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Les Colonnes


Kabbalistique puis maçonnique, c'est le mystère des Colonnes du Temple.

Pour les Dieux elle est le moyen de s'adresser aux hommes, et s'exprime par une théophanie. On peut lire dans l'Exode: « Yahvé guidait les Hébreux par des colonnes de feu ». A l’inverse, elle est aussi pour l'homme le moyen de s'adresser aux Dieux: Colonnes de Trajan, de Marc Aurèle, etc.
Bien entendu, deux parmi toutes ces colonnes, nous intéressent plus que les autres.

Les Colonnes du Temple de Salomon ou Colonnes d'Hiram. Dans la Bible on trouve plusieurs mentions de ces Colonnes dans les Livres des Rois, les Chroniques et le Livre de Jérémie.

La construction des Colonnes du Temple de Salomon, sinon du Temple lui-même, fut confiée à l'architecte Hiram, dont la Bible dit : « Salomon envoya chercher Hiram de Tyr. 
C'était le fils d'une veuve de la tribu de Nephtali mais son père était Tyrien, ouvrier en bronze. Il était plein d'habileté, d'adresse, de savoir et de sagesse pour exécuter tout travail de bronze. Il vint auprès du roi Salomon et il exécuta tous les ses travaux ».

Le Livre Sacré dit encore :« Hiram fondit les deux colonnes en airain. La hauteur d'une colonne était de dix-huit coudées (9 m) et un fil de douze coudées (6 m) mesurait la circonférence de chacune d’elle. Il fit deux chapiteaux d'airain fondu pour les placer sur les sommets des colonnes. La hauteur des chapiteaux était de cinq coudées (2,50 m). Il y avait des treillis en forme de réseau, des festons en forme de chaînettes aux chapiteaux
qui surmontaient les colonnes: sept au premier chapiteau, sept au deuxième chapiteau. Il fit deux rangs de grenades autour de l'un des treillis pour couvrir le chapiteau qui surmontait l'une des colonnes et sur le sommet des colonnes, dans le portique, figuraient des lys de quatre coudées de hauteur (2 m). Les chapiteaux placés sur les deux colonnes étaient entourés de deux cents grenades, en haut, près du renflement qui était au-delà du
treillis. Il y avait aussi deux cent grenades rangées tout autour sur le second chapiteau. Il dressa les colonnes au portique du Temple. Il dressa la Colonne de droite et la nomma Jakin, puis il dressa la Colonne de gauche et la nomma Boaz. Il y avait sur le sommet des Colonnes un travail figurant des lys. Ainsi fut achevé l'ouvrage des Colonnes »

Il arrive que les mesures des Colonnes varient d'un texte à l'autre, probablement aussi en fonction des traductions. Flavius Josèphe donne une variante qui semble indiquer que les Colonnes étaient creuses:« Salomon fit venir de Tyr, etc.. Il fabriqua aussi les deux Colonnes d'airain dont le métal avait une épaisseur de quatre doigts ». Le « Livre de Jérémie » moins précis en matière d’épaisseur dit toutefois qu'elles étaient creuses.

L'interprétation des colonnes « salomoniennes » a donné lieu à de nombreuses polémiques entre exégètes et archéologues. On les a tour à tour dites inspirées des obélisques égyptiennes, des « massebots » des hauts lieux pré-phéniciens, des colonnes se dressant par paires à l'entrée de nombreux sanctuaires de l'ancien Orient. On a songé à de gigantesques torchères, à des indicateurs équinoxiaux, etc... Malgré tout ce qu'on a pu écrire au fil du temps, sur la forme, la taille, la couleur et l'emplacement des Colonnes, le texte biblique semble en donner la meilleure description.

Bien que mises en doute ici ou là, il semble que les dimensions données par la Bible en permettent une construction normale. Rien ne permet non plus d'affirmer de façon certaine que les Colonnes étaient creuses, mais rien ne permet de l’infirmer. On trouve aussi des auteurs qui glosent sur la couleur des Colonnes en attribuant à la Colonne J la couleur rouge et à la Colonne B la couleur blanche. Il est préférable de s'en tenir au texte
biblique, qui décrit les Colonnes comme étant en airain et toutes deux de la couleur naturelle de ce métal. Et que dire enfin, de ceux qui fantasment sur les caractères sexuels mâle et femelle, des Colonnes ?

Nous savons que les deux Colonnes subsistèrent dans le Temple jusqu'à sa destruction par Nabuchodonosor (586 av. J-C.). Ni dans le second Temple, ni dans celui d'Hérode, il n'est question de Colonnes du type « salomonien ».
Si la forme et l'origine de Colonnes « salomoniennes » ont suscité tant de débats, que dire alors de leur positionnement ?

Leur situation en fait, découle de l'orientation du Temple. Pour les uns, le Temple était orienté le long d'un axe est-ouest, pour les autres ouest-est. Selon la Bible, il ne devrait pourtant pas y avoir d'ambiguïté. Le fait qu’en hébreu « droite » signifie toujours sud et « gauche » nord, indique une orientation tournée vers l'est (entrée du Temple à l’est). Les « Chroniques » confirment indiquant: « Il dressa les Colonnes sur le devant du temple, l'une à droite et l'autre à gauche. Il nomma celle de droite Jakin (donc sud) , et celle de gauche Boaz.(donc nord). Nous reviendrons un peu plus tard sur les noms des Colonnes.

Analysant leur position, certains auteurs estiment qu’il est probable qu'à l'origine elles avaient une raison d’être astronomique. Elles devaient être orientées de telle façon que leur ombre respective passe à chacun des solstices, sur le seuil orienté à l'est. Ainsi, sur un plan d'orientation terrestre, les deux Colonnes B et J seraient assimilées à des portes solsticiales. BOAZ s'identifierait au solstice d'hiver fin décembre, la nuit la plus longue avec la lune qui correspond à Jean l'Évangéliste et JAKIN au solstice d'été fin juin, le jour le plus long avec le soleil, qui correspond à Jean le Baptiste.
Selon d’autres interprétations, la façade du Temple de Salomon comporterait en réalité trois portes. Si l'une est apparente, les deux autres, en fait les Colonnes B et J, ne le sont pas pour les non initiés. Celle du milieu, ouverture visible avec sa porte de bois, constitue un passage dangereux. A certains degrés, on passe par en dessous et pour la même raison, on donne le salaire des apprentis et compagnons à l'extérieur du Temple.

En fait , elle est l'emblème de l’accès à la Création, au creuset où s'élaborent les transformations, à la résidence de l'Eternel. Aucun humain non totalement réalisé initiatiquement ne peut y accéder.
Dans cette optique, la Colonne B correspond à la Porte des Hommes, ou domaine du travail. Elle traduit la force, non pas physique mais celle supérieure et spirituelle de l'indestructibilité de l'être réel ; l'Esprit.

La Colonne J est la Porte des Dieux ou monde de la Connaissance Universelle. Elle signifie que l'initié a dépassé le stade des fluctuations humaines et atteint l'état de l'Être se tenant dans l'éternel présent. Dans le cadre du cycle solaire annuel, le travail des hommes s'effectue dans un cycle ascendant, celui des Dieux dans un cycle descendant, la porte symbolique de la Colonne B permettant l’entrée et la sortie. En effet, selon l'état ou niveau de conscience, l'âme d'un homme subira une nouvelle incarnation et après un retour dans la caverne cosmique ou athanor divin, elle redescendra à un autre état de manifestation par la porte Boaz. Celui qui aura atteint le plus haut degré de perfection entrera lui aussi par Boaz puis passera à Yakin, mais n'en sortira pas car pour lui le retour au monde manifesté n'existe plus.

Avant de quitter le Temple de Salomon pour entrer en Loge arrêtons-nous un instant sur le nom des Colonnes.
Riccioti, signale que les noms primitifs des Colonnes auraient été Yakhun (il est stable) et Be'oz (en force). La traduction des mots hébreux donne pour nom des Colonnes :
Boaz, signifiant « dans la force » ou « en lui la force » et Yakin, Jakin issu de deux mots hébreux: Jah pour Jehovah et Iachin «il établira» ou « qu'il établisse », « il affermira » ou « qu'il affermisse ». René Guénon. propose, en rapprochant les deux noms : « lui en qui est la force, qu'il établisse » Il existe de nombreuses autres variantes. Peut-être une par traducteur ?

D’autres auteurs pensent que ce serait les noms de deux fortins célèbres par des victoires israélites.
Le temps, les temps ont passé et la Franc-Maçonnerie contemporaine naissante a très vite intégré ces Colonnes dans sa symbolique et ses Rites. On trouve mention des deux Colonnes dans les plus anciens catéchismes écossais, dès 1723 et 1730
Si les Colonnes décrites dans la Bible jouent un rôle plus ou moins important selon les Rites, elles ne sont pas les seules à être utilisées en Maçonnerie. Certains anciens écrits maçonniques, comme les Old Charges (rédigées vers 1400), ou le Cooke avec quelques variantes, ainsi que Flavius Josèphe, parlent de la légende des Colonnes des quatre enfants de Lamech. Ils décidèrent de réunir toutes les connaissances qu'ils avaient
acquises et de les cacher dans deux colonnes pour les préserver de la fin du monde par l’eau et le feu. On remarquera aussi qu’il n'existe aucune mention des Colonnes du Temple de Salomon dans les quelques cent vingt documents ou manuscrits « opératifs »
recensés.

Beaucoup de choses changeront lorsque vers 1730 / 1740, le mythe « hiramite » fera son entrée dans les Rituels. A la suite de l’excommunication majeure frappant les Francs-Maçons, par le pape Clément XII, le 28 avril 1739, on se rapprocha des légendes hébraïques. Ainsi Boaz et Jakin furent adoptées et affectées aux deux Surveillants, mais jamais ces noms ou initiales n'apparurent sur les Colonnes présentes sur les plateaux. Il
faudra attendre le début du dix-neuvième siècle et les travaux de la Loge de Réconciliation, pour que cette adoption soit entérinée.
Notons encore que l’on appelle aussi « colonnes » les rangées de sièges sur lesquelles prennent place les Frères, du fait qu’elles se situent dans le prolongement symbolique des Colonnes du Temple.

Dans nos Temples, le sommet des Colonnes est souvent coiffé d’une sphère ou globe, et non de chapiteaux selon la description biblique. La raison est à rechercher dans le fait qu’une des premières bibles imprimées la « Genova Bible » en 1560, montrait une illustration avec des globes surmontant les Colonnes du Temple et ceci peu de temps après que l'on eut commencé à représenter la planète terre sous son aspect sphérique.
Elle fut imitée en cela par de nombreuses autres Bibles. Lorsque la Grande loge des « Modems » fut créée, elle introduisit ces globes dans la Maçonnerie spéculative, au mépris de la description du texte biblique.
Tout récipiendaire ou Franc-Maçon qui entre dans une loge maçonnique doit obligatoirement passer entre les deux Colonnes B et J dressées à l'occident. Celles-ci marquent une séparation entre monde sacré et monde profane ou la limite entre les parvis et le Temple. Elles sont les premiers symboles entre lesquels se trouve placé le candidat à l'initiation, puis les Apprentis et les Compagnons, pour y recevoir leur salaire.
Avant d’aborder l'emplacement des Colonnes dans nos temples, considérons l'orientation de la Loge. Dans les Rites Maçonniques Écossais (REAA et RER) et Français, la Loge est orientée selon l'axe ouest-est à l'instar des églises du Moyen Âge, une orientation apparemment opposée à celle du Temple de Jérusalem. Ces trois là ont au moins cela en commun.

Le Rite Ecossais Rectifié tout comme le Rite Français, place la Colonne B à droite, au sud en entrant dans le Temple et la Colonne J à gauche. Ces « inversions » par rapport à la position biblique, sont apparues en France au 19ème siècle où la majorité des Maçons agissait essentiellement en contre-réaction aux décisions prises par les Anglais.

La Grande Loge d'Angleterre ayant affecté Boaz à gauche, (à sa place biblique), les Français firent le contraire pour les rites existant à cette époque (Rite Français et Ecossais Rectifié). On peut au passage, légitimement se demander, étant donné qu’en symbolisme, chaque geste, chaque aire cardinale, chaque figure géométrique, revêt une valeur particulière, si on les inverse, pour quelque raison que ce soit, on ne réduit pas la force
opérative portée par le symbole et ce faisant, on n’altère pas aussi le rituel.
Mais on peut aussi considérer que cette inversion par rapport à la disposition du Temple de Salomon correspond à une vision terrestre plutôt que céleste. Elle est conforme à la “Table d'émeraude” qui stipule: « ce qui est en haut (dans l'ordre céleste) est comme ce qui est en bas (dans l'ordre terrestre) » et inversement. Ou encore selon les paroles de l'évangile, « les premiers (au Ciel) seront les derniers (sur Terre) ».
Pour le Rite Ecossais Ancien et Accepté, le problème des luttes intestines francoanglaises ne s’est pas posé, du fait que ses loges symboliques ne firent leur apparition qu'assez tardivement, vers 1865. Jakin est à droite en entrant, au sud et Boaz est à gauche au nord, comme les situe la bible.
Au Rite Émulation, les Colonnes ne sont représentées qu'en miniature, sur les plateaux des deux Surveillants. Elles sont manipulées par ces derniers au cours du rituel.

Il est difficile de donner objectivement raison à l'un ou à l'autre Rite. Il est généralement admis que les Colonnes « flanquaient l'entrée et ne supportaient rien » Les deux conceptions sont admissibles selon la position de l'observateur: à l’occident, à l'extérieur du Temple (où on a la vision « Ecossais Ancien et Accepté ») ou à l'Orient, à l’intérieur du Temple (ou on a la vision « Ecossais Rectifié ou Français »). Les archéologues d'une façon générale placent J au sud et B au nord et sont donc d’accord avec la bible.
Après avoir placé nos Colonnes, installons les Surveillants. On trouve de nombreux auteurs qui écrivent que le Premier Surveillant doit toujours siéger au pied de la Colonne J et le Second au pied de la Colonne B. Qu’en est-il ?

Au RER, le Premier Surveillant se tient au pied de la Colonne B comme au REAA. Il est responsable et « surveille » les Compagnons qui siègent au midi. (en alignement au RER et en diagonale au REAA). Le Second Surveillant se tient au pied de la Colonne J au RER et au milieu de la colonne du midi, dans l’alignement de la Colonne J au REAA. Il est responsable et « surveille » les Apprentis qui siègent au nord. (en alignement au RER
et en vis à vis au REAA) Vous observerez que dans ces deux Rites on ne suit pas vraiment les fameux auteurs cités plus haut. Au Rite Français les Surveillants siègent comme au RER.

Autre variante, notre Loge, TOLERANCE et FRATERNITE où la position des Colonnes est celle du REAA dont nous revendiquons l’appartenance, mais nos Surveillants sont inversés par rapport au REAA. Le Premier Surveillant opère à droite au pied de la colonne J et second à gauche au pied de la colonne B. Enfin, quel que soit le nom de la Colonne qui se trouve en tête, les Apprentis se placent à gauche en entrant
donc au nord et les Compagnons à droite donc au sud. Dans les trois Rites les Maîtres peuvent siéger indifféremment à droite ou à gauche.

Accordons maintenant quelque attention aux mots sacrés dérivant du nom des Colonnes.
Les noms de ces deux Colonnes servent de mots sacrés, de Mot du Maçon. C'est le « Manuscrit des Archives d’Édimbourg de 1696 », qui mentionne la plus ancienne présence des mots J et B, formant les deux parties indissociables d'un seul mot: le Mot du Maçon (Mason Word).
Lors de l'apparition de la maçonnerie spéculative, le nom des Colonnes a été adopté comme mot sacré des deux premiers grades. Mais, tout comme pour la place des Colonnes, il y a eu sur ce sujet, de nombreux débats tendant à prouver la supériorité d'un Rite sur un autre. Ils ont fait naître controverses et polémiques tournant à la confusion. A priori, J devrait être le mot de l'Apprenti. Il l'était dans les loges françaises du XVIIIème siècle et l'est resté au Rite Français et l’est chez nous. Au REAA et au RER c’est B.

L’origine de cette différence se situe à nouveau outre Manche. En Angleterre, vers 1740, pour des raisons de sécurité et de secret, il y eut « inversion » des mots des deux premiers grades. Pendant tout le XVIIIème' siècle, les « Ancients » retinrent la lettre J pour les Apprentis et les « Moderns » la lettre B. Lors de la fusion de 1813, on conserva l’usage des « moderns » qui est en vigueur dans les loges anglo-saxonnes.
Pour couper court peut-être pouvons-nous suivre R. Désaguliers qui pense que ces deux mots doivent être considérés ensemble quelque soit l'ordre où ils sont communiqués. Il dit ceci: « Ces deux mots sont inséparables, insécables et forment en eux-mêmes une sorte dialogue. L'étude historique de l'inversion des deux Colonnes, encore énigmatique devrait surtout conduire chaque Rite à la tolérance, en prenant garde aux conclusions hâtives qu une vérification historique n'a pas confirmées, et encourager chaque Maçon à être à une écoute toujours plus attentive des sources de sa propre tradition ».

En fait le nom des Colonnes sert de mot sacré à l'Apprenti et au Compagnon quelle que soit la position de celles-ci dans le Rite pratiqué. Au final, le grade de Compagnon concrétise l'accès à leur signification complète qui sert de support de méditation et de réalisation.
Pour terminer quelques mots sur le particularisme de notre Loge en la matière.
Tout frais initié, j’ai entendu dire par tel ou tel ancien que nous étions particuliers, entre autres parce que nos Colonnes étaient inversées. D’autres m’ont dit que c’était nos Surveillants qui l’étaient.

Nos Colonnes sont dans la position reconnue par le REAA, donc dans le sens biblique et donc inversées par rapport au Rite Français.
Nos Surveillants occupent de places en accord avec le Rite Français, et donc inversées par rapport au REAA.
Cette apparente dichotomie vient du fait que nos rituels sont le résultat d’un syncrétisme entre REAA et Rite Français (mais lequel, Groussier, Ruchonnet ou Moderne ?) Est-ce grave docteur ?
Non car c’est notre rituel, celui choisi il y a 40 ans par nos Pères Fondateurs.
Faut-il remettre tout cela en ordre? Si oui, lequel ? REAA ou Rite Français ?
Ma réponse est clairement non.
Nos Surveillants occupent une position qui répond à une justification spatiale, laquelle confirme que leur emplacement bien qu’apparemment peu orthodoxe, a du sens. Ils recréent, par leur action concertée, l'harmonie et le symbolisme des sphères célestes. Cette justification spatiale a fait l’objet d’une brillante démonstration par le Groupe de Recherche de L’Alpina. Je tiens à la disposition des Frères intéressés la démonstration détaillée par le GRA, qui est assez longue, de cette position des Officiers.

Mes T\C\F\ cette planche sur les Colonnes pour longue qu’elle fut, est bien loin de couvrir et encore moins de clore le sujet. En tous cas j’espère avoir éveillé votre curiosité et vous avoir donné envie d’explorer plus à fond la richesse des Colonnes.

Pour rédiger cette planche je me suis appuyé, sur les dictionnaires maçonniques Guigue, Ligout et Richard, sur La symbolique Maçonnique du troisième millénaire d’Irène Mainguy.
Sur la revue Maçonica du Groupe de Recherche de l’Alpina, pour la justification astrale de
n des Frères intéressés la démonstration détaillée par le GRA, qui est assez longue, de cette position des Officiers.

Mes fraternels et chaleureux remerciements aux Frères de l’Union des Coeurs qui m’ont aidé à y voir clair et qu’il me pardonnent si pendant un court instant j’ai semé le trouble dans leur esprit.

V\M\ j’ai dit.

C
\ R\

3085-D L'EDIFICE  -  contact@ledifice.net \