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Loge de Saint Jean

Jean-Baptiste occupe une place prépondérante dans l’Evangile. C’est par l’annonce de sa naissance que commence le récit évangélique, c’est par le baptême qu’il donne à Jésus que celui-ci commence sa vie publique. La présence de Jean-Baptiste parcourt en filigrane tout l’Evangile et, malgré les tentatives des évangélistes d’en minimiser l’importance, elle se révèle inséparable de la vie de Jésus-Christ.

Luc (1-13), pour décrire la naissance de Jésus, évoque l’Ange Gabriel qui parle de celle de Jean-Baptiste à Zacharie et fait surtout ressortir les divergences entre les deux. Le futur Jean sera « grand devant le Seigneur », tandis que le futur Jésus sera appelé le « Fils de Dieu ». Jean sera le « Précurseur », tandis que Jésus sera le « Sauveur ».

Mais à y regarder de plus près, les choses ne sont pas aussi simples. Jean n’est pas le « faire-valoir » de Jésus que la lecture de Luc donnerait à penser. C’est un réel Maître spirituel qui, avant d’accomplir sa mission, s’y est longuement préparé par une vie ascétique. D’ailleurs, l’histoire de la naissance de Jean rapportée par Luc est incompatible avec les faits et Jean le Baptiste était beaucoup plus âgé (1) que Jésus et le baptême de Jésus était celui d’un disciple et non d’un Fils de Dieu.

On ne nie plus aujourd’hui la connexion de Jean le Baptiste avec le milieu essénien. Une solide formation dans le centre de Qumram a dû précéder sa vie d’ermite dans le désert ; et le prédicateur qui en a émergé fut un vrai guide pour le peuple. Essénien d’origine (2), il s’était cependant démarqué de cette secte juive qui prêchait l’immortalité de l’âme et pratiquait les vertus et la fraternité. Au lieu de se cantonner dans l’élitisme essénien, il est allé vers les foules, et au lieu des ablutions quotidiennes exigées à Qumram, il baptisait une fois pour toutes dans le repentir et le renouveau intérieur. Marginal parmi les prophètes d’Israël, il a prêché cette pureté du dedans, par opposition à la fierté d’appartenance au Peuple Elu : « Ne vous avisez pas de dire en vous-mêmes : nous avons Abraham pour père ; car, je vous le déclare, Dieu peut, des pierres que voici, susciter des enfants à Abraham » (Luc 3-8). Sa grande humilité lui faisait dire : « Il s’en vient quelqu’un de plus puissant que moi, dont je ne suis pas digne de délier la courroie des sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit-Saint » (Luc 3-16). Voilà donc en quoi il fut l’authentique Précurseur : il dévoila aux gens cette exigence d’intériorité, ainsi qu’une notion d’universalisme, jusque-là totalement absentes.

Jean le Baptiste affiche sa rupture avec la classe sacerdotale d'Israël. Il rejette tout compromis et exhorte le croyant à vivre selon sa foi, sous peine d'être exposé à la « colère qui vient ». Et dit avec force que le Seigneur attend un changement réel et radical de mode de vie. « Produisez donc des fruits qui témoignent de votre conversion ! ».

La grandeur de cet homme transparaît dans la modestie de cette affirmation et dans sa conscience de prêcher en vain dans le « désert » des futilités humaines, accomplissant sa mission jusqu’au bout. « Je suis la voix qui crie dans le désert ! » – les évangiles de Matthieu, chap. 3 ; ou Marc chap. 1 ; ou Luc chap. 3.

Aujourd'hui encore, des traditions religieuses confessent Jean le Baptiste comme leur guide (exemples : les Sabéens qui regroupent quelques centaines de milliers de fidèles en Irak notamment ou les Mandéens, présents dans les mêmes régions). De même, le Coran laissera une place éminente à Jean le Baptiste, appelé « Yahya » (« il vit »).

Jean le Baptiste et Jésus, apparentés par leurs mères, avaient déjà dû se rencontrer et auraient même probablement vécu un certain temps ensemble au monastère de Qumram ou dans une école de mystères en Egypte. Jean-Baptiste est l’aîné de Jésus dans la vie et dans la voie, ainsi que dans cette quête spirituelle, ce qui suppose, à un moment ou à un autre, une relation « Maître disciple ».

Si Jean le Baptiste et Jésus étaient étroitement associés au début du ministère de Jésus, de nombreux détails indiquent qu’ils étaient surtout de féroces rivaux (3). Hugh Schonfield note que des sources chrétiennes font apparaître qu’une secte juive importante rivalisait avec les disciples de Jésus. Pour elle, Jean Baptiste était le vrai messie (4)… La rivalité farouche entre les deux clans et l’influence de Jean le Baptiste sur Jésus étaient trop connues et empêchaient le clan de Jésus de dénigrer le Baptiste, sauf à se contenter d’accentuer son rôle secondaire.

Quand Jean le Baptiste fut mis dans la prison de Machéronte, ses disciples ont dû l’informer des œuvres retentissantes de Jésus. Luc nous dit alors (VII 18-19) qu’il en appela deux et les envoya dire au Seigneur : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? ». On se trouve confronté là à un dilemme. Si cette parole est de Jean le Baptiste, elle est en contradiction avec le reste de son discours sur Jésus, à moins qu’elle n’ait une justification ! Jean-Baptiste n’ignorait pas les susceptibilités de ses disciples face au succès grandissant de Jésus. Ceux-ci s’étaient même plaints en direct à Jésus, à propos du jeûne : « Pourquoi nous et les Pharisiens jeûnons, tandis que tes disciples ne jeûnent pas ? » (Matthieu IX 14). En les envoyant à Jésus, porteurs de la question rapportée par Luc, alors qu’il savait son sort scellé et sa fin proche, Jean le Baptiste voulait-il, en fait, convaincre ses propres disciples de la nature divine de Jésus ?

Ou bien faut-il voir dans les questions du Baptiste la confirmation de la thèse d’un complot politico-religieux ? Du fait que Jean le Baptiste représentait une force politique et surtout spirituelle, il devenait gênant… Etait-il le vrai Messie (au sens chef militaire) attendu par les juifs et que craignaient les Romains ? Dés lors, son arrestation et sa condamnation auraient été ourdies par le puissant clan qui soutenait et finançait Jésus, avec ou sans sa participation. D’ailleurs, dés son emprisonnement, Jésus a pris le contrôle de son groupe lors d’une réunion publique rapportée dans l’épisode, à défaut de miracle, de la multiplication des pains.

Selon le mythe de Salomé, c'était lors de la fête d'anniversaire d'Hérode que ce dernier, excité par la danse de sa fille, accéda à la demande de sa femme de faire décapiter Jean le Baptiste. En fait, les motivations d’Hérode étaient strictement politiques, relatives à la grande influence de Jean le Baptiste ainsi qu’aux critiques formulées quant à son mariage avec une princesse arabe du royaume de Nabatée, laissant croire que Le Baptiste se rangeait dans le camp du roi Aretas, de Pérée, ennemi d’Hérode, et que cela risquait de retourner la population contre Hérode Antipas.

A noter un autre épisode curieux de l’évangile apocryphe dit Proto evangelicum ou livre de Jacques qui insiste sur l’importance de Jean le Baptiste. Dans l’épisode du massacre des innocents relaté dans cet évangile, c’est Zacharie qui est interrogé par Hérode,furieux car il dit : son fils est appelé à devenir roi d’Israël (Proteva. Jacques, 23-1).

Depuis Origène, l’Eglise a systématiquement exercé (entre autres) une censure sur la stature réelle de Jean-Baptiste. Pour l’église, Jean le Baptiste acquiert une part de la gloire et de la souveraineté qui, pour les chrétiens, n'appartient qu'à Jésus.

Si la religion de Jean le Baptiste, dont l’existence est établie, était devenue le culte dominant de la région méditerranéenne, plutôt que la religion christique, nous en saurions plus sur ce fascinant personnage.

Si Paul avait eu une personnalité moins forte ou n’avait pas écrit ses épîtres, il est possible que le culte de Jean le Baptiste se soit imposé au monde antique (6)… Pour comprendre le contexte, citons les propos édifiants de ce même Paul : « Que chacun soit soumis aux puissances régnantes ; car il n’y a pas de puissance qui ne vienne de Dieu : Les puissances qui existent sont ordonnées par Dieu ; en quelque sorte, celui qui fait de l’opposition aux puissances résiste à l’ordre établi par Dieu ».

Les membres de l’église de Jean le Baptiste furent persécutés et exterminés par l’église…mandéenne, simoniens, dosithéens, noisari, voire templiers, plus encore à partirdu concile de Nicée vers 325 après JC. Les johannites sont toujours dans la clandestinité.

Les Templiers avaient probablement connaissance des origines réelles du christianisme, par des documents ou objets trouvés ou saisis pendant l’existence de l’Ordre. Ils vénéraient Jean le Baptiste. Ils doivent une partie de leurs connaissances gnostiques aux « Johannites d’Orient » ou « chrétiens originaux ». L’Agneau de Dieu était leur sceau et la tête coupée de Jean Baptiste faisait partie de leurs emblèmes. Les Templiers fonctionnaient essentiellement comme une école de mystères, avec une hiérarchie reposant sur l’initiation et le secret, et selon certain es hypothèses, le sens du mot « Baphomet » était l’anagramme d’une traduction fort ancienne de Sagesse.

Avant sa dernière montée à Jérusalem, Jésus se retira de nouveau au-delà du Jourdain, à l’endroit où Jean avait baptisé au début (Jean X 40). Jésus, répondant aux questions des disciples, leur dit : « Moi aussi, je vous poserai une question ; répondez-moi et je vous dirai de quel droit j’agis ainsi : le baptême de Jean était-il du ciel ou des hommes ? Dites-moi ! » Or ils se faisaient entre eux ce raisonnement : si nous disons : du ciel, il va nous répondre : alors, pourquoi n’avez-vous pas cru en lui ? Et si nous disons : des hommes, nous devons redouter la foule, car tous tiennent Jean pour un véritable prophète. Ils répondirent donc à Jésus : « Nous ne savons pas ». Alors Jésus leur dit : « Moi non plus, je ne vous dirai pas de quelle autorité je fais cela ». (Marc XI 29-33). Il est important de souligner, dans cet épisode, l’autorité que Jésus lui-même reconnaît à Jean dans son activité baptismale.

Une question fondamentale : Mais de qui Jean Le Baptiste détenait-il le rituel de baptême qui n’existait pas dans la religion juive, y compris chez les Esséniens ? Au tout début de notre ère, les sectes gnostiques forment un ensemble disparate d’églises au point de croisement des courants juif hétérodoxe, judéo-chrétien, chrétien orthodoxe et gnostique. Bien que le terme gnose signifie « connaissance parfaite », ce qui caractérise le mieux les mouvements gnostiques n’est pas cette prétendue connaissance, que finalement d’autres traditions affirment aussi posséder, mais plutôt un dualisme Matière – Divin qui s’accompagne d’un rejet du monde Matériel. Le but principal du gnostique est la délivrance de la parcelle divine qu’il porte en lui-même. Il veut libérer cette parcelle du monde matériel corrompu qui l’aliène, et remonter vers les sphères célestes.

La gnose est donc une parcelle de la connaissance des réalités divines de nature religieuse et ésotérique, supérieure à celle des simples croyants et qui donnerait accès au salut. L’enseignement des Gnostiques est contenu dans Corpus Hermeticum, dans la Pistis Sophia et également dans l’évangile selon Thomas.

Jean Le Baptiste est-il un gnostique ? Deux mille ans plus tard, le débat n'est toujours pas clos. Pour le judaïsme, Jean-Baptiste est un faux prophète ; pour l'islam, il est l'égal de Jésus ; pour le christianisme, il est à la charnière des deux alliances, « le plus grand des prophètes » et « le plus petit dans le Royaume ». Alors que des groupes de « Baptistes » le célèbrent comme Messie, les rédacteurs des Evangiles le restituent ou le cantonnent à ses fonctions de précurseur et de témoin.

D’après les exégètes qui se sont consacrés à l’analyse des Actes de Jean, textes apocryphes (7), il ne fait aucun doute que Jean le Baptiste était un gnostique chrétien. Jean l’Évangéliste est à jamais uni à Jean le Baptiste, tous deux connurent Jésus, enseignèrent la vertu et moururent en martyres. L’Evangile de Jean (original) est un texte johannite qui n’est pas dans l’esprit chrétien : c’est le plus gnostique du Nouveau Testament. On retrouve dans l’évangile de Jean des parallèles avec les écrits mandéens, ceux de Simon le magicien et les textes gnostiques coptes en particulier Pistis Sophia. Les dix-huit premiers versets de l'évangile selon saint Jean l’évangéliste constituent une sorte de poème appelé Prologue et bien connu des Francs-maçons. « Fuit homo missus à Deo, cui nomen erat Joannes ». Il y eut un homme, envoyé de Dieu ; son nom était Jean. Le contenu philosophique et la profondeur de ce texte le rendent universel...

Le prologue de l’Evangile de St Jean « Au commencement était le Verbe…», écrit dans un langage poétique très solennel, répond au début du Livre de la Genèse : « Au commencement Dieu créa le Ciel et la Terre » et reprend le concept du Logos, dérivé des idées du philosophe juif néo-platonicien Philon d’Alexandrie, contemporain de Jésus.

Au moment de se séparer pour aller prêcher dans toutes les régions du monde, les Apôtres tirèrent au sort pour savoir où chacun devait aller. A Jean, le disciple Bien-aimé, revint l'évangélisation de l'Asie-Mineure. Les Evangélistes avaient l’intention délibérée de réduire autant que possible l’importance de la relation entre Jésus et Jean-Baptiste (et, accessoirement, leur commune relation avec les Esséniens). Comme Matthieu et Luc, qui essayent de mettre maladroitement une sourdine au discours dithyrambique de Jésus sur Jean-Baptiste, en faisant dire à Jésus que le plus petit dans le Royaume est plus grand que lui (Jean-Baptiste). A croireque Jean le Baptiste serait exclu du Royaume !

Dans son verset IV 2, Jean l’Evangéliste insinue : bien qu’à vrai dire ce ne fût pas Jésus qui baptisât mais ses disciples, alors qu’un chapitre avant, dans son verset III 22, il disait le contraire : Jésus, accompagné de ses disciples, se rendit en Judée ; il y séjourna avec eux et il baptisait… L’Evangéliste essaye donc « d’excuser » Jésus de faire comme Jean-Baptiste. Et pour finir, Jean l’Evangéliste, cette fois, va jusqu’à prétendre que Jean-Baptiste ne connaissait pas Jésus !

Une tradition ancienne veut que Jean vécut ensuite à Ephèse avec Marie. Qu'il y écrivit le quatrième évangile. Qu'un séjour à Patmos fut l'occasion d'une révélation qui devint l'Apocalypse. Qu'enfin, lorsqu'il fut vieux, il ne sût que rabâcher l'essentiel de ce que le Christ lui avait enseigné et donné de découvrir : « Dieu est amour. Aimez-vous les uns les autres ».

Selon la tradition, Jean l’évangéliste aurait été amené d'Ephèse à Rome, chargé de fers, sous l'empereur Domitien. Il aurait été condamné par le sénat à être jeté dans l'huile bouillante. Cette condamnation aurait été exécutée devant l'actuelle Porte Latine. Il en serait sorti plus frais et plus jeune qu'il n'y était entré. Le fait n'est pas prouvé, mais il fallait bien que Jean soit venu à Rome, comme Pierre et Paul. Il y a souvent une ambiguïté ou une confusion entre Jean le Baptiste et Jean l’Evangéliste, entretenue par les johannites. « S'agit-il de Saint-Jean dit le baptiste, autrement dit le témoin de la Lumière ou de Saint-Jean l'évangéliste, l'Apôtre que Jésus aimait ? Est-ce une référence directe au Nouveau testament ? Serait-ce la partie du christianisme qui influença dans son symbole et dans sa pensée la philosophie maçonnique ? S'agit-il tout simplement de mettre au cœur de la tenue maçonnique le Logos, fortement présent dans le Prologue de Jean, ce Logos qui est la Parole mais aussi l'esprit qui doit être sans cesse en mouvement et en création pour vivre ? »(8)

Le dieu Janus, Dieu bifrons à deux visages, est-il à l’origine des fêtes aux solstices d’été et d’hiver ? Il est dit habituellement que l’une de ses faces est tournée vers le passé et l’autre vers l’avenir. Mais, il y a un troisième visage au milieu, ce visage est invisible, c’est le visage du présent. Dans l'antiquité, Janus était le Dieu de l'initiation et présidait notamment aux Collegia Fabrorum ou initiations de métiers. Au symbolisme de Janus se rattachent un ensemble de conceptions sur les portes solsticiales (la fête de Janus a Rome était célébrée aux deux solstices), sur le symbolisme des clefs et du passage, sur celui des petits mystères et des grands mystères, etc.

Dans ces temps immémoriaux, les peuples païens célébraient le solstice d'été par un grand feu de joie, symbolisant la lumière qui était à son apogée. Dans le christianisme, les fêtes solsticiales de Janus sont devenues celles des deux Saint Jean et, de la France catholique de Clovis, on conservera la tradition du feu de joie pour célébrer la naissance de Saint Jean le Baptiste, les toujours célèbres Feux de la St Jean. Dans la mesure où la Franc-maçonnerie est un héritage des corporations de constructeurs, ce symbolisme a été naturellement intégré et « adapté ». L'expression de Loge de Saint Jean a été ainsi conservée et c’est là, mes F\ F\, que nous élevons des temples à la vertu et que nous creusons des cachots pour les vices...

La fête de la Saint-Jean Baptiste était célébrée tous les 24 juin et celle de Jean l’Evangéliste le 25 décembre, à la date présumée de la naissance de Jésus. Les maçons fêtent depuis le moyen âge la naissance du soleil intérieur à la Saint Jean d’hiver et à l’apogée de la lumière spirituelle à la Saint Jean d’été. Ils commémorent le souvenir de l’apôtre Jean qui faisait de l’or avec sa baguette de même que le vénérable tente de transformer les initiés virtuels en initiés réels à l’aide de son maillet.

La Franc-maçonnerie s’est toujours présentée comme une tradition johannique parallèle à l église de Pierre. Les deux Saint Jean figurent à la fois dans le temps qui passe et dans nos traditions. Elles figurent aussi, de façon invisible, dans notre présent, celui dans lequel nous devons vivre et auquel la démarche initiatique et maçonnique invite ses initiés à se réaliser, à évoluer et persévérer, et in fine à transmettre.

J’ai dit, V\ M\

L'Orateur J\ C\ T\.

Notes et références
(1) Schonfield : The Passover Plot.
(2) Il est très plausible que la « vie inconnue » de Jésus ait comporté une résidence à Qumram. C’est encore plus évident dans le cas de Jean-Baptiste. Voir l’article sur « Jésus et les Esséniens ».
(3) Geza Vermes.
(4) Hugh Schonfield, dans The Essene Odissey.
(5) Livre de Jacques 23:1-3 cf. The Apocryphal New Testament.
(6) A.N. Wilson : Jésus 1992.
(7) Actes de Jean, textes apocryphes, Collection La Pléiade.
(8) Hervé Danagh Bibliographie.

Jean-Pierre Sara, mars 2001 Lynn Picknett & Clive Prince.
La révélation des Templiers, 1997. Ecrits apocryphes chrétiens- Bibliothèque La Pléiade, Tomes 1 & 2.
Christian Jacq, La Franc-maçonnerie 1975 – Histoire et initiation.


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