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Le Chemin de l’homme

Bien au-dessus des soucis de la vie matérielle, 
s’ouvre pour le Franc Maçon le vaste domaine de la pensée et de l’action...
qu’il inspire notre conduite dans le monde profane…qu’il soit la lumière sur notre chemin...

C’est de ce chemin que je vous entretiendrais ce soir

Je déclinerai cette Planche en trois parties :

1/ Le vaste domaine de la pensée et de l’action
2/ Qu’il inspire notre conduite dans le monde profane
3/ Qu’il soit la Lumière sur notre chemin

1/ Le vaste domaine de la pensée et de l’action

Savoir et comprendre pour AGIR

Qu’est-ce que la connaissance sinon la juxtaposition de SAVOIR et COMPRENDRE ?

Chercher à comprendre a souvent besoin d’emprunter plus d’une voie ; aussi, n’est-il pas rare que deux ou plusieurs disciplines s’unissent pour accompagner l’individu dans sa quête de vérité. Chaque voie peut recéler des richesses qu’une approche seule ne permet pas de saisir.

Il est aisé d’aller quérir les savoirs maçonniques à la Fnac ou dans toute autre librairie ésotérique. Mais seule la connaissance des Rituels, des outils, des symboles permettront de comprendre les arcanes de la Franc-Maçonnerie.

C’est par cette initiation que l’on passe du profane au sacré. Ici, j’entends par sacré, non pas comme divin, mais comme la transfiguration d’un au-delà. L’initié n’est pas seulement un « nouveau-né » ou un « ressuscité » ; il est un homme qui connaît les mystères, qui a eu des révélations d’ordre métaphysique.

Etre perfectible, c’est persévérer si fort dans son être, c’est développer si puissamment ses potentialités et sa puissance, qu’il se produit ceci : l’on devient celui que l’on était ou, inversement, mais cela revient au même, l’on s’aperçoit que l’on était de toute éternité celui que cette recherche nous fait, soudain, devenir. Il y a de la paix dans cette réussite ; il y a de la sérénité ; il y a le bonheur de s’installer, dans cet être que l’on est devenu ; il y a la volonté du mouvement qui déplace la ligne de la vie.

Chaque individu est une chose nouvelle dans le monde, et il est appelé à accomplir sa vertu propre ; c’est avant tout cette qualité unique et exceptionnelle que chacun est commis à développer et à mettre en œuvre.

Pour que se ranime une tradition sclérosée, pour éliminer les surcharges dont celle-ci s’est grevée en s’inscrivant dans la durée, pour se débarrasser des alluvions qu’elle a déposés, il faut adopter une attitude fondamentalement critique à laquelle il est possible de l’appeler déconstruction, selon Dérida. Il s’agit d’un acte totalement positif qui doit permettre au Franc Maçon de s’ouvrir à nouveau, de se trouver à l’aube d’un nouveau jour où tout peut apparaître sous une nouvelle lumière.

Une action conforme au devoir est motivée par un retour sur soi : avant la cause ou l’origine d’une action, je suis le réceptacle ou le témoin d’une parole qui me dépasse, et en même temps qui ne concerne que moi.

Une distance apparaît entre l’existence et ce qu’il y a à faire pour exister. Ce décalage ou cette distance de soi à soi, constitue la conscience.

Certes, la prétention de toucher un jour la vérité est une utopie dogmatique. Ce qui importe c’est d’aller jusqu’au bout de ce qu’on peut faire, d’atteindre à une cohérence sans faille qui puisse nous conduire vers une pierre à polir constamment.

Le symbolisme, par ce qu’il a d’universel, va nous montrer le chemin qu’il nous faudra tracer. Sans relâche, sans dogme, ne s’appuyant sur aucune religion, le Franc-Maçon, à l’aide de tout ce qui est mis à disposition deviendra petit à petit l’Initié, la Lumière et enfin l’Energie.

Dans tout acte il faut impliquer également tout l’être corporel de l’homme ; des éléments qui composent sa personne, aucun ne doit rester extérieur à son action... Quand l’homme devient une telle unité, une unité formée de corps et d’esprit, l’œuvre qu’il réalise est une œuvre d’une seule pièce.

Agir pour créer des espaces de liberté est parfois l’action la plus courageuse que l’on peut attendre des représentants du peuple même si les réalités les amènent plutôt à protéger leurs obligés.

Agir pour créer progressivement la sécurité de vie, non seulement en terme de sécurité physique, mais en terme de sécurité par rapport aux dangers de la vie.

Ce concept de sécurité, entendu non pas dans un sens policier mais dans un sens social, est le challenge le plus important dans une société comme la nôtre. Elle est aussi le vrai moyen pour créer une sécurité d’esprit qui permet la liberté de pensée.

Agir également pour créer un cadre d’égalités entre les êtres humains. La qualité de vie est aussi un facteur de ce respect profond que donne le sentiment d’égalité.

« Qui sauve une seule vie, sauve le monde entier » (Talmud Traité Sanhedrin, chapitre 5, Mischna 5)

Du point de vue du judaïsme, que chaque vie humaine soit dotée d’une valeur suprême a de nombreuses implications, autant sociales, politiques qu’économiques. « A la lumière de cette affirmation, nous devons faire notre possible pour bâtir un monde dans lequel chacun sera traité comme s’il était une valeur infinie ».

Les hommes avec lesquels nous vivons ou que nous côtoyons de tout temps, les outils dont nous nous servons, tout recèle une substance spirituelle secrète placée sur notre chemin pour atteindre sa forme parfaite, son achèvement. Si, négligeant d’établir une relation véritable avec les êtres et les choses à la vie desquels nous sommes tenus de participer, comme ils participent à la nôtre, alors nous manquons de distance authentique, accomplie.

La puissance la plus immense n’est qu’impuissance si elle n’est pas secrètement l’alliée de ces contacts tout à la fois humbles et secourables avec un étant étranger et pourtant proche.

Les historiens du futur auront honte de voir à quel point depuis la dernière guerre mondiale, les malfaisants auront participé à la déliquescence des esprits par la désinformation et la manigance.

Combattre les préjugés, préférer à toute chose la justice, comme il est dit dans nos Rituels.

Toute action entraîne un engagement, et donc une responsabilité.

Responsabilité de soi ou d’autrui ?

Ce qui amènerait à distinguer la responsabilité en tant que principe dans le verbe et dans l’action, et en tant que vertu dans sa propension vers une certaine transcendance. C’est bien là le chemin de l’homme Franc-Maçon.

La réalité sociale, historique et culturelle ne saurait être indifférente au devenir du sujet, parce que celui-ci dépend le plus souvent de l’autre, et qu’il se trouve déterminé par l’histoire d’avant lui.

Entreprendre, prendre des responsabilités, c’est agir par la parole et l’action. Dès lors, il est incontestable que la responsabilité découle de la liberté, que nous sommes responsables de nos choix, de nos actes et de leurs conséquences.

Quand vous cueillez votre récolte, et que vous laissez une gerbe dans les champs, vous ne reviendrez pas la chercher, elle restera pour l’étranger, l’orphelin, la veuve. (Deutéronome 24:19)

2/ Qu’il inspire notre conduite dans le monde profane

Il est dit dans nos Rituels :

« Rassembler ce qui est épars »

Que peut faire l’homme si ce n’est justement à chaque fois, au milieu de l’action, se ressaisir, c’est-à-dire rassembler son âme tiraillée en tous sens et la diriger toujours à nouveau, concentrée, vers le but.

Rassembler toutes ces pierres pour construire son propre Temple.

Et aussi :

« Continuer à l’extérieur l’œuvre commencée dans le Temple ».

« Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire ». Albert Einstein

L’Histoire nous a montré, et nous montre encore aujourd’hui, combien ce « laisser faire » a conduit à des meurtres barbares, à des génocides.

Pourquoi le monde est-il souvent sourd et aveugle ? Pourquoi encore aujourd’hui ne prend t-il pas au sérieux ce que des dictateurs disent, alors qu’ils proclament toujours ce qu’ils ont l’intention de faire ? Et qu’ils font sous l’œil au mieux indifférent des nations.

Le domaine public, au contraire, est celui de l'action, celui dans lequel l'individu libre peut se consacrer aux affaires publiques, celui des rapports entre égaux, celui dans lequel seulement il est possible de parler du bonheur, celui enfin dans lequel chaque homme peut entrer dans la mémoire de la communauté et gagner ainsi sa part d'immortalité. Il est donc clair que mener une vie uniquement privée, c'est, dans ce contexte, mener une vie privée de l'essentiel, car l'essentiel, pour une vie humaine, réside dans cette vie publique, dans cette vie où les hommes entrent en rapport les uns avec les autres par la médiation du langage et non par la médiation des choses.

Aider les hommes à sortir des préjugés et de l’ignorance, montrer que par-delà leurs différences, les hommes sont frères et méritent une égale compassion. Comme le dit si bien Claude IMBERT dans le Point : « lier en une gerbe unique tant d’épis séparés » ; autrement dit le désir de justice comme fondateur du lien social.

Concilier les droits des peuples avec la paix, les droits de l’homme avec l’ordre. A l’intérieur d’une nation, et encore plus d’une République, convient-il d’affirmer la supériorité des droits particuliers ou, au contraire convient-il d’affirmer la supériorité d’un droit général plaçant les individus à égalité devant la loi unique, par référence aux diverses déclarations des droits de l’homme et du citoyen ?

Le livre de Léon BLUM, - A l’échelle humaine, - se termine ainsi :

« L’homme n’a pas deux âmes, l’une pour chanter, l’autre pour agir, l’une pour comprendre la vérité, l’autre pour sentir la beauté et comprendre la justice. Quand l’homme se trouble et se décourage, il n’a qu’à penser à l’humanité.

Alors, oui, encore :

LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE

« Etre, c’est participer » disait Lévy-Strauss

Alors adolescent, on me demandait souvent vers quel métier je voulais m’orienter. Ma réponse était toujours la même : Ingénieur pour construire des ponts, des routes… En quelque sorte pour laisser une empreinte de mon passage ici-bas. Je n’ai pu atteindre cet ingénieurat-là, mais j’ai trouvé une autre voie.

Construire des « ponts et des routes », je l’ai réalisé avec la Franc-Maçonnerie. Lancer des ponts pour atteindre d’autres rives, tracer des routes pour trouver et inculquer le meilleur chemin vers la vérité, en toute liberté de conscience.

Participer comme je l’ai fait pendant 10 ans à dénoncer la désinformation, à descendre manifester dans la rue pour sauvegarder le parler franc, et combattre le « laisser faire ». Dans des circonstances larges allant de la libération des otages à la situation des Chrétiens au Moyen Orient. Ainsi, j’ai pu rencontrer, entre autres, Mgr Brizard, Directeur de l’Oeuvre d’Orient à qui j’ai fait part de la situation dramatique de ces Chrétiens avec dossier et dvd à l’appui, voilà quelques années.

Ou encore organiser des petits-déjeuners débat avec des journalistes…

Un texte que j’avais entendu au cours d’une représentation théâtrale :

« Un homme a eu une vie exemplaire ; mais son père est décédé. Il s’interroge sans cesse. A-t-il fait tout ce qu’il fallait pour le sauver ? Il dépose plainte contre lui-même. Le procès commence devant un tribunal improbable : procureur impitoyable, il est aussi l’avocat de la défense… La sentence tombe, implacable. Le procès est terminé. Et pourtant il entend encore l’appel obsédant : Accusé, levez-vous ».

Ce texte pour illustrer que l’homme, et encore plus le Franc Maçon ne peut rester indifférent à tout ce qui se passe dans la cité qu’il habite ; avec ses droits, certes, mais aussi avec ses devoirs, devoirs qui lui incombent de se manifester dans l’action.

Encore Camus : « Ce qui m’intéresse c’est de savoir comment se conduire ».

L’Ethique peut aussi traduire la tradition propre à un groupe social, et cette tradition peut être rapprochée de nos Rituels dans lesquels ces valeurs se retrouvent. Car elle établit des critères pour juger si une action est bonne ou mauvaise et pour juger les conséquences d’un acte. Parce qu’il est encore de tradition que le Franc-Maçon se tienne droit, vertical, formant une Equerre avec le sol.

L’œuvre dans le Temple réactive notre sensibilité à la transcendance de l’Autre dans le monde profane.

La finalité de l’Ethique fait donc d’elle une science pratique : il ne s’agit pas d’acquérir un savoir pour lui-même, mais de nous rendre à même d’agir de manière responsable.

Dans l’instruction au 1er Degré, il est dit : « Il ne suffit pas d’être mis en présence de la vérité pour qu’elle nous soit intelligible. Tant que l’illusion et les préjugés nous aveuglent, l’obscurité règne en nous et nous rend insensibles à la splendeur du Vrai ».

Ne dit-on pas que le F\ M\ est un « homme libre et de bonnes mœurs » ; ce qui revient à dire que le F\ M\ rattache son autonomie, son libre arbitre à l’accomplissement d’une éthique exigeante de vertus ; par éthique, il faut entendre tout discours normatif qui résulte de l’opposition du bon et du mauvais.

Les bonnes moeurs sont celles qui sont conformes à la loi naturelle, mais aussi à celles du pays où nous vivons, et à une certaine époque.

De la dimension intersubjective qui caractérise l’éthique, on peut se demander si elle est bouleversée au point de s’ouvrir à une dimension sociale. Je ne constitue pas autrui à partir de moi ; autrui se manifeste à partir de lui-même. Etre soi, c’est être à une place que personne ne peut prendre. Il y a bien une singularité du sujet qui lui tient lieu d’identité ; le sujet ne se découvre soi-même que dans le rapport à une extériorité.

C’est ma création constante qui revient à donner toute sa valeur à l’exercice de la liberté, et par conséquent à son corollaire, la responsabilité. La situation d’une liberté serait alors d’assumer ce qu’elle n’a pas fait pour revendiquer ce qu’elle ignore comme conséquence de ses actes. La nécessité de passer à l’éthique est motivée par l’insuffisance de la place laissée à l’altérité pour se manifester elle-même.

L’éthique consisterait à maîtriser inlassablement cette recherche plutôt que de démissionner ; c’est en elle que se décide l’engagement. L’éminent paradoxe de la passivité du sujet qui doit agir pour autrui est la première indication de ce que sera une éthique sans devoir ni savoir, une éthique commandée par un autre que la conscience.

L’écoute serait d’emblée éthique, car elle met en relation, tout en mettant le sujet en situation de réception. C’est dans ce sens que l’Apprenti se tient en Tenue, la parole circule, sans interruption des Frères ; elle n’est pas prise, elle est demandée.

Dans l’Ethique à Nicomaque, Aristote définit la vertu comme quelque chose à laquelle une personne aspirerait, c’est-à-dire, un plus haut bien. La cause finale de l’objectif poursuivi serait ce programme contenu dans l’être et qui le pousse en quelque sorte à « devenir ce qu’il est » pour paraphraser Nietzsche.

Chercher la Vérité derrière l’apparence. Peut-on envisager finalité plus captivante ? L’Art devient alors le prolongement de l’action. Cette philosophie de l’action émerge quand le geste artistique devient l’expérience d’une relation particulière. Aussi, l’Art ne cherche-t-il pas à imiter ou à reproduire, mais à traduire une réalité méta-sensible. Il peut alors faire poindre le spirituel dans le champ de l’expérience commune.

Ainsi, dans notre Temple on retrouve la notion d’éthique par notre action vers le bien, et celle d’esthétique par son architecture, par les symboles et les outils qui nous sont signifiés. Le second surveillant dit bien que la Beauté l’orne lors de l’allumage de l’étoile de la Beauté. Ce n’est que par le signifiant, propre à chaque Franc Maçon, que le Temple aura une valeur éthique.

La beauté ne peut se réaliser qu’en unissant la sagesse qui réalise et la force qui agit. Grâce au ciseau et au maillet le Franc-Maçon se doit de façonner la pierre précédemment dégrossie et faire disparaitre toute aspérité et défauts pour arriver à une pierre cubique. Cette pierre est destinée à être incorporée au temple dont nous sommes tous les bâtisseurs.

Nous avons, nous les Francs-Maçons un devoir à l’égard des hommes nos frères, à l’égard des humains nos semblables, celui de les guider vers une entrée en conscience.

Notre relation à l'autre et à la société dans son ensemble ne fonctionne qu’avec une supposition généralisée de fiabilité. Il a récemment été écrit sur l'importance de la confiance et sur son corollaire, la vulnérabilité, qu’elle nous oblige à accepter. Une dimension cruciale de la confiance comme phénomène omniprésent dans nos vies est son rôle dans notre épistémologie : la plupart de ce que nous savons, nous le savons en faisant confiance au témoignage des autres.

3/ Qu’il soit la Lumière sur notre chemin

Qu’avons-nous demandé en rentrant dans le Temple ?

« Que cette Lumière nous éclair »

La lumière comme instrument de connaissance

De quelle lumière parlons-nous ?

Le terme même de lumière déborde largement sa signification physique pour devenir l’image de ce qui éclaire non plus les objets matériels, mais l’âme ou l’esprit. C’est la manière de désigner les hautes manifestations de l’intelligence ou du savoir.

De la lumière-symbole ou de la lumière métaphore ?

En s'engageant vers elle on s'engage dans un chemin qui semble pouvoir mener au-delà de cette lumière même. C'est-à-dire au-delà de toute forme mais encore au-delà de toute sensation et de toute notion.

La lumière initiatique L’initiation maçonnique consiste à passer des ténèbres à la lumière. La dualité est aussi dans la gnose ; celle de l'esprit et du corps, à la fois lumineux et obscur. Mais au-delà de lumière est ténèbres.

Quelle que soit son intensité ou l'origine de ses racines, la lumière sous ses diverses formes est souvent l'objet ou le point de départ des comparaisons.

À la question : qu'avez vous fait de cette lumière ?

Je répondrai : j'ai grandi et je me suis élevé. Car la lumière est le symbole du monde céleste, et de l'éternité.

Michel SERRES nous définit comme des « Porteurs de Lumière ».

Et moi, aux lendemains de la disparition de mon épouse, j’ai écrit cette phrase parmi des dizaines de pages que je vous confie :

« Que ta Lumière continue de nous éclairer sur les chemins que tu nous as tracés, et grâce à ta splendeur et à tes sages conseils, nous n’avons pas sombré dans la déshérence ».

L'entrée du chemin que vous m'avez permis de découvrir, me plonge dans une quête initiatique, un perfectionnement intérieur et continu.

Ayant ouvert sa conscience et son entendement par le chemin initiatique, il est du devoir de tout Maître Maçon de rentrer dans une dynamique de transmission de la connaissance pour accomplir sa mission de rayonnement autour de lui, afin que la construction de l’édifice puisse se réaliser.

Marta Contreras :

« Quand on parvient à s’ouvrir à tout et à aller jusqu’au bout de ses limites, on a non seulement la possibilité de recevoir les plus grandes Beautés, mais aussi de les transmettre ».

J’ai dit.

S\ A\


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