ; et le Vénérable Maître est toujours choisi parmi les Maîtres Écossais dans la Tradition du Rite.

On devine mieux ainsi l'articulation du Rite entre la Maçonnerie symbolique et l'Ordre Intérieur. En effet, le Code des C\ B\ C\ S\ stipule de son côté, je cite : « la Franc-maçonnerie conservatrice de notre Saint Ordre en est la pépinière où l'on élève et prépare les sujets que l'on croit propres à y entrer. Elle doit donc être dans une liaison intime avec le gouvernement intérieur du Saint Ordre ».

Précisément cette liaison est assurée à travers un homme : le « Député Maître – Commandeur » assisté par une institution dont il a la présidence : le COLLÈGE ÉCOSSAIS. Sur un plan plus général, c'est la préfecture qui en Maçonnerie symbolique porte le nom de « GRANDE LOGE ÉCOSSAISE », la Maçonnerie symbolique nationale étant dans sa totalité placée sous l'autorité du GRAND MAÎTRE NATIONAL assisté d'un GRAND DIRECTOIRE NATIONAL.

Une remarque faite par René DÉSAGULIERS : au « GRAND DIRECTOIRE NATIONAL » prévu par le Code des Loges R. et R., correspond le « CONVENT NATIONAL » indiqué dans le Code des C\ B\ C\ S\ La Nation n'est d'ailleurs pas entendue de la même façon dans les deux Codes. Pour les loges réunies et rectifiées il y a neuf Grands Prieurés, la Bourgogne comprenant alors deux Prieurés hors de France : les Pays-Bas et l'Helvétie.

Enfin, comme nous l'avons déjà indiqué, le Grand Maître National est placé lui-même sous l'autorité du Grand Maître Général, à souveraineté internationale ou supranationale. On peut déduire de cette structure, ingénieuse mais complexe, que la Maçonnerie symbolique est nationale et l'Ordre Intérieur international. Tout ceci m'amène à traiter d'un autre sujet de controverses liées à la méconnaissance des origines du Rite : la légende des C\ B\ C\ S\ non-maçons.

III. Les C.B.C.S. non-maçons

Il s'agit bien d'une légende à laquelle j'ai longtemps cru, me fiant à ce qu'en disaient certains de mes aînés. Or cette fable ne repose sur aucun fondement légitime. Certes, il y eut dans la « Stricte Observance Templière » des « Chevaliers Socii », BACON DE LA CHEVALERIE fut lui-même « Socius »...mais il était maçon. On consultera à ce propos Alice JOLY et LE FORESTIER.

Le manuscrit 5939-309 de la bibliothèque municipale de la ville de Lyon et intitulé Cérémonie pour la réception d'un Frère Socius du Temple est formel, je cite : « Après que le récipiendaire aura frappé à la porte en écossais ». Or, comment aurait-il pu le faire s'il n'avait été déjà maçon (1) ?

Quant au Rite Écossais Rectifié, il n'a pas conservé cette classe de Socii, dont on a vu qu'elle était formée de maçons. De plus, tous les rituels d'origine de l'Ordre Intérieur contredisent nettement cette idée dangereuse et récente d'un armement de profanes. Le rituel de 1808 reprend d'ailleurs constamment le titre éloquent de « CHEVALIERS MAÇONS DE LA CITÉ SAINTE », titre qui se suffit à lui-même.

Cette fable, concernant l'armement de profanes nous aurait créé des difficultés avec d'autres Rites si elle avait reçu quelque crédit. Avec cette réflexion, j'aborde le dernier point de mon exposé.

IV. Les relations avec les autres Rites.

Là encore, bon nombre d'assertions fantaisistes ont faussé les perspectives. On a par exemple affirmé que nul Chevalier Kadosch ou « Élu » du R\ E\ A\ A\ ne pouvait être admis dans une loge bleue rectifiée !

Ce que l'on oublie, c'est qu'en vertu du Code des Loges Réunies et Rectifiées, les visiteurs étaient admis en loge bleue, revêtus des insignes des Grades Supérieurs en leur possession, un peu comme de nos jours le bijou de l'ARCHE-ROYALE peut être porté en Loge bleue de rite anglais.

Or en 1778, le Rite Écossais Ancien et Accepté, n'existait pas encore sous la forme ultérieure en 33 degrés mais, quand il fut structuré de la sorte, la visite des loges bleues rectifiées ne fut pas autorisée aux Frères de ce Rite portant ostensiblement sur eux, et en loge rectifiée, les insignes des grades dits de « vengeance », cette notion étant étrangère au Rite Rectifié, Autrement dit, et contrairement aux idées répandues, on n'a jamais refusé en loge les visiteurs des Hauts Grades du R\ E\ A\ A\, mais on leur a demandé de ne point porter visiblement les insignes d'ÉLU ou de KADOSCH (1). On consultera à ce sujet le chapitre XIV du Code des Loges Réunies et Rectifiées.

Par contre pour les Grades de Maître Écossais et de l'Ordre Intérieur, il semble bien que n'étaient admis que les membres du Rite en possession de ces Grades. C'est ce qui découle d'un passage du Code des Loges Réunies et Rectifiées que je cite : « Le grade de Maître Écossais est exclusivement affecté au Régime Rectifié. C'est pour cette raison que lorsqu'on tient loge d'instruction à ce grade, on n'ose y faire assister aucun visiteur d'un autre régime, quelque grade qu'il ait ».

Voilà qui est net mais qui met l'accent sur le Régime plutôt que sur le Rite. De fait, on a quelque raison de penser que dès les origines les Frères de Lyon recevaient les membres de la Stricte Observance, Organisation Mère du Régime dont descend, tant le Rite Rectifié que le Frei Maurer Orden Allemand et, par un cousinage rituel, la Chevalerie et la Maçonnerie Suédoises (2). C'est dans la ligne de ces principes de reconnaissance que devaient se situer à notre époque les accords d'équivalence avec le Rite Suédois, le Rite Allemand travaillant dans un rite dérivé du suédois, et de la même façon les Prieurés des KNIGHTS TEMPLAR de langue anglaise. Il y avait en effet entre tous ces rites soit un régime primitif commun, avec des symboles et ventilations graduelles analogues, soit encore des perspectives christo-templières apparentées comme c'est le cas pour les KNIGHTS TEMPLAR.

Notons pour le Rite Suédois qu'il descend ainsi que le Rite Rectifié de la Stricte Observance mais qu'il subit une première mise en forme par Karl Frédérik ECKLEFF - lequel joue un peu pour ce rite le rôle de WILLERMOZ pour le Rectifié -, et qu'après avoir subi l'influence de ZINNENDORF, il fut définitivement constitué par le duc de SUDERMANIE, le futur CHARLES XIII.

En Norvège, le Rite Suédois ne fit son apparition qu'en 1818 prenant alors la place des deux rites successivement pratiqués dans la Loge d'Oslo entre 1749 et 1818 : le Rite Anglais et le Rite Rectifié.

Voilà donc pour les équivalences et reconnaissances. Cependant, très tôt devait se poser le problème des relations avec des Rites d'un autre type, ou d'un autre contenu symbolique et initiatique, comme le Rite Écossais Ancien et Accepté. Ce fut alors la « double appartenance » qui fut parfois pratiquée permettant une connaissance « par l'intérieur » des richesses et des concepts de chacune.

En France, cette double appartenance s'inscrivait dans l'évolution de la Maçonnerie Universelle et Traditionnelle, matrice de tous les Rites et de tous les Régimes.

Annexe

(1) Il semble qu'il y ait eu une Cène de ce type dès la fin du XVIIIe siècle dans certaines branches de l'Écossisme Rectifié.

On lira à ce sujet la note 2, page 224 de l'ouvrage La Franc-Maçonnerie templière et occultiste de Le Forestier, publié et préfacé par Antoine Faivre avec introduction d'Alec Mellor (Aubier-Montaigne 1970, chap. VII, « Le Convent de Wiesbaden et la succession du Chevalier de l'Épée »). Nous citons :

« Les Maçons rectifiés de Russie avaient, sous la conduite du Danois Levetzan, qui présidait en 1776 à Petersbourg le rameau de la Stricte Observance », pris le parti de compléter eux-mêmes les travaux et les rituels de l'Ordre intérieur. Ils prétendaient « connaître le futur par une combinaison de points et de lignes » ; ils avaient ajouté à la cérémonie de réception au sixième grade, une communion sous les espèces du pain et du vin, décalque du Troisième Point de Rose-Croix (Journal de Corberon, cité par A. Viatte : Sources occultes du Romantisme, I, 107).

De fait, une Cène - sans consécration bien sûr, mais en souvenir du Maître - existe dans la plupart des hauts grades autres que ceux du REAA, pour le grade de « Souverain Prince Rose-Croix », etc., tous grades « chevaleresques » maçonniques.

En ce qui concerne le rite suédois (ou scandinave) nous apporterons les précisions suivantes :

1) Il y a en Suède trois degrés de Saint-André par symétrie avec les trois degrés de Saint-Jean, répertorié VIe grade en Suède et qui correspond au Ve grade allemand.

2) En vertu des accords de reconnaissance et d'équivalence entre la Maçonnerie de rite scandinave (Pays scandinaves et Allemagne) et de rite rectifié (Helvétie, France, U.S.A.), les équivalences correspondent donc au Tableau suivant dressé par le T.R. Chevalier Jean HEINEMAN of Nordfors, et publié dans différentes revues de recherches.


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