Obédience : NC Loge : NC 03/11/2008

L'Eau

L’eau est un composé chimique ubiquitaire c'est-à-dire a la capacité d’être présente sur la terre, essentiel pour tous les organismes vivants connus. Le corps humain est ainsi composé de 60% d’eau pour l’adulte, et 70% chez les nourrissons. L’eau se trouve en général dans son état liquide et possède à température ambiante des propriétés uniques. L’eau que l’on trouve sur terre n’est qu’exceptionnellement un composé chimique pur. La formule chimique de l’eau pure, constituant  principale de l’eau est : H2O. L’eau « commune » peut avoir des propriétés différentes de l’eau distillée utilisée en laboratoire, de sorte que les chimistes préféreront parler de solution aqueuse pour définir une eau non pure. Cependant, beaucoup de composants sont pratiquement, sinon complètement, insolubles dans l’eau. L’eau pure est un concept abstrait inventé par les chimistes : une eau chimiquement pure serait une eau qui ne contiendrait que des molécules d’eau. Or une telle eau n’existe pas dans la nature car l’eau est un trop bon solvant. Quant à fabriquer de l’eau pure en laboratoire, il faudrait pour cela posséder des instruments capables de déceler la présence de la moindre molécule étrangère dans une goutte d’eau, ce qui n’est pas faisable à l’heure actuelle. Excellent solvant, l’eau est capable de dissoudre un grand nombre de composés solides ou gazeux. Au cours de son périple, qu’elle tombe en pluie, ruisselle sur les sols, s’infiltre dans la croûte terrestre, ou simplement coule le long des pentes, elle se charge en éléments solubles.  Elles contient donc naturellement, en grande variété des matières dissoutes, inertes ou vivantes : des gaz, des substances minérales ou organiques, et des micro-organismes (bactéries, virus ou plancton). Elle draine également fines particules d’argile, des limons et des déchets végétaux.
La composition chimique des eaux naturelles est donc très variable d’un réservoir à l’autre et dans le temps.
 
Il n’existe donc pas une mais des eaux.

Près de 70% de la surface de la terre est recouverte d’eau (97% d’eau salée et 3% d’eau douce dans différents réservoirs), essentiellement sous forme d’océans mais l’eau est aussi présente sous forme gazeuse (vapeur d’eau), liquide et glace.

Le volume approximatif de l’eau de la terre c’est à dire toutes les réserves d’eau du monde est de  1 milliard 360 millions km cube. Dans ce volume :
1 milliard 320 millions km cube (97,2%) se trouve dans les océans.
25 millions de km cube (1,8%) se trouve dans les glaciers et les calottes glaciaires,
13 millions de km cube (0,9%) sont des eaux souterraines,
250 000 km cube (0,02%) sous formes d’eau douce dans les lacs, mers intérieures et fleuves,
13 000 km cube (0,001%) sous forme de vapeur d’eau atmosphérique à un moment donné.
Comme vous avez pu le constater la majorité de l’eau sur terre est de l’eau de mer. Elle est présente dans l’atmosphère en phase liquide et vapeur. Existe aussi en eaux souterraines (aquifères). La température de vaporisation de l’eau dépend directement de la pression atmosphérique. Par exemple au sommet de l’Everest, l’eau bout à environ 68° C, à comparer aux 100°C au niveau de la mer. Réciproquement les eaux profondes de l’océan prés des courants géothermiques volcans sous-marins par exemple peuvent atteindre des températures de centaines de degré et rester liquides.

Un tout petit peu de propriétés physiques et chimiques pour vous donner de simples indications.
Pour la plupart des substances, la forme solide est plus dense que la phase liquide ; ainsi la substance pure sous sa forme solide sera immergée dans un récipient rempli par la substance pure sous sa forme liquide. Par contre un bloc de glace ordinaire flottera dans un récipient rempli d’eau car la glace est moins dense que l’eau liquide. C’est une propriété caractéristique très importante de l’eau. A température ambiante, la densité de l’eau liquide augmente avec la baisse de la température, comme les autres substances. Mais à 4°C, l’eau atteint sa densité maximale, et lorsque l’eau refroidit davantage jusqu’à 0°C, l’eau liquide, dans les conditions normales de température et de pression, se dilate pour devenir moins dense. La salinité et la pression changent ce comportement. Aussi l’eau de mer ne gèle qu’à des températures beaucoup plus faibles pour former la banquise. L’eau des glaciers antarctiques forme des icebergs dont la salinité est plus faible et donc les propriétés diffèrent de celle des plaques de la banquise. Si l’eau lorsqu’elle gèle devient moins dense, elle augmente de volume. Il ne faut pas négliger l’importance du phénomène car il joue un rôle important dans l’écosystème sur terre. Par exemple, si l’eau était plus dense lorsqu’elle gèle, les lacs et océans situés dans un environnement polaire devraient geler (de haut en bas). Ceci se produirait parce que la glace se déposerait au fond des lacs et du lit des rivières, et le phénomène nécessaire au réchauffement ne pourrait pas se produire en été, puisque la couche chaude en surface serait moins dense que la couche glacée du dessous.

Voilà mes frères votre salaire pour la partie scientifique.

Intermède musical    morceau n°1 
Dés le début de notre vie maçonnique l’eau est présente. Dans le cabinet de réflexion, le pain et l’eau sont les témoins de la simplicité et symbolisent la nourriture du corps et de l’esprit. La coupe des libations et le récipient contenant l’eau de l’oubli des erreurs passés. Quant on effectue le second voyage qui se fait dextrorsum comme le déplacement solaire l’eau est parmi nous, c’est la main que l’on met dans l’eau, on est dans un rituel de purification. Nous avons ainsi le Feu qui représente l’âme, la Terre le corps, l’Air l’esprit et enfin l’eau, mais qu’en est-t-il, comment a telle fait pour arriver là ?  L’eau condensation des deux gaz au contact de la flamme. Elle compense l’effet desséchant du feu et humecte la terre, pesant comme elle et, fluide, instable comme l’air, mais incompressible. C’est le lien entre les trois, c’est la conscience.
L’eau est omniprésente dans la plupart des mythes fondateurs des civilisations. L’eau possède donc une symbolique très forte qui nous permet de construire notre rapport au monde et aux êtres. Il n’est donc pas étonnant qu’elle ait inspiré peintres et musiciens. C’est Listz qui contribuera a introduire l’eau dans la musique, suivra ensuite Debussy et Ravel. Dans le domaine de la peinture certains artistes comme Boticelli a la renaissance ont tenté d’illustrer les qualités de l’eau de manière symbolique. Monet restera quant a lui le peintre des eaux calmes.
L’eau change de forme et se modifie en permanence. Il s’agit d’un modèle à partir duquel tout peut naître. L’eau apparaît donc comme un symbole de fécondité que l’on retrouve dans tout les mythes et toutes les religions. L’eau et aussi source de purification, purification pour les êtres mais aussi pour toute l’humanité toute entière. Le déluge et un épisode fondateur de nombreuses civilisations. Le déluge et une re-création du monde. On ressort de l’eau pour renaître. Dans la mythologie grecque Poséidon, dieu de la mer, est l’une des divinités les plus importantes. Dans les religions monothéistes l’eau et un lien avec dieu. Dans l’ancien testament elle est l’instrument par lequel dieu punit (le déluge) ou sauve (passage de la mer rouge). Le nouveau testament reprendra le symbole des anciens écrits. Jésus sera baptisé par Jean dans les eaux du Jourdain tandis que l’épisode des noces de Cana et la transformation des eaux en vin marquera le premier miracle de Jésus. Chez les musulmans la source a laquelle bu Ismaël, fils d’Abraham et d’Agar et devenu un lieu sacré.  

Mais cette eau provient bien de quelque part ?  Pluie, océans, lacs, fleuves, bien sûr, mais moi je vais vous parler de sa forme souterraine. Une source.

Une source est une eau qui sort naturellement de terre, ou part métonymie le point où cette eau jaillit. C’est souvent l’origine d’un cours d’eau, mais des sources peuvent alimenter des mares, lacs ou s’écouler directement en mer, ou produire une eau qui disparaît à nouveau dans le sol. Il existe différentes approches permettant de classer les sources : l’hydrochimie permet de classer les sources selon leurs qualités, la géologie et être pour plus précis l’hydrogéologie qui cherche à expliquer l’origine et le fonctionnement de la source, le thermalisme qui classe les sources selon leur température et l’usage qui peut en être tiré. Une source naît de la conjonction de facteurs topographiques et hydrogéologiques comme une meilleure perméabilité locale. Si une source coule en permanence elle est pérenne. Dans les aquifères karstiques (Le  mot karst vient de Kras région slovène de plateaux calcaires hongrois Les paysages karstiques sont caractérisés par des formes de corrosion de surface, mais aussi par le développement de cavités par les circulations d’eaux souterraines. Pour vous simplifier et vous permettre de visualiser rapidement lorsque l’eau chargée de gaz et de calcaire dissout arrive dans une cavité plus importante que les fissures par lesquelles elle est passée elle se dégaze. Alors le carbonate de calcium contenu dans chaque goutte doit se recristalliser, soit sous forme de stalactite au plafond de la cavité,  on dit alors quelle tombe, soit sous forme de stalagmite au sol on dit alors quelle monte. Je reviens donc aux aquifères karstiques donc les sources peuvent ne se mettre à couler qu’en fonction d’un évènement pluvieux. La notion commerciale d’eau de source évoque une eau d’origine souterraine, ayant été mieux protégée des pollutions que les eaux de surface, et n’ayant subi ni traitement, ni adjonction. Elle doit satisfaire les critères de potabilité ce qui n’est pas forcément le cas d’une eau minérale naturelle.

La terre est la planète la plus fortunée du système solaire, ne la surnomme t-on pas La Planète Bleue. Le manteau terrestre est situé sous la croûte terrestre à une profondeur comprise entre 10 et 2900 km environ. Il enveloppe le noyau central de la planète fait de métal en fusion. Constitué d’environ les deux tiers de toute la masse du globe, il est formé de roches chaudes et pâteuses. Suite à l’analyse précise d’échantillons naturels en provenances du manteau, magmas et laves rejetés lors de certaines irruptions volcaniques, les scientifiques sont en effet aujourd’hui certains qu’il y a de l’eau dans la partie supérieure du manteau, et ce jusqu’à au moins a 300 km de profondeur : point de nappes d’eau mais tout au plus des gouttes prisonnières des roches, ou des molécules incluses dans certains minéraux. Mais ils ne savent pas encore si cette eau est répartie de manière homogène où non dans cette portion du manteau.

Pour les plus grandes profondeurs, aucune preuve directe n’est disponible. Mais des études visant à reproduire en laboratoire les conditions de température et de pression qui y règnent, ont montré que des quantités non négligeables d’eau pouvaient être hébergées dans les roches à ces profondeurs. Entre 400 et 520 km de profondeur, certaines roches pourraient même se comporter comme de véritables éponges. Et le manteau serait donc susceptible d’être un important réservoir d’eau. De là à l’affirmer, il n’y a qu’un pas que les chercheurs ne franchissent pas. Néanmoins, au regard de l’ensemble de ce qu’ils savent aujourd’hui, il semblerait que le manteau terrestre renferme globalement une quantité d’eau au moins équivalente à celle de tous les océans de la planète. On peut également a ce jour expliquer comment se produisent les échanges d’eau entre l’hydrosphère et le manteau. L’eau est en effet chassée du manteau lors de certains phénomènes volcaniques, principalement ceux qui se produisent au niveau des dorsales océaniques, ces chaînes de montagne qui s’allongent au fond des océans. L’eau est alors transférée du manteau a la croûte océanique. De l’eau issue du manteau peut aussi être projetée directement dans l’atmosphère lors de l’éruption de volcans situés sur des terres émergées. En retour l’eau de mer infiltrée dans la croûte océanique s’insinue dans le manteau, au niveau des zones dites de subduction où la croûte océanique s’enfonce et disparaît sous une plaque continentale. Au cours de la formation de notre planète, ces processus volcaniques et tectoniques ont été très violents : ils pourraient être à l’origine de l’accumulation de l’eau à la surface de la terre.

intermède musical morceau n° 7

Pour vivre vous et moi  nous devons inexorablement avoir besoin de notre ration journalière d’eau potable. Nouveau dilemme eau dure ou eau douce ?

Une eau dure est une eau qui contient beaucoup de sels dissous, comme les sels de calcium ( le carbonate de calcium ou calcaire par exemple) et de magnésium. A l’inverse, une eau douce est une eau qui en contient peu.
Dans la nature, toutes les eaux n’ont pas la même dureté : les eaux du Massif central, des Vosges et du Massif armoricain sont douces, alors que certaines eaux de la Région parisienne sont très dure en calcaire. Il n’y a aucun danger à boire une eau dure lorsqu’on est en bonne santé. Contrairement à ce qui est souvent affirmé, la présence d’ions calcium dans l’eau aurait même tendance à diminuer le risque de formation de calculs rénaux, mais je ne m’aventurerai donc pas dans ce domaine vu ma non expérience. Je dirai donc qu’une eau trop dure peut présenter des inconvénients d’utilisation. L’eau dure diminue en effet les propriétés détergentes des lessives. Par ailleurs, son usage en agriculture augmente la concentration de sels dans les sols et favorise leur stérilisation. Enfin, certains sels, en particulier le calcaire, peuvent se déposer, sous une forme solide appelée tartre.

A l’inverse, une eau trop douce est une eau corrosive qui ronge les parois des canalisations favorisant la formation de fuites.
En outre, la corrosion augmente la concentration en cuivre, étain ou plomb de l’eau, suivant le matériau dont sont faites les conduites, toutes substances nocives à la consommation. Une eau trop douce est donc une eau qui contribue à la dégradation de la qualité de l’eau, dans les canalisations. Pour à la fois protéger les équipements de l’encrassement et maintenir la qualité de l’eau lors de sa distribution, l’eau doit donc être juste assez dure pour qu’une couche protectrice de carbonate de calcium se dépose sur les parois des canalisations, les isolant de l’eau transportée. Mais pour boire cette eau il faut quelle soit potable donc sans risque pour la santé. Le fait qu’une eau soit conforme aux normes, c’est-à-dire potable, ne signifie donc pas qu’elle soit exempte de matières polluantes, mais que leur concentration a été jugée suffisamment faible pour ne pas mettre en danger la santé du consommateur. Selon ces normes, une eau potable doit être exempte de germes pathogènes (bactéries, virus) et d’organismes parasitaires, car les risques sanitaires liés à ces micro-organismes sont grands. Des substances chimiques jugées indésirables ou toxiques comme les nitrates, les phosphates, les métaux lourds les hydrocarbures en quantités limitées, et les pesticides pour lesquelles des concentrations maximales admissibles ont été définies. A l’inverse des substances comme les oligo-éléments indispensable à l’organisme ont été jugées nécessaires. Pour avoir bon goût une eau potable doit contenir un minimum de sels minéraux dissous (de 0,1 à 0,5 gramme par L).

Entre eau dure ou eau douce nous avons ainsi choisi notre eau potable, mais le parcours n’est toujours pas fini !  Eaux de source ou eaux minérales ?
Issues de nappes d’eau souterraines non polluées, profondes ou protégées des rejets dus aux activités humaines, les eaux dites de source sont des eaux naturellement propres à la consommation humaine. Les seuls traitements qu’ils est permis de leur appliquer afin d’éliminer les éléments instables que sont les gaz, le fer et le manganèse, sont l’aération, la décantation, et la filtration. Les eaux minérales, quant à elles, sont des eaux de source ayant des propriétés particulières : elles ont des teneurs en minéraux et en oligo-éléments susceptibles de leur conférer des vertus thérapeutiques et leur composition est stable dans le temps. Comme les eaux de source, elles ne peuvent être traitées. Toutes les eaux minérales ne sont pas de qualité identique puisque la qualité d’une eau brute dépend de la nature des sols dans lesquels elle a voyagé. Il existe donc autant d’eaux minérales qu’il y a de source, soit plus d’un millier en France qui possède environ 70 marques d’eaux minérales. Il faut savoir que pour alimenter en eau l’ensemble de la population française il faut pas moins de 40 000 captages

L’eau est le principal constituant du corps humain.
La quantité moyenne d’eau contenue dans un organisme adulte est de 65% ce qui correspond à environ 45 L d’eau pour une personne de 70 kg. On sait que le corps humain ne peut pas stocker l’eau, par contre on sait aussi qu’il élimine en permanence. L’homme doit donc chaque jour subvenir à ses besoins en eau, la quantité globale d’eau nécessaire à un adulte de taille moyenne, vivant en région tempérée et ne fournissant pas d’effort physique particulier est d’environ 2,5 L par jour dont environ 1 L est apporté par les aliments et 1,5 L par les boissons. Elle peut être bue en abondance dans la limite de 12 L quotidiens, où elle devient dangereuse  (intoxication à l’eau).
Ensuite nous avons l’eau diamant très vaste domaine pour une future planche.

L’eau et aussi l’un des cinq éléments chinois avec la terre, le feu, le bois et le métal, associé au nord et à la couleur noire, et l’un des cinq éléments japonais.

Il faut savoir que dans certains villages il n’y a toujours pas l’eau courante. Les gens se servent alors d’un puits artésien. Mais ce puits n’est pas arrivé en claquant des doigts, il a fallu chercher l’endroit le plus approprié pour le creuser. Dans la majorité des cas il a fallu faire appel à une personne que l’on peut appeler radiesthésiste ou plus communément un sourcier. Un sourcier est une personne qui recherche de l’eau souterraine. Ces instruments peuvent être des baguettes en noisetier, amandier, saule, en métal (laiton, acier, cuivre) ou en matière plastique. Elles sont flexibles et d’une dimension de 30 cm environ reliées à une extrémité. Peuvent être aussi deux baguettes en forme de L (métal, notamment cuivre), un pendule et une Antenne de Lecher qui a l’avantage non seulement de pouvoir tester (réception) mais aussi d’émettre .Nous appellerons donc tout ceci au sens radiesthésique du terme de la géobiologie.  La géobiologie est l’étude de l’ensemble des influences de l’environnement sur le vivant, et notamment des ondes liées aux champs magnétiques, courants d’eau souterrains, réseaux métalliques, failles géologiques.

Mais quel rapport entre l’eau la radiesthésie  et le 63 me direz vous ? Pour l’eau nous allons continuer par ce que vous ne voyez pas mais qui existe bien ici en dessous de vous, il faut savoir que l’on peut considérer notre temple comme notre cathédrale, car l’autel des serments se situe sur un gros croisement d’eau est/ouest et nord sud et pour une profondeur d’environ 15 et 20 m.  Essayez de l’imaginer sous le pavé mosaïque, sous le tableau de loge, vers l’autel des serments, pour dévier à gauche du vénérable. Ce même courant nord/sud  passe rue du docteur Peltier chez deux de nos frères, donc un se reconnaîtra et a priori ensuite il se dirige vers l’embouchure de la gironde. Nous avons aussi un courant est/ouest qui passe sous le plateau du vénérable a 15m de profondeur environ.  Nos anciens ont su placer ce temple au bon endroit, en le dessinant parfaitement, aussi parfaitement que l’on dresse une autel dans une église au croisement de 2 passages d’eau.

Mes frères vous pouvez rester sceptiques et je vous comprends, tout ceci peut être complètement farfelu, mais sachez que vous possédez tous a plus ou moins forte dose un peut de magnétisme. Nous allons donc procéder à une petite expérience

Intermède musical morceau n°13
Soit le V\M\ met la loge en récréation ou le Maître des cérémonies va chercher un frère apprenti, un frère compagnon et un frère maître pour les amener sur le pavé mosaïque.

V\M \ j’ai dit.     

P\ V\  

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