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Le ou Les Egrégores

Pourquoi ce titre ?

- ' Le ' de l'Egrégore se rapporte à l'entité égrégorique dans sa fonction,

- ' Les égrégores ' rassemblent les différentes formes et les différents aspects de l'Egrégore. Nous allons essayer de détailler ces aspects qui peuvent être :

- Biblique
- Occultiste
- Maçonnique ou - non-maçonnique

Le point qui nous intéresse le plus, est le concept maçonnique de l'Egrégore. Plusieurs définitions ont été données en ces termes, à cette conception de la loge ou à cette entité émanant d'une assemblée. L'atmosphère très particulière qui règne dans notre enclos sacré, a été décrite par des écrivains contemporains, j'entends par contemporains les auteurs ayant écrit aux XIXème et XXème siècle. Ces personnages ont défini, d'une façon claire ou voilée, cette force de cohésion qui unit dans un groupe humain les membres qui la composent.

L'Egrégore est le rassemblement des idées, qu'elles soient terrestres ou supra-terrestres, constituant l'unité hiérarchisée mue par une idée-force. C'est, si l'on peut s'exprimer ainsi, une somme de pensées accumulées dans un but et une intention précise. Matérialiser l'Egrégore c'est sans doute, pour nous, faire partie et sentir la chaîne d'union.

Nous pouvons aussi dire que l'Egrégore est la ' force aurique ' d'un groupe qu'il soit humain ou non-humain. Il peut être défini pour les non-maçons comme l'inconscient collectif de Jung, ou comme la communion des saints des chrétiens.

Dans une assemblée, une assemblée maçonnique en particulier, est souvent évoqué l'Egrégore, c'est-à-dire un ' être ' ou une force de cohésion. L'origine grecque du mot Egrégore est considérée comme la plus juste. La définition de ce mot
' être éveillé ' je montre que c'est bien ' l'été ' de cohésion qui donne sa puissance à la F\M\ tout comme les ' veilleurs du mont Hermon ' les égrégores veillent du livre d'Hénoch ou du livre de Daniel qui ressemblent, (sans en être l'équivalent) aux entités occultes.

Au sein de la loge, lieu sacré par excellence, se dégage par la participation de ses membres la conception d'Egrégore. Dans ce site consacré, lieu saint, temple ou habitation du G\A\D\L\U\, lieu dans lequel se fait la jonction entre le Divin et l'Humain, résumé du macrocosme et du microcosme, l'être a la possibilité d'accomplir sa réalisation spirituelle. Les axes de recherche pour cette étude ont été différents.

Le mot égrégora, en effet, deux acceptations ou racines distinctes. La première définition dit : Egrégores : qui nous provient du grec par traduction de l'hébreu. On nous indique que les Egrégores sont des anges, qui, selon le livre d'Hénoch s'unirent aux filles de Seth, qui lui-même est un fils d'Adam, et engendrent les géants. Ils sont appelés ainsi parce qu'ils s'établirent sur le mont Hermon et jurèrent d'y ' veiller ' jusqu'à ce que qu'ils eussent possédé les filles des hommes.

Cette définition nous ouvre la voie biblique classique. La seconde acceptation est purement occultiste et n'est apparue que dans la seconde moitié du XIXème siècle et nous indique que l'Egrégore est une entité, un être collectif issu d'une assemblée. Cette seconde racine ouvre la porte occultiste et maçonnique. Nous allons essayer de découvrir les différents aspects de ces deux parties qui n'ont a priori aucun lien logique entre elles.

La première définition signale que les Egrégores sont mentionnés dans le livre d'Hénoch, nous allons donc nous y reporter. Dès le début de la recherche on s'aperçoit qu'il existe trois livres différents attribués à un patriarche biblique appelé Hénoch

- le premier fut rédigé au premier siècle avant J.C., il est répertorié par ses traducteurs comme l'Hénoch éthiopien;

- le deuxième est connu sous des traductions slaves et pourrait dater du premier siècle après J.C. Ce deuxième ouvrage est une traduction d'un apocryphe grec et ne nous apprennent rien de nouveau concernant notre sujet;

- le troisième est l'Hénoch hébreu qui a été rédigé vers le VIème siècle après J.C. C'est la compilation d'auteurs et d'époques assez diverses. Il existe cependant une évidente progression du premier au troisième livre.

On peut y lire : ' Hénoch, l'Homme Terrestre, simple ami de Dieu, est devenu une entité presque divine en se confondant avec l'Homme Céleste pour devenir Hénoch-Métraton '.

Mais revenons à l'ouvrage de base... A l'intérieur du premier livre d'Hénoch dit l'éthiopien, qui n'est qu'une traduction d'un précurseur grec, il n'est jamais fait mention du mot Egrégore. Par contre l'on rencontre souvent les termes - veiller ou vigilant - . Il semble donc qu'un problème linguistique se pose mais là n'est pas notre propos. Le précurseur grec dont il vient d'être question est semble-t-il lui même issu d'une traduction grecque d'un original sémitique, rédigé au IIème siècle avant J.C.

Cette affirmation est basée sur la découverte récente, faite à Qumrân dan une grotte proche de la mer Morte, où l'on trouve de nombreux fragments du premier livre d'Hénoch qui était rédigé en hébreu et en araméen, ainsi qu'un manuscrit araméen de la même époque : l'apocryphe de la Genèse.

C'est dans cet original du livre d'Hénoch, dans l'état des connaissances actuelles, qu'apparaît le mot ' IR ' qui est purement araméen et qui fut traduit en grec par ' égrégoros '. Le second manuscrit nous renvoie au livre de Daniel où se trouve mentionner aussi dans la partie araméenne le mot IR, précurseur de notre Egrégore, en association avec le mot QADDISH, dont les traductions sont respectivement veillées et saint.

Ce dernier mot, équivaut au QADOSH hébreu qui nous fait penser à un grade des ateliers supérieurs : le chevalier Kadosch qui est le point d'articulation de la hiérarchie de M\M\

Pour notre Rite, le 30ème degré est ' Saint ', il doit combattre pour défendre et venger. La psychologie des grades de vengeance nous indique, je cite : ' Les grades d'Elu forment, en fait, la texture ésotérique de notre Egrégore maçonnique '.

En hébreu biblique la traduction des mots veiller ou veilleur tire sa signification du concept ' lumière '. L'aigle bicéphale a le double aspect démiurgique, de même l'épervier d'Egypte peut soutenir l'éclat du soleil sans baisser les yeux. ILs peuvent symboliquement contempler la lumière divine.

Pour continuer notre études nous devons regarder la deuxième acceptation et se tourner vers l'occultisme et la F\M\ Rappelons tout d'abord la définition du concept occultiste d'Egrégore.

Jules Boucher nous dit : on appelle ' Egrégore ' une entité, un être collectif issu d'une assemblée. Toute assemblée d'individus forme un Egrégore.

Il y a un Egrégore pour chaque religion et cet Egrégore est puissant de toute la force des fidèles accumulés au cours des siècles. De même, pour la F\M\, chaque loge possède son Egrégore ; chaque obédience a le sien et la réunion de tous ces égrégores forme la ' Grande Egrégore Maçonnique '.

La théorie de l'Egrégore s'expose ainsi : ' Si quelques personnes se réunissent en un endroit en émettant des vibrations fortes et identiques par des pensées de même nature, un être véritable prendra naissance et sera animé d'une force bonne ou mauvaise, d'après le genre des pensées émises '.

Mais continuons notre recherche et essayons de découvrir les auteurs à l'origine de ce concept occultiste d'Egrégore. Le premier à avoir évoqué l'Egrégore est sans doute Saint-Yves d'Alveydre dont le maître à penser fut Fabre d'Olivet. Une courte phrase résume sa pensée, je le cite : ' Une fois que l'homme a imprégné de sa volonté certains éléments de l'ordre invisible, quand il a conçu, voulu, créé non seulement un pouvoir visible, mais sans le savoir un Etre potentiel, occulte, évoqué, se manifestant par des Institutions, ce dernier ne meurt pas sans avoir vécu, et, s'il est instinctif et passionnel, il vit en détruisant '.

Saint-Yves d'Alveydre après avoir décrit dans un ouvrage la cité souterraine Agarttha, centre initiatique du monde dont l'idée sera reprise par Guénon dans le ' Roi du Monde ', évoque dans son ouvrage ' Mission des Juifs ' cet Etre collectif occulte créé spontanément par le Pouvoir humain et qui peut être doué d'une grande puissance. L'auteur clairvoyant quant à la psychologie des fautes et des communautés a décrit le concept sans employer le mot Egrégore. L'idée était lancée et Stanislas de Guaïta y vit ce qu'il devait lui-même appeler ' l'Egrégore occultiste '.

Le deuxième auteur Alphonse-Louis Constant qui prit comme pseudonyme Eliphas Lévi, a employé pour la première fois, dans son livre l'Histoire de la Magie où il reproduisit le récit du livre d'Hénoch concernant les ' veilleurs ', du mont Hermon, le mot Egrégore. Puis ce fut pour lui un passage par l'abbaye de Solesmes, où il consulta les ouvrages de gnose et d'ésotérisme (il est à remarquer que cinquante ans plus tard Constant Chevillon effectuait le même chemin).

Lévi continua d'éditer des livres dans lesquels il parle toujours de l'Egrégore mais de façon voilée, voire ésotérique, on peut dire qu'il ' écrit ' à la façon des planches le Mutus Liber des alchimistes.

Il cite, prononce des mots sans en définir à proprement parler le sens. A celui qui en possède les clés de traduire et de comprendre.

Vint ensuite Stanislas de Guaïta qui continua l'oeuvre amorcée par le maquis de Saint-Yves et celle parallèle de Lévi.

Guaïta, sans faire mention de la F\M\ évoque dans ses textes la chaîne magique ou chaîne d'union telle qu'elle est pratiquée dans nos temples. Il dit : ' la chaîne magique est un moyen sûr de créer des potentiels collectifs à qui ne rien ne résiste '. Dans son dernier ouvrage, ' Le problème du mal ' qui termine la série des ' Essais de Sciences Maudites ', qu'il a rédigé avec la collaboration d'Oswald Wirth et qui sera complété plus tard par Marius Legage, il se fait témoin de la fraternité et de l'unité de vues de trois ' Générations ' et apporte des éléments sur le rôle joué dans la transmission du concept d'Egrégore par Oswald Wirth.

Nous venons de résumer de façon simple les origines du concept occultiste d'Egrégore. Regardons comment a été véhiculé cette idée dans le temps. Trois auteurs-personnages ont contribué à la transmission et à l'essaimage du concept, ce concept Stanislas de Guaïta à l'origine, Oswald Wirth qui fut son disciple et qui écrit : ' Guaïta me fit remarquer l'existence de ' l'esprit ', dit Egrégore, que se constitue tout assemblée humaine '. Cette notion occultiste, Wirth l'adopte. Cependant dans ses ouvrages il en modifie parfois le sens original émis par Guaïta car les enseignements de Wirth sont essentiellement maçonniques par la mouvance des symboles.

On peut dire qu'Oswald Wirth devint le premier chaînon qui transmit à la F\M\, le concept occultiste d'Egrégore. Et enfin nous trouvons Marius Lepage qui fut pour Wirth ce que fut ce dernier pour Guaïta. La relève de ces trois pionniers allait être assurée par Jules Boucher. En synthèse de ces deux parties de l'étude nous pouvons dire que, dans la première partie : celle dite biblique, le mot Egrégore n'apparaît pas de façon claire, plus exactement il n'en est fait mention dans aucun livre biblique.

La seule liaison nous concernant réside dans le fait que les ' veilleurs ' du mont Hermon sont reliés aux Aréopages de notre rite, via les livres d'Hénoch et de Daniel, par deux mots : ' IR. QADDISH ' dont la traduction même est douteuse.

La seconde partie, appelée occultiste, qui est plus florissante par ses auteurs et par son intérêt vis-à-vis de la M\ nous fait remarquer plusieurs point importants et communs dans leurs propos.

Le premier est que, depuis l'émission du concept d'Egrégore, un voile couvre la rédaction de ces écrits. La conception est latente, présente non éclaircie. Le second, plus proche de nous, est dans la transmission, la filiation qui s'est véhiculée depuis les ouvrages les plus anciens qui nous sont connus jusqu'à nos jours et ceci sans faille. Des écrivains tels que Fabre d'Olivet, Saint-Yves d'Alveydre, Elipohas Lévi, Stanislas de Guaïta, Oswald Wirth, Marius Lepage, Gérard Encausse, René Guénon et Jules Boucher nous ont transmis l'idée de concept égrégorique sans rupture de la chaîne.

Cette étude nous fait entrevoir plusieurs objets qui retiennent notre attention : d'abord que l'Egrégore est une réalité qu'on le veuille ou non. C'est une entité présente mais dont la définition est masquée ou voilée. Le concept égrégorique est lui aussi non formellement défini mais latent. La ' Magie ' est là à chaque détour du chemin que ce soit en F\M\, en occultisme ou dans le monde profane.

Pour ce qui est maçonnique, point important de ce travail, l'on peut dire que les rites et autres fonctions essentielles, joignent le visible à l'invisible. Ils constituent le lien fluidique qui unit l'ensemble des maçons à l'esprit de la maçonnerie dégagé des loges matérielles.

Toute collectivité, toute association, a sa correspondance dans le monde invisible. L'esprit d'un groupement, que l'on peut nommer Egrégore, est un être vivant et puissant qui tend à s'affirmer son autorité et à agrandir son domaine aux dépends de son voisin. Il est dit : ' Malheur à l'individu isolé qui, orgueilleux de sa volonté vacillante, veut entrer en lutte contre la formidable puissance de l'Egrégore. Il sera vite balayé, submergé... '.

Quant à la chaîne d'union qui a lieu avant la fermeture des travaux et qui est dirigée par le V\M\, elle représente la synthèse et l'émanation de l'atelier. L'Egrégore ainsi régénéré créé des courants de forces entre les FF\ qui pourront être employés au mieux des intérêts spirituels de l'ordre en général et des membres de la loge en particulier.

Le Vénérable oriente la chaîne dans un but ou vers une idée déterminée et la rupture de la chaîne est le moment où a lieu la ' projection ' de l'idée-force après une ' concentration ' plus ou moins longue.

Il est donc nécessaire pour que la chaîne d'union soit réellement efficace que chaque maillon soit conscient de son rôle et donc de faire que l'Egrégore soit fort. L'action, pour être ' efficiente ', n'a nul besoin de publicité, au contraire, c'est dans le silence de la méditation ' active ' et non passive que les pensées deviennent des idées-forces et c'est par la chaîne d'union, qui matérialise l'Egrégore de la loge, que ces idées peuvent être projetées dans le monde des hommes qu'ils soient initiés ou profanes.

La chaîne d'Union peut être rapprochée de la lumière maçonnique si tous les participants sont sur la même longueur d'onde et vibrent en synchronisme. Tout dans l'univers est lumière, chaleur, électricité, et donc tout est vibration.

Si des hommes sont plus clairvoyants que d'autres, c'est parce qu'ils se sont rendus plus accessibles aux fréquences de la lumière initiatique. Ils sont en liaison avec l'Egrégore, ils en font partie. La pensée, la volonté de ceux-ci s'inscrit, se dessine sur la planche à tracer qui renforce l'Egrégore de la loge et instruira la maçonnerie à venir. La transmission de l'acquis sera enrichie, mémorisée et véhiculée par l'Egrégore. L'initié vit avec l'Egrégore, il a travaillé sur la voie initiatique, il n'est pas seul, des énergies se concentrent sur lui. La chaîne d'union est donc effective pour l'adepte qui a réalisé l'équilibre.

En conclusion, certaines idées s'imposent à notre esprit. Des pensées réunies en masse sont des choses très réelles qui occupent une certaine place dans l'espace. Cette communion de pensées émet des vibrations et par conséquent une harmonie intense se dégage de ce magnétisme enclos dans la loge. Ce lieu sacré est donc pour l'Egrégore son creuset, son athanor.

Les pensées sur un même sujet ou ayant un trait commun tendent à se réunir, il existe donc pour beaucoup de sujets un centre de pensée, un espace. D'autres idées du même genre sont attirées vers ce centre et contribuent à en augmenter le volume et l'influence. C'est là que le danger existe.

La création d'un Egrégore met en oeuvre des forces, des énergies. Il faut en assumer les conséquences. Regardons autour de nous ! Les gens pensent d'une façon grégaire. Car il est beaucoup plus facile d'être sous l'influence d'un Egrégore et donc d'accepter une pensée toute faite plutôt que de s'imposer un effort mental, de considérer un sujet sous ses aspects divers et, de conclure par soi-même.

Mais nous ne devons penser que l'Egrégore est un lien, une force de cohésion, que cette entité est le rassemblement d'idées communes, mais sans que pour autant soit altéré l'individualité de chaque membre qui compose cet être collectif. Ceci est vrai en F\M\ Il faut ici citer René Guénon qui fait la distinction entre les communautés exotériques qui sont des sociétés profanes, mais aussi des organisations traditionnelles religieuses et autres non-initiatiques qui forment des entités collectives purement psychiques et donc naturelles et les communautés initiatiques qui sont les mêmes formes d'entités collectives mais avec en plus une influence spirituelle émanent d'un centre et se transmettent directement à l'initiable.

L'Egrégore apparaît donc sous deux aspects : l'un naturel qui naît et agit dans le monde profane et l'autre naturel lui aussi, mais émanent d'un milieu spirituel dont l'action est véhiculée à l'initié sans pour autant influencer l'initiation qui est, elle, un effet purement surnaturel.

Cette constatation peut être faite sur le plan mental en relation avec la pensée mais cela est aussi vrai sur le plan astral relativement aux sentiments. Car un Egrégore né ne disparaît pas instantanément après la suppression de l'activité qui l'a créée. Le fait de faire disparaître les hommes qui l'ont généré ne supprime pas pour autant l'idée qui en émane, et celle-ci continuera à véhiculer ses aspects bénéfiques ou maléfiques bien longtemps après la disparition de esprits qui l'ont engendrée.

Mais que ressort-il en définitive de cette étude ?

- que l'Egrégore est une entité réelle et présente dont la définition aussi bien linguistique que philosophique est voilée;

- que l'Egrégore, sous ce nom ou sous un autre terme, est un concept qui est, a été et sera et que la force de l'idée transmise dans la régularité, dans la tradition sans rupture de la chaîne et propagée dans le temps;

- et qu'enfin, chaque symbole, qu'il soit maçonnique ou non, recèle en lui-même une mémoire collective et est donc l'image d'un Egrégore.

BIBLIOGRAPHIE

- Travaux de Villard de Honnecourt Tome XII 1976 tome XIV 1978 - J.P. Bayard - Symbolique maçonnique traditionnelle Tome II
1981
- Oswald Wirth - La F\M\ rendue intelligible à ses adeptes - Tomme III le Maître
- Les écrits Esséniens A. Dupoint-Sommer 1983



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